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Les épluchures de presse de la semaine : 2/2

Publié le par chercheur d'histoires

Les épluchures de presse de la semaine : 2/2

Un peu de musée pour finir la semaine en beauté.

" Les deux musées de la CCa présentés aux enseignants finistériens "

Bizarre autant qu'étrange. A la CCa on ne lit pas les journaux. Depuis quelques mois il n'y a plus qu'un musée sur son territoire ... et cela, vraisemblablement pour longtemps. 

" Les enseignants ont pris connaissance de la richesse des fonds des musées "

  " L'accent a été mis sur les importants fonds de cartes postales "

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Travaillez, prenez de la peine,

c'est le fonds qui manque le moins.

...

Un trésor - de cartes postales - est caché dedans.

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ET moi qui croyais que le musée de la carte postale était implanté à BAUD ?

Et moi qui croyais aussi qu'à Pont-Aven, son ancien musée avait été créé pour collecter de BEAUX tableaux et non point de la vulgaire carte postale.

Et moi je pense que tant qu'à faire : pourquoi pas collectionner les timbres qui vont avec. 

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Les épluchures de presse de la semaine 1/2

Publié le par chercheur d'histoires

Les épluchures de presse de la semaine : 1/2

VIVE LES VACANCES :

La semaine dernière, Pont-Aven a vécu sous le signe des vacances,

mais tout d'abord arrêtons nous sur les avis mortuaires

- L'association : La ruche des Grands Chênes vient de disparaître

  Paix à son âme, comme toutes celles des associations qui disparaissent du paysage pontavénin, les unes après les autres, depuis quelques temps.

+ + +

Vive les vacances.

- Les membres "inférieurs" de l'association des mille pattes ont pris le bus pour le PUY du FOU

280 km (x 2) et à pied, ça use, ça use ...

 - Les bras agiles du foyer des meunières sont allés se dégourdir les jambes à CARHAIX.

Sans doute dans le cadre d'une rencontre entre vieilles charrues. 

 

- Les fidèles du "Café littéraire" sont par contre restés sur place pour débattre sur le thème ... du VOYAGE.

- Il en sera de même le 10 décembre pour les pensionnés de la marine qui : en ayant marre des voyages, se réuniront dans le coin.

 

A suivre demain

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Diableries d'avocat (dernier volet)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (dernier volet)

Passons au paragraphe suivant :

 « Vive la critique … à condition d’accepter la confrontation. Quelle contradiction de vouloir à la fois une école d’éducation des amateurs d’art en réduisant le public aux seuls amateurs d’art fortunés. Refusez-vous donc toute ouverture de l’art aux masses ? »

 Magnifique tirade jubilatoire : n’est-ce pas ? mais où est la vérité s’il pouvait y en avoir une en ce monde.

Tout d’abord, je ne connais pas d’amateur d’art fortuné et par nature : j’aurais tendance à les fuir. Je ne vis pas dans ce monde que je ne connais pas et je ne mange pas de ce pain.

  À de nombreuses occasions, j’ai eu l’occasion de m’exprimer sur un sujet qui me tiens à cœur : l’éducation de l’amateur d’art en parlant de mes semblables.

 J’ai souvent clamé qu’il était nécessaire de « remettre l’art en débat » à Pont-Aven.      Une pratique locale : bien de chez nous, en voie de disparition, elle aussi.

         J’ai en moi des passions communicatives qui me portent vers les autres comme nul autre pareil à Pont-Aven. Il m’est d’ailleurs souvent reproché d’être trop bavard, et de ne chercher que de la confrontation : c’est-à-dire le propre des esprits qui s’épanouissaient à Pont-Aven, il n'y a pas si longtemps. Ces passions m’ont été          transmises par la génération qui m’a précédé. Aujourd’hui, il faut reconnaître qu'il n’y a plus de communication de ce type possible dans la paroisse, totalement englué dans son inculture patente.

Je ne suis pas adversaire de la culture de masse dont je suis issu : bien au contraire.

Il serait d’ailleurs temps d’y penser et de réfléchir comme moi, aux moyens dont dispose la cité des peintres pour apporter aux cohortes de ses visiteurs autre chose que l’imposture d’une niaiserie touristique sans lendemain.

 Le potentiel culturel de la commune est immense pour ceux qui voudront bien faire les efforts nécessaires à sa compréhension. J’ajourerai ceci : dans un esprit d’une culture participative orientée vers son appropriation dans l’intérêt de tous.

Sur ce blog, il y a de la matière pour écrire un livre sur le sujet.


. Le dernier paragraphe de cette réponse à mon réquisitoire n’est que du copier coller : bien copié d’ailleurs, de la propagande municipale que je dénonce  inlassablement depuis plusieurs années. 

