Une première réunion publique ? ? ?

J'ai rué dans les branc'arts

Vous pensez bien que je n'étais pas venu à cette causerie pour faire fleurette et écouter que du bla bla bla sans réagir.

J'avais cru comprendre que le public avait été invité pour discuter, mais aujourd'hui j'en suis moins sûr.

le public ? :  nous étions une ridicule poignée de pelés, dont certains clients réguliers à l'apéro du soir !

A chacun son tour de parlotte : OK,  mais je pense qu'à l'heure où vous lirez cette bafouille, les autres réfléchissent toujours à ce qu'ils vont bien pouvoir raconter.

J'avoue qu'en réalité je suis venu tester les  aptitudes de ces éventuels futurs fossoyeurs à diriger la commune. 

Je voulais les sonder ? et bien OUI, je les ai sondés jusqu'au plus profond de mes cordes vocales.

Hélas, par manque de temps de parole, je n'ai pas réussi à atteindre totalement mon objectif.

J'ai tâté leur susceptibilité ? Oui, mais là j'ai fait mouche.

Un peu trop sans doute : durant un moment, on se serait cru à la Chambre des Députés ou au Sénat Américain.

Après avoir pris connaissance du trac qu'ils ont distribué et pris bonne note de son contenu : en particulier cette inquiétante remarque   (sic) " ... la situation critique de la commune ... ", je leur ai suggéré lors de ma première intervention, de commencer par dresser l'état de santé général de la commune.

La période électorale est le bon moment pour mettre sur le tapis ce genre d'idée me semble-t-il, surtout lorsque la commune est très malade.

En effet, lorsque vous êtes dans cet état, votre médecin commence toujours par dresser un état général de votre santé.

​Que n'avais-je dit ! un vent d'insultes m'est tombé dessus. J'ai : bien entendu, réagi comme il se doit, face à ces exceptionnelles circonstances.

A suivre ...

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Une première réunion publique ? ?

Je reconnais que dans ce bled en décomposition, il est devenu difficile : voir impossible pour les vraies ou fausses têtes de liste aux municipales, de réunir 23 primates pour former une équipe complète.

Vont-ils devoir procéder à un tirage au sort entre les sauvages et primitifs du coin afin d'enrôler des volontaires pour arriver à leur fin ? On n'en est pas loin.

" Demandez le programme "

Ce programme figure dans le trac distribué par cette troisième équipe de bras cassés, ... du moins je le croyais.

Curieux comme je suis, le l'ai épluché de long en large, et : malheur pour moi : il m'est resté en travers de la gorge.

Comment dire ?

J'aime le slogan de campagne proposé : c'est nigaudouille comme tout :

" BOUGEONS POUR NOTRE COMMUNE "

Pour le reste, je n'y ai décelé que quelques traces de promesses pour tous.

Cependant, en parcourant ces lignes avec plus d'attention, j'ai eu l'impression de lire une ordonnance médicale préconisant un remède de cheval destiné à un mourant !

La situation de la commune serait-elle aussi grave que cela ?

L'angélisme ambiant - rapporté par les can'arts des coins-coins du coin - serait-il qu'une ignoble tromperie ?

Ce blog aurait-il raison de tout critiquer depuis sa création ?

Hélas, je me trompais sur toutes les lignes.

Le programme annoncé n'était pas : selon leurs dires, le programme de leur campagne.

Les promesses annoncées n'étaient pas : selon leurs dires,  des promesses de campagne ... etc. et tra-tra-trallalla l

Cette campagne démarre assurément en trompe-l'œil : c'est-à-dire en trompe-couillons.
Je ne pouvais pas ne pas réagir.

. J'ai donc rué dans les branc'arts ...

A DEMAIN

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 Une première réunion publique ? 

Une première réunion publique orchestrée par une troisième liste de prétendants à la future municipallté, c'est déroulé hier soir (vendredi 18) dans un bistrot "du bourg d'en bas" de la commune.

