Patrouille et gribouille (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Gast ah gastrouille : Du cobra même aux coins des fenêtres opportunistes du coin ?

Gast ah gastrouille : Du cobra même aux coins des fenêtres opportunistes du coin ?

Patrouille et gribouille (fin)

Il est vrai que dans le Pont-Aven historique, il n'existe plus : ni de soue à porc, ni de crèche pour ses ânes :

... même plus celle de Noël depuis au moins 1985,

... ni d'ailleurs des p'tits sous percés pour en construire une pour les enfants du pays !

- - -  Suite   - - -

Cette affreuse réalité est aussi énorme que tout ce que propose le grand musée des énormités de la Cc'anerie depuis 4 ans.

La principale responsable de toutes ces énormités ne devrait-elle pas commencer par - ENFIN - mettre en œuvre les promesses qu'elle annonçait dès 2011 : 

C'est-à-dire, la création du "Plus Grand Musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven" fondée : rappelez-vous, sur l'extraordinaire fonds de chefs d'œuvre qu'elle avait soit-disant découvert en arrivant dans la Cité, dans les oubliettes de l'ancien musée pontavé-nain.

En réalité, depuis l'ouverture de sa gigantesque boîte de Pandore en 2015, les amateurs d'art de la région : ne voyant rien venir, restent sur leurs soifs et leurs faims de culture haut de gamme.

Pour l'instant : La belle parleuse patrouille et gribouille, année après année, dans la crèche de son Ecole de Pont-Aven.
"C'est pour quand votre passage en primaire ? " lui demande la CHARLiO'T

Dit d'une autre façon : Serait-ce la noble fonction d'une conservatrice d'un Musée de France, d'utiliser d'une façon autant enfantine que primaire, le plus grand musée au monde que dame la soutane lui a gracieusement offert, comme jouet de bienvenue dans le bled !

Un joujou offert à une créature du diable peu scrupuleuse, ayant coûté tout de même l'équivalent de "2800 bras ... et ? ... "autant de croûtes de pain D'deux dans le cul"

à la population de Pont-Aven ?

----------------------------------------------------------------------- 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Ne vous mettez pas en colère ! à la lecture de cet article de presse que vous connaissez peut-être :<br /> Quand Pont-Aven n'avait pas encore son musée<br /> Publié le 17/07/2017 à 03:31 (Ouest-France)<br /> Écouter<br /> Après l'hôtel Julia et la pension Gloanec à la fin du XIXe siècle, l'hôtel de la Poste est devenu, dans les années 1960, le nouveau point de rendez-vous des artistes à Pont-Aven. Après l'hôtel Julia et la pension Gloanec à la fin du XIXe siècle, l'hôtel de la Poste est devenu, dans les années 1960, le nouveau point de rendez-vous des artistes à Pont-Aven. | Crédit : © Musée de Pont-Aven<br /> Lire le journal numérique<br /> Recueilli par Aurore Toulon.<br /> <br /> <br /> Milena Glicenstein, étudiante en histoire de l'art à Sciences-Po, a travaillé l'an dernier à Pont-Aven sur la période précédant la création du musée, des années 1960 aux années 1980.<br /> <br /> Entretien<br /> <br /> Milena Glicenstein,<br /> <br /> Étudiante en histoire de l'art<br /> <br /> Dans les années 1960, Pont-Aven n'était pas encore truffée de galeries d'artistes. Vous expliquez que la ville aurait pu prendre une autre direction touristique...<br /> <br /> Pont-Aven a toujours été un point d'ancrage touristique parce que la commune est jolie et qu'elle a été découverte assez tôt par des peintres parisiens ou étrangers. Mais c'est aussi une grande région de pêche et, pendant un moment, il y a eu une hésitation. On aurait pu faire de Pont-Aven une station nautique. Mais c'est le patrimoine artistique qui va réémerger et prendre le dessus. Et Pont-Aven va devenir la Cité des peintres.<br /> <br /> Quelles sont les étapes de cette nouvelle orientation touristique ?<br /> <br /> Il y a encore des artistes dans la commune dans les années 1960-1970. Ils créent leur propre groupe et leur propre mythologie, en se regroupant à l'hôtel de la Poste. Puis les infrastructures d'accueil des touristes se développent. Et c'est l'arrivée des marchands parisiens à cause de la réputation de Gauguin et Bernard. Ils organisent des expositions temporaires dans la commune, le temps de l'été. Ça finit par faire germer l'idée de créer une structure pérenne.<br /> <br /> PUBLICITÉ<br /> <br /> Votre séjour pour 4 personnes à partir de 299€<br /> <br /> Cette idée de musée a-t-elle été portée par une structure associative ?<br /> <br /> C'est toujours sous l'impulsion des marchands parisiens que s'est créée une société des amis de la peinture. Elle a été un peu mise en sommeil. En 1971, elle est réveillée par Yves-Marie Le Gloanec, le petit-fils de la tenancière de la pension Gloanec, qui avait accueilli Gauguin. Ils ont vraiment oeuvré à l'ouverture du musée.<br /> <br /> À l'époque un musée à Pont-Aven n'était pas une évidence...<br /> <br /> C'était un projet particulièrement dur à faire aboutir. Mais tous les entretiens que j'ai menés ont mis en avant l'impression d'une mission, l'importance de faire valoir l'exception que représente Pont-Aven.<br /> <br /> Le titre de votre mémoire commence par « Dans l'ombre de Gauguin », une ombre menaçante ?<br /> <br /> Je tenais à cet aspect polysémique. C'est l'artiste le plus connu, qui a permis à la commune de se construire une identité. Mais est-ce que le fait d'avoir une figure tutélaire aussi importante ne limitait pas l'évolution de la cité ?<br /> <br /> Quelle est aujourd'hui la place de Gauguin dans la collection ?<br /> <br /> Ce n'est pas vraiment possible de mettre en avant Gauguin dans la collection. Ça contraint à explorer d'autres aspects. Et c'est pour le meilleur à mon avis. J'ai travaillé dans le centre de documentation du musée. C'est un très bel outil, et le produit de l'engagement de la société civile. À l'ouverture du musée, Catherine Puget, l'ancienne conservatrice, avait fait appel à tous les membres de la commune pour avoir leurs archives personnelles. Cet appel a été entendu et très bien reçu. On a accès à une histoire de la commune complète et extrêmement précieuse pour les chercheurs.
Répondre