Le blog de chercheur d'histoires

Serait-il possible de remettre l'ART en débat à Pont-Aven ?

Mais pourquoi remettre ? n'osent pas se demander les innombrables collectionneurs de peinturlures pontavéniaises des années 1980 à aujourd'hui.

Remettre l'art en débat :  Oui, car je sais (même si je ne connais pas grand chose) que dans les années de l'après dernière guerre et jusqu'en 1985, les connaissances des uns et des autres en Art étaient l'un des principaux sujets débattus dans les établissements branchés peinture de la Cité des Peintres entre les esprits critiques du coin.

Le fameux "parler peinture" : Une langue disparue de nos jours. 

(A ne pas confondre avec le  : "parler de peinture" des baratineurs contemporains)   

Et c'est de cette façon que nos esprits pouvaient  bénéficier d'une initiation à la critique artistique  

C'est-à-dire : Au développement en nous d'un esprit d'analyse qualitatif et critique allant même au delà de celle de l'art. 

En débattre de façon transmissible entre les habitants "férus d'Art" de l'époque.

Après l'agrandissement et l'institutionnalisation de notre ancien petit musée municipal en 1984/1985, la domination culturelle du nouveau neutralisa férocement ce rituel singulier.

Cette tradition n'étant définitivement plus en phase avec la gauguinite qui se développa dès lors dans la Cité des anciens Peintes de talent.  

A suivre 

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La vieille photo du jour :

J'ai écrit "Souvenir de la Fête des Rois à Pont-Aven"

(En connaissez vous ?)

Et non : La fête des rois nigauds ...

... comme ils sont tous devenus aujourd'hui !

Une formidable expo ?

Ou une "for't minable" ???

Extrait du communiqué de presse publié dans nos can'arts des coins-coins du coin de la semaine dernière  

"Cette exposition exceptionnelle est le fruit d'une réflexion profonde et d'un engagement artistique affirmé. Cette artiste visionnaire repousse les frontières de l'art contemporain avec sa nouvelle collection. Ses œuvres allient habilement la rigueur des formes à l'expressivité des couleurs, créant ainsi un langage visuel captivant. Telle une ode à la modernité, l'exposition "l'éternel nimprévisible" est le résultat artistique d'expression instantanées alliant subtilement figuratif et abstrait"

Il y a pire bien sûr :

Comme par exemple les PUB contemporaines des constructeurs de bagnoles qui n'ont plus rien à voir avec les produits vendus.

Les rêvasseries étant manifestement aujourd'hui les rêves les mieux partagées au monde 

La conclusion du jour : 

En tous les cas, dans notre pays ayant accouché du synthétisme et du cloisonnisme pictural, il est autant étrange qu'inquiétant que des toiles lourdement barbouillées et saturées de couleurs vives

puissent être vendues pour de "l'Ecole de Pont-Aven"

En effet : Que vend-on d'autre aujourd'hui à Pont-Aven que des références à son glorieux passé ?

La coupure de presse du jour :

1974 : L'amorce de la "Gauguin's mania"  pontavéniaise 

n'ayant jamais cessée de gonfler depuis.

Il y a un peu plus de trente ans ...

Et depuis : Mises à part les incessantes actions de sauvegarde, d'alertes et de publications : "avec âme et vie", mais pour autant "autant inquiétantes que pessimistes" d'un certain Chercheur d'Histoires de Pont-Aven, plus personne ne s'est préoccupé de cette mise en garde sur la disparition de la mémoire : non seulement  de nos anciens moulins locaux, mais également de leur rivière.  

Souvenirs touchants de notre visite de la minoterie

Cet escalier en bois est l'un des derniers très anciens éléments toujours visibles à l'intérieur du bâtiment.

A demain. 

Ce n'est qu'un point de vue ... 

... suite : Il y a quinze jours, à la visite de l'ancienne minoterie Le Dérout par les amis de mon asso "Pont-Aven, Patrimoines, Cultures, et environnements".

L'objectif était : outre une visite des lieux, de commencer à préparer une importante exposition sur l'histoire de ce monumental moulin à grains appartenant à la famille Lollichon / Le Dérout depuis la Révolution Française.

A l'époque : Il n'était qu'un minuscule moulin dont le meunier Yves Lollichon pu (après la saisie du bien aux moines de l'Abbaye de Saint Maurice), en 1791 acquérir cette  propriété à la Nation, puis : Devenant grand moulin à deux roues motrices (Minoterie) au XXième siècle.  

