46 % d'augmentation

46 % d'augmentation des impôts ?

Non : pas pour tout de suite, mais ...

46 % d'augmentation du nombre de candidats aux concours d'entrée dans l'Education Nationale cette année

Ce qui signifie pour moi, mais je dois être le seul : qu'il y aurait 46 % de moins de candidats volontaires aux postes de jeunes créateurs d'emplois en France.

(Je dois sûrement me tromper car ce fléau n'est pas perceptible)

Ce pays est extraordinaire :

Lorsque des emplois sont créés, les élus de la nation clament haut et fort dans vos postes de télévision :

"Nous avons créé des emplois"

Lorsque vient le temps des licenciements, les mêmes dénoncent la faute des employeurs tous plus véreux les uns que les autres.

Conclusions : les troupes des Grands défilés de fonctionnaires contre le chômage ne risquent pas de manquer de postulants. Les enfants de troupes sont de plus en plus nombreux à frapper à leurs portes.

Les Grands privilèges des serviteurs de l'Etat font rêver, mais n'y ont accès que des travailleurs méritants plus que les autres.

Heureusement qu'il y a une morale chez les gaulois.
Les candidats refusés iront : faute d'employeur, grossir l'interminable troupe "à la queue leu leu" faisant les pitres devant les portes du pénitencier des bureaux d'embauches à la Française.

Merci qui ? 

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Le bulletin d'informations du Conseil Régional de la Bretagne

Le dernier numéro fait la part belle à Pont-Aven.

C'est normal car eux aussi participent très généreusement au financement du musée Ccanesque.

D'ailleurs, quoi de plus valorisant pour un élu que de s'élever spirituellement en dépensant sans compter pour la sacro-sainte CULTURE politique et étatique à la Française.

Cela dit : un petit coup de pouce à la campagne de "com." en manque d'imagination du service de "communication" du muséum concarnois tombe à pic comme un trèfle à quatre feuilles (d'impôts !)

Prions le bon dieu pour que cette initiative salutaire puisse faire de l'effet sur les faibles esprits qui croient encore au père Noël ... mais qui n'ont toujours pas versé leur obole à la souscription nécessaire au financement des travaux d'enlaidissement de la façade de l'ancien Hôtel de Ville. 

Cela éviterait aux élustucrus d'augmenter encore plus fortement les impôts pontavénins.

Conclusions :

Malgré la sévère crise qui ruine le pays, les pouvoirs culturels continuent à donner des ailes aux pourvoyeurs des dettes publiques.

Le Conseil Général participe ainsi à la grande imposture médiatique, orchestrée par les initiateurs de ce futur musée, en présentant une merveilleuse face "en trompe-l'œil" de la commune.

Derrière cette face "factice", la réalité est tout autre.

La médiocrité et l'inculture ont envahi les rues de cet ancien village joyeux transformé en une génération d'inaction politique, en un vaste champs de ruines de son illustre passé. (J'aime bien parfois me répéter lorsque nécessité oblige)

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