Des vœux à la "Fidelin" (I)

Publié le par chercheur d'histoires

Des piliers sans bretonnerie

Des piliers sans bretonnerie

Des vœux à la "Fidelin" (I)

Des vœux à la " Fidelin" (I)

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Le fil de lin a fait dans la dentelle : ça va de "soie"

lorsque l'on préside la plus Grande CC'ânerie au monde 

déclare avec une pointe d'humour vache, une CHARLiO'T en furie.

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Les corps constitués de "Concarneau-Cornouaille-Agglomération" se sont réunis pour la circonstance dans leur Grande Salle JULIA.

Ne craignez-rien, je ne vais pas passer au peigne fin les vœux dentelés de M FIDELIN, ce serait ennuyeux pour moi de ne faire que dans de la banalité.

Je n'ai retenu du discours que quelques pépites ... en pierres granitiques.

Le discours du chef commence par une ode au bois :

"Parquet en chêne, boiseries et moulures, la salle s'est refait une jeunesse ..."

Bravo Monsieur le Prédident.

C'est exactement ce que Julia Guillou aurait pu déclarer en 1890, lors de l'inauguration de cette annexe de son Hôtel des Voyageurs tout proche.

Seul bémol : depuis 1900, des boiseries sculptées de grossières bretonneries ont été rajoutées mais elles ne sont plus du tout à la mode ... même de chez nous.

Elles sont pourtant les seuls éléments qui ont été précieusement conservés !

Le seul avenir de chefs d'œuvre du genre est  le poil à gratter comme je le fais ici le poêle à bois.

Merci la présidence de la CCânerie d'avoir sauvé ce trésor en péril d'extinction.

Merci d'avoir sauvé des flammes ces petits bouts de bois sculptés par un certain LE CORRONC  :

Un ébéniste du coin : reconnu comme un Grand faussaire en meubles anciens ... de son époque  ! 

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Mes amis : retenez bien cette pensée du jour proposée par la CHARLiO'T,

elle reviendra certainement sur le tapis sans tarder.

" Ce musée fait déjà dans la gnognotte avant même d'être ouvert " 

" De la gnognotte vendue pour du 18 carats "

 

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Les photos du jour :

En haut : A l'origine de la construction du bâtiment (en 1890) les bretonneries signées Le corronc n'existent pas sur les piliers de la salle.

En bas : après 1900, ces piliers sont ornés de grossiers personnages en costumes locaux, dans le goût des peintres "pompiers":  d'époque eux aussi, qui séjournaient dans cet établissement.

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A suivre demain

 

 

 

 

Des vœux à la "Fidelin" (I)
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