"Plongeons dans nos lavoirs"

C’est le titre d’une nouvelle exposition de photographies anciennes que Gérard BERTHELOM : Le président de l’association «  Pont-Aven , Patrimoines, Cultures, et Environnements » le soutenant dans ses actions, propose en ce printemps 2024 à la Crêperie LE TALISMAN : 4, rue Paul Sérusier.

Le thème de cette exposition se résumant de cette façon :

« Nos laveuses : Des modèles pour photographes amateurs, depuis les années 1880 aux années

1960 »

Les auteurs des clichés de ces photographies étant pour la plupart des amateurs ayant séjourné à Pont-Aven autour de l’année 1900.
Pour des raisons de sécurité ne sont essentiellement présentées que des reproductions des originaux.

Cette exposition s’intègre à toutes celles que Gérard BERTHELOM avait précédemment proposées localement.

Son objectif général étant de démontrer que si de très nombreux artistes peintres ont séjourné dans la Cité des Moulins entre les années 1880 jusqu’aux années 1910/ 1920, de très nombreux photographes aussi.Ne serait-il pas plus que temps de s’y intéresser ?

Cette démonstration devant se poursuivre plus encore pour lui dans le futur

Elle sera visible gratuitement dès ce week end durant tout ce printemps aux heures d’ouvertures de l’établissement.

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Venez-donc nombreux plonger votre nez dans les photographies proposées

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L'association "Place aux jeunes"  n'existe donc plus (Suite et fin) 

Ne pensez vous pas qu'il aurait été plus judicieux que monsieur le maire et ses adjoints consacrent ces fonds publics à des opérations architecturales ou environnementales plus fondamentales et bien plus utiles ou nécessaires à la  population locale ? 

Par exemple : La finition des travaux de réfection du jardin GRALL, ou l'étaiement des ruines de Rustéfan, mais il y en a plein d'autres aussi urgents 

Et que penser de la suppression d'un des deux accès au parking adjacent,

(alors que deux passerelles parallèles pour piétons y ont été construites sans raison) 

Bravo : Les automobilistes venant de l'ouest de la rue de Rustéphan bordant ce parking, ne peuvent plus comme avant : Ni y accéder de l'Ouest , ni le quitter vers l'ouest :

...  sauf en allant  manœuvrer dangereusement sur la chaussée de la rue de Rutéphan devant l'autre entrée, 

... ou carrément, faire demi-tour sur le parking de l'InterMarché d'à côté. 

Monsieur le maire : Pour vous monseigneur : Cette lubie Serait-elle  que du bonheur pour les habitants de NIzon !

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Et que dire du (ou de la) City Parc construit parallèlement sur cette ancienne prairie industriellement polluée ?

Un stade construit sans vestiaire ni toilette !

Alors même que la commune possède un grand stade de sport (d'athlétisme de niveau régional en fait lors de sa construction)  très peu utilisé ...

... qui ne demandait qu'à être mis à niveau.

et non pas de servir de parking pour touristes ....

... après avoir minablement défoncé son portail ouvragé,

le transformant ainsi en l'une des mochetés de la nouvelle commune dautellisée.

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La conclusion du jour :

Un ou une "City Parc" ?

Christian parlerait-il les jours père en Français, les jours maire en breton, et les autres jours en Grand breton ? 

L'association "Place aux jeunes"  n'existe donc plus (Suite) 

Profitons de cette mauvaise nouvelle pour revenir un moment sur les aménagements écolos autant qu'Ubuesques du lieu, réalisés il y a deux ans par la municipalité.

Une simple lubie de monsieur le maire et ses proches adjoints avais-je  déclaré ici à l'époque. 

Souvenez-vous de la  grandiose réception officielle  de ce stupide chamboulement du terrain naturel, du parking voisin construit il y a à peine 20 ans, et de son ruisseau,  pour lesquels  des Officiels politiques et administratifs du secteur avaient été invités par notre Maître d'Hôtel de Ville et de nos Belles Campagne  ....

... pour écouter le grand discours écolo du même Christian Dautel. 

Il n'y manquait plus hélas pour être un grand succès ...

... que la population locale !

Ces chamboulements ayant tout de même coûté à la commune deux mois de lourds travaux d'une entreprise de travaux publics.

Aujourd'hui : Pensez vous toujours que ces chamboulements* avaient un quelconque intérêt pour le bien être de la population de Pont-Aven ? 

Depuis : Allez vous au moins de temps en temps vous promener de ce côté ? 

