La Plouc'landerie de Nizon (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Rustéfan : Serait-ce le mur de la honte dans l'esprit de monsieur le maire ?

Rustéfan : Serait-ce le mur de la honte dans l'esprit de monsieur le maire ?

La Plouc'landerie de Nizon (fin)

Ajoutez aux 6 cm d'épaisseur de la première couche de bitume, les 12 cm suivants, et vous obtiendrez l'épaisseur de la couche d'une piste d'un aérodrome international de gros porteurs ! 

- - -  Suite et fin . - - -

C'est rigolo en soi : Certes,  mais ce qui l'est moins, est que les bordures "chasse-roues" de la chaussée se situant au droit de l'angle de l'église se fondirent du même coup bas, sous le bitume.

Et v'lan : Voilà que la fausse solution à un problème de sécurité publique, se fait souffler la mise par un vrai nouveau tout aussi redoutable.
"Oui, c'est vrai que ce serait redoutable dans un espace vivant et animé,

... mais dans la zone inanimée de la Plouc'landerie, à quoi bon perdre inutilement de l'argent public ?" se demande elle aussi la CHARLiO'T

En effet : Ce village n'est vraisemblablement plus aujourd'hui que le plus stupéfiant désert de l'ensemble de la Bretagne. 

Surtout qu'il n'y a même plus de messe à Nizon !

Poursuivons le fil à retordre de cette histoire tordue :

Ensuite, durant les dernières élections municipales pontavénizoneuses, le problème de la sécurisation de ce mini-minuscule bourg est revenu sur le tapis de sol humide des discussions.

Gast ah gastrouill'arts:  Ils n'en auront jamais assez les Zombies de Nizon !

N'oublions pas que les Grands et Majestueux Chênes de Nizon ont été

tronçonnés durant le mandat d'adjoint aux travaux communaux de Jean-Marie LEBRET, pour des questions de dangerosité ...

...  Et que durant les trois mandats municipaux du même, rien n'a été entrepris pour sécuriser les ultra Dangereuses Ruines de Rustéfan toutes proches. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Monsieur le maire de Nizon, madame la ministre municipale de l'urbanisme , vous ne vous demandez pas comment ce type de problème urbain est solutionné partout ailleurs ?

Et bien je vais vous le dire :

En intégrant dans les règlements d'urbanisme locaux, des projets de déviation des bourgs, et les réserves foncières qui vont avec.

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La photo compromettante du jour :

Rustéfan :

Serait-ce le mur de la honte dans l'esprit de monsieur le maire ?

Ne serait-ce qu'un vulgaire tas de cailloux pour tous les pontavénizon'arts ? 

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Extrait du journal "Le Telegramme" du 28 juin 1973

Article signé Keranforest :

Le mystère fait de ce château ruiné, une œuvre d'art.

Les ruines demeurent, suberbes dans leur négligé, support de leurs propres légendes.

Ne serait-il pas utile de veiller sur elles, pour pouvoir jouir longtemps de ce morceau de romantisme, au milieu de notre environnement bitumé ?

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Le prochain bulletin municipal devrait se glisser dans nos boîtes à lettres sans tarder. Prenant la plus belle plume de ses éditos, monsieur le maire pourrait peut-être nous offrir un superbe morceau de romantisme Rutéfanesquissé ... 

... au milieu de son bulletin municipal bitumineux ? 

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