Pour nous les autodidactes pontavénains
Du cloisonnisme au synthétisme pictural de la bonne époque : tout y est.
Pour nous les autodidactes pontavénains
Pour nous les rares derniers "autodidactes" amateurs d'art pontavénains ,
... initiés dans les bistrots branchés du coin,
... la magistrale Œuvre d'Emile BERNARD qui a changé de propriétaire en décembre dernier à l'Hôtel des Ventes de BREST,
... est manifestement l'un des Chefs d'Œuvre constituant le fonds initial de la dite Ecole de Pont-Aven.
L'un des cent Chefs d'Œuvre produits "à la bonne franquette" par les pestiférés de chez les Gloanec puis de chez Marie Poupée.
Du cloisonnisme au synthétisme pictural de la bonne époque : Tout y est.
En tous les cas pour l'idiot de village que je suis, ces "trois bretonnes" manifestent de façon particulièrement significative et osée ces règles : autant nouvelles que révolutionnaires, qui sont nées puis se sont développées à Pont-Aven/Le Pouldu entre 1886 et 1894.
Une nouvelle façon pour eux d'exercer leur talent. Ce grand talent ayant eut pour effet de chambouler le monde des beaux-arts.
Il faut le dire : De façon bien plus forte que "Les bretonnes" sur papier de PGO, acquises par l'ancien musée de Pont-Aven il y quelques années !
C'est vrai que cette peinture de BERNARD n'a pas les "qualités" requises pour servir d'appât aux touristes de passage éclair, mais tout de même :
Vendue pour la modeste somme de 235 000 € à un amateur d'art sûrement aguerri, l'occasion était-elle trop belle pour la Belle et ses acolytes de la CC'ânerie pour acquérir une Grand'Œuvre picturale "bien de chez nous" datée 1888 ?
Même pas le prix de l'archi-pourri local Rouquier, acquis durant le règne de dame la soutane, pour la somme de 265 000 €,
... pour simplement faire plaisir à sa conserv'atroce chérie.
Une ruine qui aujourd'hui ne vaut pas plus cher qu'un paquet de cacahuètes aussi vide qu'un crâne d'élustupide !!!
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