Ce que je peux déjà déclarer sans me tromper, est que déjà : ses membres pataugent dans le colt'art.

J'ai activement participé à cette sauterie.

Il y en a qui s'en souviendront longtemps.

Le public présent a eu la primeur de leur slogan de campagne :

" BOUGEONS POUR NOTRE COMMUNE "

Euhhhh ! : pas trop SVP, les ruines de Rustéphan ne le supporteraient pas.

Cela dit : pour bouger, j'ai bougé. J'ai même rué dans les branc'arts.

Le meneur de l'opération : en principe tête de liste, ne serait pas la tête de la liste. Je n'aurais soi-disant rien compris.
La liste des 14 membres dévoilés dans le trac (qu'ils ont distribué dans la ville) ne serait pas la liste des membres de l'équipe partante. Je n'aurais encore rien compris.

Par contre, y figurent des membres souteneurs afin de servir de bouche-trous sur la liste des véritables membres qui eux-mêmes ne sont pas sûr d'y rester. Là, je crois avoir bien compris, même si cela n'a pas été dit d'une manière aussi claire.

Bref, ils ne sont pas sortis de l'auberge. Mon petit doigt me dit d'ailleurs qu'ils ne sont pas les seuls.

A suivre passionnément ...

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Une pluie d'enfer sur la Région

Le Gouvernement vient de décider de débloquer 15 millions d'euros :

Tout juste de quoi payer le café d'enterrement (et le gâteau breton qui va avec) de l'industrie agro-alimentaire de la Bretagne.

De son côté, dieu la providence a décidé de provoquer une pluie de 12 millions d'euros - bien tassés - sur Pont-Aven, afin de bouster la carrière de la conservatroce en chef du musée de la CCânerie.

C'est ce qui s'appelle : une pluie d'enfer sur la région ... pour préserver l'emploi.

On peut dire aussi que la Bretagne se prend actuellement de grosses gamelles.

Oui mais : gamelles et impôts bien salés, ne sont-ils pas des maux synonymes ? Il me semble que oui.

Conclusions de ce jour particulièrement pluvieux :  

Il n'y a dans tout ça, qu'une fonctionnaire hors-cadre des Musées de France à échapper à la douche froide.
Son problème est que : si ce n'est déjà le cas, personne ne pourra bientôt plus l'encadrer dans le pays.

D'ailleurs, que restera-il autour d'elle à Pont-Aven ?

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Le commentaire d'un commentaire

Je viens de recevoir le commentaire qui suit :

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Blog intéressant, pourfendeur de la mauvaise gestion du patrimoine local de Pont-Aven par l'équipe municipale en place. Mais les sources des informations sont rarement citées et c'est dommage... Conseil Municipal ? ragots et "on dit" ? journaux locaux ? il serait bon de préciser vos sources .. Merci d'avance

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Merci à son auteur.

Que puis-je lui répondre ?

- Le conseil municipal :

Vous parlez sans doute des élustucrus ?

Réponse : Il faut savoir que les élus : et encore moins leur maîtresse (dame la soutane), communiquent très peu avec les pontavénounours.

Cette source d'informations est tarie.

- Les journaux locaux :

Vous parlez sans doute des can'arts des coins-coins du coin ?

Réponse : cette source n'est pas tarie, mais elle nous apporte le plus souvent que de l'eau boueuse, impropre à la consommation.

- Les ragots et on- dit :

Je suppose que vous entendez par là ceux des pontavénounours ?

Réponse : ces individus sont hélas, en voie de disparition.

On peut encore en rencontrer quelques rares spécimens, le matin sur la Place, devant le fourgon de Renée : notre courageuse marchande de poisson.

Il reste aussi dans ce trou, une poignée de vieux radoteurs sirotant leurs derniers verres dans les derniers bistrots du coin.

C'est avec ça que je dois me dépatouiller pour apporter tous les matins des nouvelles fraîches du pays à mes lecteurs. 