Ne serait-ce que pour aller saluer cordialement les montons d'Ouessant transplantés par la municipalité dans ce même coin perdu du plancher des vaches !

* A l'attention des crapauds avait-il été déclaré dans la presse à l'époque

Suite et fin demain

L'association "Place aux jeunes"  n'existe donc plus 

Vous remarquerez que notre  bav'art maire est resté très discret sur les raisons précises de cette "attendue" disparition ... 

...  après avoir : il y a un an, longuement vanté dans la presse locale son sauvetage par son équipe municipale. 

Encore une vantardise dautellienne qui a fait cette fois :  Plouf dans le ruisseau du Penanros. 

Le bâtiment * dit "Place aux jeunes" construit sous le règne de Dale la soutane pour les accueillir devenant "l'espace des jeunes" géré par une association s'occupant des jeunes de Trégunc.

* Un ancien  site industriel  au sous-sol contaminé en fait.

Merci qui cette fois ? 

Que se passe-t-il donc à Pont-Aven pour qu'une telle honte puisse se réaliser ?

Dans ce pays pays si dynamique autant que paisible connu dans le monde entier.

Un pays qui ce cesse depuis 1985 de faire appel aux élus et  habitants des  communes voisines pour palier à ses manques de volontaires et de bonnes volontés dans de nombreux domaines de la vie courante ...

... Sauf pour faire les clowns l'été devant les touristes !  

Un pays aux élus et habitants tellement prétentieux qu'il devient comique de les voir aller lécher les pieds de leurs voisins à tout bout de champ.   

Qu'en dire de plus ?

Ce sera pour demain matin.  

Tout va bien à Pont-Aven mais les élustucrus du cru envisagent tout de même ..

... avoir recours à l'emprunt en 2024.

Lors de la dernière réunion du Conseil municipal la situation financière de la commune a été présentée. En écoutant le rapporteur les nombreux croyants de la commune ont ainsi pu une nouvelle fois croire que la population locale vivaient dans un monde paradisiaque. 

Il faut dire que dans ce domaine il n'y a rien de nouveau depuis l'air des temps des Rivet :

Le déni de la très mauvaise santé de la commune est le remède adopté par tous depuis cette époque : Y compris par la population.

TOUT LE MONDE AYANT OUBLIÉ PAR EXEMPLE L'AUGMENTATION BRUTALE DES IMPÔTS LOCAUX DE 12% lors du premier conseil municipal de J.M. LEBRET...
... juste après le règne resplendissant de la menteuse Dame la Soutane.

( À L'ÉPOQUE TOUTES LES AUTRES MUNICIPALITÉS DE LA COMMUNAUTÉ N'AVAIENT AUGMENTÉ CES CHARGES QU'AU MAXIMUM 2 %)

Ce qu'il fut dit au p'tit peuple pontavénizoneux à l'époque, est qu'Il n'y aurait eu qu'une minuscule  erreur de plume dans les comptes précédents, ...
... sauf que l'augmentation n'a jamais été réduite ultérieurement. 

La construction du pharaonique musée de la CC'â n'étant évidemment pour rien dans cette dérive.

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Quelle serait donc la martingale gagnante à tous le coups dans cette entourloupe de première classe ?

C'est simple:  Les dossiers restent au placard,  sauf les gros liés à la massification touristique du pays des touristes désœuvrés et de passage éclair.

Et les travaux correspondant aux besoins de la population locale ?

Mandat après mandat, nos élustupides les remettent à la Saint Glinglin. 

C'est ça aussi être un bon croyant à Pont-Aven :
Croire  et subir sans jamais rouspéter est la devise inébranlable de la Cité des branleurs-heureux.  

Pensez à Rustéfan, à la maison du peuple, à la bibliothèque et locaux d'archives des mémoires locales, au remplacement de tous les stationnements détruits dans le centre ville après la construction du musée, aux commerces de proximité dans nos deux bourgs,  aux mises aux normes handicapés de tous les lieux publics ou privés ouverts au public, à la déviation du bourg de Nizon, au sauvetage des ouvrages d'art du lit de la rivière, au local pour les secouristes, ... et bien d'autres aussi indispensables pour mieux vivre à Pont-Aven.  

ET SURTOUT :  REPONDRE AU MANQUE CRUCIAL D'EMPLOIS VALORISANTS SUR NOTRE TERRITOIRE DU BON VIVRE. 

Une réponse que la population attend de ses élus depuis plus de 70 ans !