 

CONCLUSION GENERALE 

Jean Marc TANGUY défend les intérêts de son établissement : l’un des rares à pouvoir espérer des retombées économiques liées à ce projet.

De mon coté, je milite et m’exprime exclusivement dans l’intérêt général de la commune et de tous ces habitants. Je n’ai rien à gagner dans cette lutte, mise à part des emmerdements.

Gérard BERTHELOM

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Diableries d'avocat (volet n° 7/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 6/8)

.«  Le musée fait entre 15 000 et 30 000 entrées payantes/an »

Voilà une information (de source sûre) qui était gardée bien au secret jusqu’à ce jour et qui n’est pas tombée sous les yeux d’un aveugle.

SCANDALE dans la famille :

Nous apprenons officiellement ainsi que depuis quelques années le musée de Pont-Aven est en déclin. Sa nouvelle direction le menait à sa perte. Je comprends mieux maintenant le pourquoi du secret bien gardé des comptes et des chiffres des entées de cet établissement qui lui aussi : n'est plus que l'ombre de son illustre passé.

15 000 à 30 000 entrées payantes/an ! : il est loin le chiffre moyen de 70 000 comptabilisé durant l’activité de la précédente conservatrice.

La douloureuse réalité est que cet établissement était au bord du gouffre et que sa fermeture devenait probable à court terme. Les bruits qui courraient dans la ville étaient donc vrais.

IMPOSTURE : Comment  peut-on encore aujourd’hui oser clamer orgueilleusement à tout vent qu’il est le troisième musée de France, comme vous avez pu le lire ici ou là, au regard de ses entrées ?

Imaginez le scénario :

C’est rigolo.

Je prends l’exemple du club de football de Pont-Aven. Entre les deux guerres, il rayonnait en Maître sur la région (sources : la presse de l’époque). Il n’est plus actuellement : lui aussi, que l’ombre de ce glorieux passé.

Si je suis l’idée proposée par la municipalité concernant le sauvetage du musée

Pontavénin en déroute, la solution miracle serait sans nul doute de lui construire un stade olympique.

Conclusion : SVP, par pitié pour vos âmes égarées, arrêtez les conneries.

Ce n'est pas tout ... ou presque : à suivre demain

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Diableries d'avocat (volet n° 6/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 6/8)

. «  Vous connaissez très mal la fréquentation de la commune … » 

Pauvre de moi : non seulement je suis l’un de ceux qui la fréquentent le plus -depuis 68 ans-  mais en outre, je suis par nature curieux et fin observateur des lieux.

C’est sans doute pour cela que mon cerveau est détraqué !

Notre avocat en herbe folle poursuit son plaidoyer en me balançant à la figure une longue liste indigeste de chiffres et de pourcentages directement liée au business de son établissement par rapport à la fréquentation du musée (en oubliant d’ailleurs qu'à Pont-Aven vivent aussi des habitants ordinaires, et que Nizon est aussi Pont-Aven !)

Comme l’occasion se présente : parlons-en sérieusement.

         « La ville reçoit entre 600 000 et 800 000 visiteurs/an »

         Dans ce cas :

          - Pourquoi donc cette manne n’apporte-t-elle que si peu d’emplois                                      valorisants sur la commune depuis un demi-siècle ?

         - Pourquoi donc les finances communales sont-elles dans le rouge vif.                                L’état de délabrement avancé de l’hôtel de ville en est la preuve par quatre.

         - Comment justifier la préoccupante fuite de la population de ce paradis ?

         - Quel est ce miracle foireux qui a mené la cité des peintres à se                                     délabrer si lamentablement qu’elle n’est plus que le champs de ruines de                         son illustre passé ?

Conclusion : A mon avis, de tout cela l’avocat du diable s’en fout comme de sa première couche-culotte.

Ce n'est pas tout : à suivre demain ...

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Diableries d'avocat (volet n° 5/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 5/8)

Cela dit, et pour ne pas être taxé de lâcheté en fuyant le débat, je vais brièvement répondre aux allégations de mon contradicteur.

. « Il est absolument incorrect de dire que la dislocation de la vie du centre bourg serait l’agrandissement du musée en 1984, Ce processus a été entamé dès les années 70 avec l’arrivée des zones commerciales

  Un mouvement que l’on retrouve dans tous les bourgs … »

FAUX déclarerais-je :  je n’ai rien de plus à répondre, tout est gravé dans ce que vous venez de lire ci-dessus.