Croyez-moi, il est difficile de tirer les vers du nez de clowns.

Cela dit, il me semble que je cite régulièrement mes sources d'informations, surtout lorsqu'elles sont établies de façon certaine.

Je parle de ragots ou de on-dit lorsqu'elles le sont moins.

Sachez madame,  qu'il est dur d'essayer de réchauffer les esprits ankylosés des pontavénounours, surtout lorsqu'ils ne veulent rien entendre ni savoir.

Qui aime bien son pays, châtie bien ses fossoyeurs.

Gérard BERTHELOM

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Pont-Aven : Paradis terrestre.

Je parle d'un temps que les jeunes générations ne peuvent connaître.

Ce paradis perdu, je l'ai vécu jusqu'en 1985.

(date du premier agrandissement du musée pontavénain) 

Depuis, j'ai aussi vécu sa lente descente en enfer.

En 1985, la cité est devenue brusquement un paradis fiscal pour certains virtuoses du pinceau trempé dans de la peinture.

Que c'est-il donc passé de si tragique pour les gens du coin ?

Pour la période la plus récente, vous allez comprendre le pourquoi du comment. 

Dame la soutane est aujourd'hui en fin de son deuxième mandat de maire.
Pour elle, le paradis ne peut être : bien entendu, que céleste.

Aussi, oser déclarer que Pont-Aven pourrait être un paradis, est un blasphème dans l'esprit saint de cette dame du culte.

En disant cela je n'apprends rien à personne. 

Pour elle, le pêcheur doit souffrir sur terre pour espérer atteindre dans l'eau delà, le vrai paradis.

Aussi, a-t-elle décidé de faire souffrir les petits pêcheurs pontavénains durant toutes les années de son règne pontavéniais ... ... afin que : Gast-à-gast, tous puissent la rejoindre un jour au ciel. 

Ai-je bien résumé la situation ?

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Les élections municipales approchent à grands pas

Il devient plus que temps d'y réfléchir un peu.

L'association "Le carré Long" que je dirige mène des actions militantes patrimoniales et culturelles, liées au patrimoine, à l'histoire et à l'identité de Pont-Aven et de ses habitants, depuis 17 ans.

 Depuis tout ce temps de travail, d'observations, de réflexions, d'accusations contre toutes les magouilles qui noircissent les municipalités successives, mais aussi de propositions constructives pour sauver le pays, je suis patenté me semble-t-il pour m'immiscer dans les débats.

Ici on vous dit tout : ceux qui me lisent le savent bien.

Mon militantisme patrimonial et culturel s'adresse forcément aux politiques lorsque nécessaire, et à Pont-Aven cette nécessité est constante.  

Cela dit : Résumons aujourd'hui les actions du conseil municipal sortant.

En arrivant, ses membres ont découvert une barque pourrie transportant 2880 passagers vers une noyade certaine.

Heureusement que ZOROzette Muséette est arrivée à point.

Sans elle ces corniauds : jamais à court d'idées, auraient vraisemblablement proposé aux naufragés de repeindre le canot.

Nous connaissons la devise de tous les élus : du travail pour tous !

Repeindre le canot, c'était assurer du travail pour la trentaine de peintres qui glandouillent dans le bourg de Nizon, et pour la centaine d'autres qui s'art'souillent comme ils peuvent dans le bourg de Pont-Aven.

ZOROzette est arrivée juste à temps en déclarant au cours d'une inoubliable réunion du conseil municipal :

Il faut vivre avec son temps.

Noyée pour noyée, tant pis pour l'épave pontavénaine - et son contenu - tournons nous vers l'avenir du pays  en construisant

un magnifique PAQUEBOT

Il sera la locomotive économique de l'avenir de la cité.

Les zozos l'ont cru comme des élustucrus.
Nous connaissons la suite de cette idiote et malhonnête proposition.

