Une journée "portes ouvertes "

Une journée "Portes ouvertes " vous est proposée par l'Association " Le Carré Long "

Dans le cadre de ses actions patrimoniales et culturelles, Gérard BERTHELOM, Président de cette association, présentera ses archives sur les Ruines de Rustéphan au cours d'une journée "Portes Ouvertes d'une bibliothèque "

Qui se tiendra le samedi 22 décembre 2012 (demain)

à la Boulangerie Le Berre au bourg de NIZON à partir de 10 h.

Les visiteurs auront l'occasion de découvrir (ou de redécouvrir) un ensemble d'ouvrages anciens, de revues, de coupures de presse; des gravures et des photographies du XIXe siècle pour certaines inédites. 

Ce sera l'occasion pour tous de s'exprimer une nouvelle fois sur ce Monument Historique en grand danger d'effondrement, dont l'avenir reste en suspend.

Depuis 2000, date de sa création, les responsables de cette association  mènent inlassablement des actions militantes pour sensibiliser l'opinion et les élus sur le bien fondé de la sauvegarde de cet auguste doyen de la commune.

Le nom de cette association fait d'ailleurs référence à l'ancienne salle principale du manoir " en forme de carré long ". C'est ainsi que l'historien de la Bretagne :

DE FREMINVILLE, l'avait décrite dans plusieurs de ses ouvrages édités dans les années 1830.

Croyez moi, pour Rustéphan la fin du monde n'est pas pour aujourd'hui.

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Le musée fait son numéro (dernier extrait)

Ces principes : extraits du dernier bulletin de la CCa, ne peuvent qu’être approuvés par toute personne sensée, et ce n’est qu’enfoncer des portes ouvertes que de prêcher de si belles paroles.

La grande question sous-entendue est pour moi : A QUELS PRIX ?

N’est-ce pas du Grand luxe très coûteux pour trois fois rien : pour un résultat imperceptible et sans retour culturel sur investissement ?

Cette question, aucun responsable du projet ne l’a abordé car elle fâcherait.

Tout n’est que com(munication) et propagande. Pour preuve : Les énormes investissements qu’ils ont décidé d’engloutir dans le projet qu’ils encensent ne porte que sur le contenant (l'enveloppe) d’un maigre fonds « en constitution » que nous devons : rappelons le, aux précédents responsables du musée. Un fonds qui ne demandait qu’à s’enrichir pour être à la hauteur des défis de la lourde et riche mémoire de Pont-Aven.

Tout miser sur le décorum est un non-sens qui dépasse mon entendement.

Depuis que le projet est sur les rails, qui d’autre que moi s’est interrogé sur le contenu et la valeur réelle de ce fonds ? : PERSONNE.

 Ne vous étonnez donc pas lorsque je dénonce ce que j’estime être qu’une opération de pure Gloriole imaginée par quelques individus affamés de gloire à en oublier l’Intérêt Général pour lequel ils ont été élus.

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Le musée fait son numéro (extrait n°3/4)

J'ai retenu quelques passages du contenu de la plaquette :

« Poussez les portes d’un musée, c’est cultiver une envie, stimuler sa curiosité, vivre un moment privilégié mais aussi apprendre et même s’amuser »

Que c’est bien dit : on en redemanderait une couche. Hélas, ce n’est que proposer du rêve aujourd’hui inaccessible à Pont-Aven. La réalité est tout autre sinon ça se saurait. Cette réalité est que ce musée s’est radicalement détaché de la population locale depuis quelques années. Ses dirigeants vivent dans une douillette et confortable bulle hermétique au petit peuple qui patauge dans la tristesse de l'inculture du trou de peinture pontavéniais. 

" Stimuler la curiosité du public "

Je sais ce que cela veut dire pour avoir été imprégné de cette stimulation dans ma jeunesse au contact des amateurs d’art qui traînaient leurs savates dans la cité.

Hélas pour les habitants de Pont-Aven ou d'ailleurs, cette belle époque est révolue depuis 1/4 de siècle.

" Vivre des moments privilégiés et apprendre en s’amusant " 

Je l’ai vécu aussi à Pont-Aven, et pour les mêmes raisons.

À cette époque : Culture et divertissement étaient des notions étroitement liées.

Se cultiver en se divertissant voilà le secret de la réussite de l’ancienne cité des peintres entre 1920 et 1985. Si les artistes avaient fui le pays depuis au moins une décennie, des amateurs d’art avaient pris la relève en occupant le terrain.
Mais ce temps béni appartient aujourd'hui au passé et cela pour bien longtemps.

Il fut un temps que j’ai bien connu, ou la Cité des Peintres se déclinait en

« Cité des amateurs d’art »

Comme je l’ai déjà déclaré en d’autres occasions :

«  Parler peinture » était pour de nombreux pontavénins, une deuxième langue maternelle. Une langue aujourd’hui totalement morte.

Le musée de Pont-Aven, comme bien d’autres au monde (il en pousse de semblables tous les jours) s’est refermé sur lui-même en devenant hautin et trop sérieux pour atteindre la sensibilité picturale du public qui fréquente de nos jours la cité.