J’ajouterai cependant qu’en 2001, j’avais écrit un article qui fut publié dans la presse. J’indiquais de façon plus précise et bien argumentée que le mal venait non pas du musée en tant que tel, mais du choix de son emplacement lors de son 1er agrandissement qui fut la source de tous les malheurs contemporains du centre historique de la cité.

Ce qui me fait dire aujourd’hui que ce n’est pas sans raison qu’aucune étude préalable de faisabilité ou d’étude des impacts « positifs ou négatifs » du nouveau projet

d'agrandissement de musée sur la ville n’ont été programmées. Un projet de cette importance par rapport aux capacités de la commune nécessitait obligatoirement d’entreprendre ce type de démarches préliminaires. Il n’en fut rien car les conclusions auraient été catastrophiques pour le projet. Cela est particulièrement scandaleux et : « sans nul doute » condamnable par la justice.

J’ai toujours été : durant plus de cinquante ans, un fan et fidèle client du petit musée pontavénin bien de chez nous. Je milite pour la sauvegarde de ce bijou que Pont-Aven doit à quelques intelligents amateurs d’art : des férus en matière picturale des années 1950-1960. Je dénonce par contre sa transformation en un vulgaire parc d’attractions touristiques démesuré au regard des possibilités de la ville. Un parc qui se décline en un somptueux palais sans réel contenu et sans aucun intérêt pour les habitants de la commune, à l’exception des loueurs de galeries et quelques autres commerçants de pacotilles.

À plusieurs reprises j’ai donné mon avis sur « l’unique » solution qui permettrait de sauver à la fois : ce petit musée et le célèbre centre historique de la ville. 

Conclusion  : Tout comme les promoteurs de cet exécrable projet, mon contradicteur est dans le déni de la réalité du piteux état de santé de la commune.


Ce n'est pas tout : à suivre demain

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Diableries d'avocat (volet n° 4/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 4/8)

Les préliminaires terminés, je reviens plus précisément au contenu de cette déclaration de guerre que je ne suis pas sensé connaître.

Il me transporte dans une vie antérieure lorsque j’exerçais la profession d’expert judiciaire.

La fonction de l’expert appelé par un tribunal consiste : après avoir mené sa mission, à déposer au greffe un rapport qui sera transmis aux avocats des parties. Durant l’audience au tribunal, l’un des avocats va approuver sans retenue les conclusions de l’expert, l’autre va mettre en œuvre tout son talent pour contredire les dires de l’expert.

Ces rôles de défenseur ou d’attaquant des rapports expertises peuvent s’inverser au hasard des affaires.

Je sais par expérience qu’un bon avocat n’est jamais aussi bon que lorsqu’il défend une affaire indéfendable : celle où il ne possède aucun argument tangible pour défendre son client.

Comment faire dans ce cas pour rester un bon avocat ? : Ces professionnels ont des astuces ou, si vous voulez : des tours de passe-passe dans leur sac, pour essayer de mettre du doute dans l’esprit du juge.

Je viens de lire les propos de la déclaration de guerre à mon encontre dressée par l’avocat du diable du futur musée de la CCa.

Toute la panoplie de ces astuces de base y passe : Bravo pour l’exercice.

Il a certainement dû se munir de l’ouvrage :

« L’avocat pour les nuls »

 … Extraits choisis de conseils formulés dans cet utile bouquin pour nuls ……….........……

 - Tout amalgamer  en y mettant des couches est une bonne astuce pour brouiller les esprits.

- Tout contredire avec force pour masquer son manque de preuve ou de justification est une pratique courante d’attaque.

- Déstabiliser le lecteur dans des considérations générales hors sujet pour lui faire perdre le  fils de sa lecture en est une autre.

- Crier au scandale contre des déclarations que l’adversaire n’a pas prononcé ou écrit peut-être payant.

Le but étant toujours de déstabiliser le destinataire du texte : plus on en fait, plus on a quelques chances de se faire entendre. Notre avocat du diable à bien compris la leçon : sauf qu’il en faudrait beaucoup plus pour déstabiliser un vieux renard de mon espèce..

A suivre demain ...

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Diableries d'avocat (volet n° 3/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 3/8)

 L’abrégé de réquisitoire que j’ai diffusé agace les fanatiques inconditionnels du projet que je conteste. Ce qui prouve que j’ai su  poser les bonnes questions : celles que personne ne s’était posé auparavant et qui auraient dû à mon sens nécessairement être au cœur de toutes les conversations du pays … s’il existait encore aujourd’hui à Pont-Aven, un public attaché à ses racines.

L’une des qualités premières de cet abrégé est que son auteur ne s’est préoccupé que de  l’intérêt général de la commune et de sa population. Il a laissé ces propres intérêts au placard. 

