Ça barde chez les bardes

Le saviez-vous ?

Depuis la mort du barde Théodore Botrel, une récurrente guerre des chefs jalonne l’histoire de la fête des Fleurs d’Ajonc.

 Que voulez-vous, ce fléau est inscrit au programme officiel de cette dite fête.

La bataille 2012 vient de se dérouler ces derniers jours. Je ne vais pas m'étendre sur le sujet, votre quotidien préféré vous a présenté le rapport officiel de la dé-fête pour tous.

Cet événement a au moins permis d’animer les conversations de la semaine dans le bourg : Bourg actuellement sans histoire, mais bien morne.

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Quoi de neuf à la CCa (suite)

Et durant ce temps, que se passe-t-il dans la cité des peintres ?

Lu dans la presse : 

. " Dans le cadre des objectifs à atteindre sur la CCa, la municipalité de Pont-Aven a demandé la réduction du taux de construction de logements sociaux à réaliser de 15% à 10%. : Demande acceptée "

Sur le même sujet, je vous rappelle que lors de l'avant-dernier conseil municipal pontavéniais, les élustucrus avaient décidé de construire un immeuble "social" constitué uniquement de T2 (des chambres de bonnes comme je vous l'avais indiquées ici après cette réunion)

. Autre triste nouvelle récente :

" Après la fermeture de l'hôtel de ville en raison de sa transformation en un somptueux musée, il est incertain que ses "verrières" (ses ateliers d'artistes) puissent survivre dans la cité des peintres " ...

... en raison "avouée" du manque de moyen de financement de nouveaux locaux appropriés. 

Rappelez-vous : Il y a un an, le CIAC (Centre International d'Art Contemporain) fermait lui aussi "provisoirement" ses portes ... !

Je dirais : plus exactement pour "l'éternité" par faute de moyen. 

Ce qui n'empêche pas dame la soutane et ses acolytes de jubiler dans l'insouciante

faiblesse de leurs minuscules esprits.

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Quoi de neuf à la CCa depuis 15 jours ?

Il y a quelques semaines, je vous présentais une analyse particulièrement critique et approfondie du contenu du SCoT (Schéma de cohérence territoriale de la CCa : Concarneau-Cornouaille-agglomération) à laquelle appartient Pont-Aven.

Je vous rappelle la principale caractéristique que j'avais retenue à la lecture des documents

 A savoir :

C'est le "grand" Concarneau qui rafle tous les principaux investissements des aménagements du futur concernant l'activité, la culture etc.: Pont-Aven ne récupérant que quelques miettes de biscuits secs.

Ce qui constitue déjà une phénoménale incohérence dans l'équilibre des territoires de la communauté.

Cette phénoménale incohérence est déjà palpable.

...  Lu dans la presse ces derniers jours   .....................................................................................

- " Concarneau, la ville la plus dynamique de la Cornouaille. 83% des dépenses des    ménages de la ville sont réalisés sur place"

- La CCa porteuse de projets : " La zone de Colguen à Concarneau accueillera  début 2014 une pépinière d'entreprises "

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Et durant ce temps, que ce passe-t-il dans la cité des peintres ?

Vous le saurez demain ...

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Cherchez la petite bête

... Que sont devenus les capricornes géants qui logeaient dans les grands chênes de Nizon avant leurs abattages ?

Classées espèces protégées par la loi, ces bestioles avaient été capturées et délocalisées par la municipalité, pour être replacées dans de nouveaux foyers d'accueils sur de vieux chênes campagnards.

Lorsque l'on sait que les seules espèces réellement protégées par la loi à Pont-Aven sont celles qui ne respectent pas la loi : c'est-à-dire principalement les dirigeants de la commune*, je me demande ce que sont devenus ces géants.

* Voir précédemment sur ce blog les scandales du podium de Nizon et plus anciennement celui du bois protégé de Kerviguélen etc.

...  Ne cherchez plus la petite bête, elle a disparu.

L'hermine de Bois d'Amour : œuvre d'un artiste.

Après une injonction de démolition signée par la première magistrate de la commune, elle a été démolie sur décision du Tribunal Administratif.

Motif de la décision : l'ouvrage n'avait pas été précédé de l'obtention d'un permis de construire !

L'air : mine de rien, il s'en passe des choses chez les pontavénizon'arts.

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Une fontaine récupérée, un calvaire disparaît  ...

Où est donc passé le deuxième calvaire du bourg de Nizon ?

 - Le calvaire disparu : photo 1910 -

Il y a quelques années, j'avais effectué une enquête auprès des nizonais afin de déterminer la date et connaître les raisons de la disparition de ce vieux calvaire plusieurs fois centenaires, qui se situait dans le bourg à quelques pas de l'autre.

Mes recherches sont restées vaines.

Oh ! les vaches : Personne à Nizon n'ayant accepté de me parler franchement de cette histoire.

Il faut dire que ce malheureux ouvrage d'art n'avait pas eu : comme son voisin, la chance d'être peint par Gauguin.