La sacralisation exagérée de l’Art a étouffé toute approche de divertissement. Ce musée s’est enfermé dans un monde imaginaire qui prétend apporter LA VERITE : une vérité picturale révélée semblable à bien des égards aux dogmes religieux.

Lorsqu’il s’agit de GAUGUINISME c’est pire : ce n'est même plus de l’idolâtrie : C'est de l’idiolâtrie.

--- A suivre dans 24 h. ---------------------------------------------------

Le musée fait son numéro (extrait n°2)

Sur cette double page, nous découvrons aussi une énième incitation pour participer à la souscription menée par la Fondation du Patrimoine.

À ce sujet, j’ai une petite information à vous dévoiler.
Tous les ans, cette Fondation décerne des prix aux opérations de souscription ayant obtenu les meilleurs  élans de générosité du public.

Les prix 2012 viennent d’être décernés :

- Le 1^er prix est attribué à la commune de Montemart * (Haute Viennes)

           pour la restauration de sa halle,

           avec 113% de souscriptions par rapport à son nombre d’habitants

- 2^ème prix à la commune de Verdèse en Haute-Corse

         pour la restauration de son église,

         avec 200 % de souscriptions par rapport à sa population.

- 3^ème prix à la commune de Cassagnas en Lozère

         pour la restauration de son temple,

         avec 60 % de souscriptions

* Une commune qui possède des vestiges d’un château féodal. Sur le site de la ruine classée remarquable, subsiste une tour en cours de restauration préventive.

Et en 2013 ?

Gageons que le futur Temple Culturel CCanesque, soutenu par 500 généreux amis fidèles, a toutes les chances de remporter la victoire ?

Nous le saurons le temps venu : attention à la glissade !

PUB : N'oubliez pas que la Fondation de Patrimoine ne peut fonctionner en interne que grâce à des généreux donateurs. J'espère "qu'enfin" la CCa et ses municipalités auront adhéré de façon permanente à cet organisme. J'espère en outre qu'un grand nombre des amis du futur musée feront de même en n'oubliant pas de régler leur cotisation annuelle.

Il serait particulièrement honteux pour tous qu'il n'en soit pas ainsi.   

A suivre dans 24 h.

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Le musée fait son numéro (Extrait n°1)

Le dernier numéro du magazine d’information de la CCa a été distribué.

Le gros titre de sa couverture m’a donné des frissons.

«  L’ART S’EVADE »

Merde alors, il va falloir poser des barreaux résistants devant toutes les ouvertures du futur musée de Pont-Aven. Les travaux ne sont pas commencés et voilà que déjà, de lourds avenants pointent le nez.

Et ce n’est qu’une première dans la longue liste d’attente des avevants en devenir.

Bien entendu, je rigole en disant cela mais : notez-le,  Lors de la dernière réunion du conseil d'administration de cette CCa, une première "plus-value" a été inscripte au compteur.

Un musée pictural carcéral ? : il fallait l’inventer : Pont-Aven l’a fait, mais c’est tout de même très cher payé pour des petits délinquants sans envergure.

Cette parenthèse surréaliste refermée, je reviens au sujet principal.

L’Art s’évade : un titre pour annoncer une double page du magazine consacrée au Musée de Pont-Aven.

Une double page de propagande : vous allez comprendre pourquoi.

Aviez-vous remarqué que l’ancien " Musée de Pont-Aven "  avait été débaptisé lors de l’arrivée de sa nouvelle conservatrice devenant : « Musée des Beaux Arts »

Depuis qu’il a été affecté à : Concarneau-Cornouaille-Agglomération, il est redevenu étrangement le « Musée de Pont-Aven ».
« Musée de la CCa » aurait été une désignation plus juste.

Serait-ce honteux d'appeler un chat un chat ?

A suivre dans 24 h.

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La monnaie unique

Caisse ?

Qu'est-ce ?

Un rêve, une illusion, une connerie ?

Peu importe pour nous en réalité : au sein de la CCa le problème ne se pose pas.

Nous aurons tous notre propre monnaie. La monnaie unique n'est pas pour demain.

- Les concarnoisettes viennent de créer leur propre pièce : "La sardine"

Drôle de nom pour de la monnaie de singe tout de même.

- Les pontavénoix attendent leur "gland" mais pour l'instant, dame la soutane n'a pas décidé de leur appellation définitive :  

"Les grandouillons de Nizon" ou "les glandouill'arts" de Pont-Aven,

 "les glands de la ville"ou "les glands des chants" liturgiques  ?

- Les trégunoix devraient sans nul doute su contenter de  "bernique" : leur maire ne pensant plus qu'à l'avenir : bien sombre, de ses musées.

- Les rospordindons ne pouvant quant à eux compter que sur "les larmes de crocodiles" des élus des communes riveraines.

De toute façon, n'espérez rien de bon : au sein de la CCa on ne nous rendra pas la monnaie des impôts engouffrés dans des carcasses de musées.

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Ô les faux Qs !