Je me permets de rappeler une nouvelle fois ici que depuis 15 ans, je mène inlassablement « pour la beauté du geste et souvent bien seul contre tous », des actions patrimoniales et culturelles militantes. L’exemple de Rustéphan est édifiant : Partout ailleurs qu’à Pont-Aven, toute personne ayant œuvré pour une bonne cause de façon aussi passionnée et : par la force des choses, aussi acharnée que moi, aurait été encensé par ses pères pour sa bravoure et son action.

À Pont-Aven, je n’ai reçu que des menaces ou du chantage d’avocat pour me faire taire, ou encore des injures publiées dans la presse, au conseil municipal ou ailleurs : toute une infâme panoplie déployée pour essayer de décrédibiliser mes actions :

 Et cela, dans le seul but de : surtout ne rien faire pour sauvegarder ce « vieux tas de cailloux » dont le fantôme fait sans doute trop peur aux enfants.

Ces majestueuses ruines ont hélas le défaut d’être trop éloignées des tiroirs-caisses des commerces touristiques du centre de Pont-Aven.

Qu’elle est reluisante la cité des anciens moulins !

Ce n'est pas tout : à suivre demain

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Diableries d'avocat (volet n° 2/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 2/8)

J’ai transmis ce réquisitoire aux 9 mairies par courrier électronique en précisant qu’il était destiné à tous les élus. Me doutant d’un court-circuitage de l’envoi, la semaine suivante je téléphonais partout pour prendre des nouvelles de sa bonne transmission. (excepté à Pont-Aven où : par expérience, je savais que mon envoi serait directement dirigé vers la poubelle)

J’ai eu une bonne idée de rappeler toutes ces mairies car : bizarrement, mon envoi avait partout disparu sans laissé de trace. En téléphonant à chaque mairie, j’ai pu communiquer, soit directement avec le maire, le secrétaire de mairie, ou à défaut avec un responsable communal qui m’ont tous assuré (sauf le maire de Trégunc : Président du Muséum CCanesque) que, si je leur retransmettais le fichier, il serait diffusé à tous les élus. J’espère que cette promesse verbale a été tenue.

À Pont-Aven, j’ai choisi de le diffuser sur ce blog, et « à la volée » en version papier.

Je reste d’ailleurs très étonné du succès de cette diffusion. C’est merveilleux pour moi, et : l'on m’en redemande tous les jours.

Le brouillon de ce document comportait une centaine de pages. J’ai dû le réduire drastiquement (10 pages) pour avoir une chance d’être lu. C’est pour dire combien j’ai travaillé mon dossier en profondeur.

C’est du sérieux. Il s’appuie sur un vécu ininterrompu à Pont-Aven : y compris durant mon activité professionnelle brestoise, période durant laquelle je restais très présent et actif le week-end auprès des têtes : « pensantes » des bistrots et « dépensantes » dans tous les commerces de proximités du pays.

Il se fonde sur des connaissances acquises durant presque toute la vie de l’observateur que je suis, et sur le contenu de la riche bibliothèque de la mémoire de Pont-Aven que j’ai constitué durant tout ce temps.

 L’abrégé de réquisitoire que j’ai diffusé agace les fanatiques inconditionnels du projet de musée que je conteste ...

 feuilleton à suivre demain

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Diableries d'avocat (volet n° 1/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 1/8)

L’avocat du diable de la future tour de Ba’Belle Angèle vient de signer une déclaration de guerre à mon encontre.

Avant tout, vous devez savoir que cette décision devait rester TOP SECRET, je ne suis donc pas sensé en avoir eu vent.

Lorsque je vous dis qu’à Pont-Aven tout est tordu, vous pouvez me croire sur parole.

Je profite de cette nouvelle élucubration muséocomique  pour remercier tous ceux qui m’apportent leur soutien dans ma quête de vérité sur les dessous des soutanes pontavéniaises.

C’est également pour moi l’occasion pour faire le point sur la diffusion du « réquisitoire contre le projet de musée » que j’ai écrit il y a quelques mois. Vous avez pu en prendre connaissance sur ce blog.

Sachez également qu’il est à l’origine de cette nouvelle déclaration de guerre.

Je l’avais cogité pour être destiné principalement à tous les élus des neuf communes de la CCa.
Je trouvais profondément choquant qu’un projet aussi lourd et dévastateur puisse se décider et se réaliser sans la moindre concertation préalable avec la population.

Je trouvais également étrange et anormal que : jusque-là, la population de Pont-Aven ne s’était exprimée publiquement sur le sujet.

Il faut dire de plus que la presse locale n’a fait aucun effort en ce sens.

J’ai expédié ce réquisitoire aux 9 mairies  ...

A suivre demain, et les jours suivants   

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