On peut donc penser qu'il ne méritait pas : aux yeux des braves gens du coin, que l'on fasse du REUZ contre sa destruction.

C'est vraisemblement lui qui figure à l'entrée nord du bourg sur la carte de CASSINI publiée vers 1760.

Lors de mes recherches, j'ai découvert un seul indice : une carte postale présentant ce calvaire au dos de laquelle est inscrit " le calvaire mitraillé durant la guerre"

Une carte expédiée juste après la dernière guerre.

C'est tout ce que j'ai découvert. 

Où sont passées les pierres de ce monument, qui les a emportées et pourquoi personne n'a réagi au moment des faits dans la très catholique paroisse de Nizon ?

Mystère et boule de gomme.

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La fontaine de dévotion (suite)

Au XIXe siècle, elle fut remarquée par quelques artistes peintres ou dessinateurs.

- En 1879, elle fut " déjà délocalisée " pour être accrochée aux cimaises  du Salon des Beaux Arts de PARIS 

Gravure d'après le tableau exposé par BOUDIER au Salon de 1879

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- La même année, elle sera croquée par Thomas MACQUOIS 

Gravure d'après dessin de Macquois publiée dans l'ouvrage

" Brittany and Normandy" édité à New York en 1881.

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Mais où se situait-elle réellement à origine ? Bizarrement, nul ne semble s'en souvenir dans la commune.

Ne serait-il pas heureux de replacer cette œuvre sacrée sur sa source afin qu'elle puisse revivre en lui apportant l'eau de vie qui lui manque tant aujourd'hui ?

Je lance un appel à ceux qui pourraient m'apporter des précisions sur cet emplacement.

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Le calvaire de la fontaine

Le bulletin municipal du 1er trim 1998 consacrait un article sur " Les Sources, les fontaines et les puits " de la commune.

Cet article est illustré par une fontaine dite par erreur dans l'article de Trémalo.

Pourquoi donc les pierres ouvragées de cet ouvrage d'art ont-ils été déplacées de son lieu d'origine pour être apposé artificiellement contre la face sud de l'église de Nizon ?

- La fontaine dite de Trémalo - 

Cette ancienne fontaine "de dévotion" a ainsi perdu tout son sens originel.

Ceux qui connaissent l'esprit attardé du coin savent qu'elle a été

" délocalisée pour faire la jolie au bourg " ...

... dit autrement : pour plaire aux nigauds et aux touristes.

Elle se retrouve hélas depuis bien au sec, ce qui est un comble pour une fontaine digne de ce nom.

C'est du joli, c'est même idiot.

Suite et fin demain ...

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Que vont devenir les glands pourris ...

Que vont devenir les glands pourris taillés 'artistiquement" dans les anciens augustes Grands Chênes de Nizon ?

"La boite à glands" nizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzon'art

Je me demande si la municipalité : à qui l'on doit cette œuvre d'art, n'attend pas la finition du futur musée CCanesque, pour la planter dans le spacieux jardin botanique ...

... à la FILI-GER-mal-la-commune, qui doit être aménagé dans la courette du bâtiment.

Sinon, je ne vois qu'une seule solution pour désencombrer la place des anciens Grands Chênes de Nizon :

inventer une nouvelle profession, 

Celle de ramasseurs de crottes de chênes.

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Les 7 fautes - Réponses :

- Coupez les augustes chênes : 5 fois centenaires, pour les transformer en glands pourris. (pour + d'informations : voir demain sur ce blog)

- Obéir à l'architecte des bâtiments de France en replantant de nouveaux chênes

in situ ... avant de les arracher sans autorisation des ABF.

- Construire sur les lieux du crime un podium sans obtenir le permis de construire nécessaire à cette opération.

- Construire de surcroît ce podium sans autorisation dans un lieu protégé par trois monuments historiques.

- Construire en outre ce podium'inable dans le pur style décadent de la lourdeur armoricaine, l'année même où le japonisme (et sa légèreté) est à la fête dans tous les musées de Bretagne. (exception faite de celui du bourg de Pont-Aven)

- Oublier dans la précipitation de prévoir un accès au plateau du podium.

- Et : faute capitale, oublier que dans tous les lieux recevant du public, les règles

d'accessibilité des handicapés doit être respectées à la lettre.

Nous serions tous bannis pour 7 fois moins.

Il n'y a que dans les pays totalitaires que la politique se pratique de cette indélicate façon.

A demain ...

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Le jeu des 7 erreurs

Pour varier un peu les difficultés, je vous propose aujourd'hui celui des

" 7 fautes inadmissibles "

Souvenirs, souvenirs  ...

 ... les anciens Grands Chênes de Nizon.

Avenir, avenir ...

... Le podium'inable de et à la Place des anciens Grands Chênes de Nizon.

Cherchez les fautes inexcusables ?

1 : ...

2 : ...

3 : ...

4 : ...

5 : ...

6 : ...

7 : ...

Réponses : ...

A demain ...

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