Toujours aussi drôle les réunions du conseil municipal.

A chaque fois, les larmes me viennent aux yeux.

Au cours de la dernière, ce sont des larmes de crocodile qui ont embué les lunettes des élustucrus.

Ils ont pleuré abondamment sur la fermeture de l'usine Rospordinoise "Boutet-Nicolas".

Un bel article de presse est venu couronner l'événement.

C'est une première :

Une 1ère fois en dix ans de règne que dame sa soutane évoque au C.M. : avec sûrement beaucoup d'émotion et de sincérité, la problématique du chômage et du déclin de l'activité industrielle  ... des communes voisines.

Cela dit : les journaux nous informent que lors de ce dernier conseil, toutes les délibérations ont été adoptées.

Ouf ! la tradition décennale est respectée : c'est l'essentiel, non ? 

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En fouinant dans les poubelles du coin (suite)

D'ordinaire, ce type d'invitation s'adresse en priorité aux associations patrimoniales et culturelles des communes, ou aux personnes qualifiées aptes à répondre correctement à la demande.

Je sais : à Pont-Aven ce genre d'association ou de personnes qualifiées, sont aujourd'hui les bêtes noires de la municipalité.

En disant cela je pense en particulier à l'association " Patrimoine et culture" ou à

l'association " sauvegarde de Pont-Aven " qui viennent d'être proprement et discrètement "neutralisées" pour ne pas contrarier le projet du musée CCanesque.

Dans ces conditions, que restait-il dans la cité des anciens peintres à se mettre dans la poche ?

Les plus NULS en la matière.

Les rois de l'inculture qui rayonne dans le centre ville.

C'est-à-dire, le groupement dit "de commerçants" composé majoritairement d'autoproclamés artistes peintres ou galeristes en tout mauvais genre.

Avec ça, était-il nécessaire d'organiser une rencontre commune ?.

A mon humble avis ce sera peine perdue,

d'autant plus que tout le monde sait qu'à Pont-Aven, les touristes de passage rapide, ne font pas de différence entre ce que les galeries leur proposent et ce que le musée avait la possibilité de leur présenter. Le musée fermé ne changera pas grand-chose, ils auront toujours : Ô combien,  de quoi se satisfaire.

Cela dit : si j'étais artiste, je profiterais de cette rencontre pour interppeler M. le Président du Muséum CCanesque pour lui signifier que dans son projet pontavéniais il a fâcheusement oublié de réserver un espace pour présenter la énième Ecole de Pont-Aven : celle du XXIe siècle naissant, à côté des précédentes, tel que prévu dans l'admirable projet d'un nouveau musée ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !   ? 

(je reviendrai sur cette débilité ultérieurement)

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En fouinant dans les poubelles du coin

En fouinant dans les poubelles du coin, j'ai découvert une correspondance adressée la semaine dernière par la direction culturelle de la CCa au Président du Groupement des commerçants pontavéniais.

Je vous propose d'en prendre connaissance.

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Monsieur,

Après une première collaboration lors de la fête de clôture, je me permets de vous 

inviter  à  une  rencontre  avec  les  commerçants  de  Pont-Aven  afin  d’échanger  sur 

quelques projets de médiation et d’animation envisagés pour l’année à venir.

Dans  ce  cadre,  je  vous  propose  de  venir  discuter  avec  Claire  Cesbron,  médiatrice 

culturelle du musée, lors d’une rencontre à l’espace d’information et d’animation du 

musée, situé au 26 rue du Général de Gaulle, 

le mardi 11 décembre à 18h30.

Ce sera l’occasion de vous présenter le programme d’animations élaboré pendant la 

fermeture du musée et d’échanger sur quelques projets de soirées pontavénistes.

Je  vous  remercie  de  vous  faire  l’écho  de  cette  invitation  auprès  des  commerçants 

adhérents et de nous informer de la suite donnée à cette proposition par ces derniers ... 

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Que de sollicitude envers des gens qui n'ont jamais mis les pieds dans le petit musée pontavénin.

J'aurai sûrement l'occasion de reparler de ce mariage gaie.

D'ordinaire, ce type d'invitation s'adresse en priorité ...

En vous saurez plus demain

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SIX millions de dollars l'unité !

En lisant cette UNE des journaux nationaux, les collectionneurs de vieilles pipes ont dû se réjouir.

Je ne dirais pas que j'en suis jaloux, mais plutôt envieux : quoiqueue tout de même ... ?

Attention, je ne parle pas du groupe de musiciens nizonais "Le PIPE BAND". Cette formation  vient d'annoncer dans la presse locale qu'elle envisageait de créer une école de musique pour accueillir les enfants de 7 à 77 ans et plus.

A mon sens, ces nouveaux arrivants sur la commune commettent une grosse erreur de stratégie.

Ils auraient plutôt du proposer leurs services uniquement aux enfants de moins de 7 ans, et plus de 77.

Pour l'instant, ils ne doivent pas savoir qu'entre les deux, il n'y a plus grand monde de potable (ou de buvable : comme vous voulez) dans le bled.

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