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S'il Vous Plaies

SVP les parlementaires,

Bande de sadiques : Au lieu de nous distiller au goutte-à-goutte de nouvelles taxes tous les jours en guise de petit-déjeuner, vous seriez bien aimables de nous présenter une bonne fois pour toute, ce que vous avez décidé de ne pas taxer.

Ce serait moins hypocrite, plus simple, et un peu plus compréhensible pour tout le monde.

Je comprends bien sûr qu'il va falloir financer "par l'impôt" le gros projet du futur musée de la CCânerie et tous les lourds "à-côtés " qui vont avec, 

puis le financement des immenses frais de fonctionnement du monstre,

mais tout de même : un peu de bon sens SVP.

Nous aimerions bien savoir à quelles sauces les générations futures seront dévorées : surtout celles de Pont-Aven ... et de la CCânerie.

Merci.

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Défense d'afficher

Défense d'afficher sur les bâtiments et dans les lieux publics dans le bourg de Pont-Aven : c'est la LOI.

OK : Oui mais au quai, certainement pas,

Pas plus que sur la grand'Place de la Ccânerie.

(voir ces derniers jours sur ce blog) 

 Et dans rue Gl De Gaulle ?

C'est encore plus drôle.

La preuve en image ci-dessous.

C'est quoi cette nouvelle connerie : 

Une station de lavage des automobiles ?

Si vous avez une grosse voiture, ne vous y engagez pas car la porte d'entrée des lieux est trop étroite ... aussi étroite que les cervelles des élustucrus.

Ce qui est bien ... pour les voyeurs, est que la porte ne se referme qu'après utilisation.

Ce qui est dommage pour eux est que l'engin est hélas souvent en dérangement.

ATTENTION tout de même  : le disque bleu est obligatoire.

Quel pays de merde. Il faut vraiment y vivre au jour le jour pour le croire.

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Une deuxième tête de liste (fin)

Ce préposé à l'urbaniste est également adjoint "aux bâtiments durables".

Vous ne le saviez pas ?

Je suppose que non, car il est incontestable que M. l'urbaniste en chef de la commune, a manifesté une forte résistance à la mise en application des grands principes d'aménagements durables promulgués dans notre pays.

"Aménager de façon durable" était l'un des objectifs prioritaires du Grenelle de l'Environnement. 

Cet objectif est depuis intégré au code de la construction et de l'urbanisme.

Cette règle fondamentale pour l'avenir de la planète, est intégrée dans les objectifs du SCOT.

Ce SCOT a été approuvé par les élustucrus pontavéniais, mais dans la pratique, qu'en est-il de ces bonnes intentions ?

Reprenons ensemble la liste des principales actions et réalisations récentes de la municipalité :

 - La construction de baraquements "provisoires : mais pour très longtemps faute d'argent", implantés à Nizon il y a deux ans pour entasser les enfants expulsés de l'école publique de Pont-Aven,

- Le transfert "provisoire, mais pour très très longtemps faute d'argent" de la mairie dans cette ancienne école publique ...

... au coefficient énergétique aussi déficient que celui de l'ancien Hôtel de Ville : ce qui est peu dire.

Notre architecte ne doit pas savoir ce que sont :

- Une DPE énergétique,

- ou la signification ;

du mot durable en matière de construction

Que peut-on observer de vraiment durable dans ce pays ?

- RUSTEPHAN ? NON

- Le vieilissement de sa population ? OUI  

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Il me semble par ailleurs qu'il a totalement oublié durant son mandat, qu'il avait reçu lors de sa nomination d'adjoint à l'urbanisme :

Gast à gast :

une Grande Mission d'Architecture :

Le sauvetage des ruines de Rustéphan.

Pour l'instant il promet :

"De combattre le déclin de la démographie, le vieillissement et le dénuement de la population " 

Gast à gast à gast : Quel beau programme !

Il se prend pour le chevalier Du'déclin de Pont-Aven,

tout en critiquant très sévèrement l'action de l'actuelle municipalité !

Ce qui est sûr est que le combat des coqs de la clique des fossoyeurs actuels est commencé. 

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