DD et JML (fin de l'article)

- "Le stationnement payant" a fait un petit tour de table !

- - - Oh my god ! michet ? ? ?

- "La création d'un circuit de navettes reliant les parkings au centre ville pour le désengorger" a engorgé la soirée.

- - - Oh putin de bordel de merde !

Je dois le reconnaître, la soirée  serait restée bien sage ... et morne, sans mes agaçantes interventions.

Ce circuit de navette est pour moi le pendant (comme une paire de couilles) de la proposition de DD de faire inscrire Pont-Aven au patrimoine de l'Unesco.
A ce stade de la compète, le score est nul entre ces deux têtes de boîtes de nouilles :

Aussi nul que leurs programmes.

Cependant, à la suite de cette réunion, je donne sans hésiter un carton rouge à JML

Un carton rouge uniquement parce que je n'ai pas le pouvoir de le rayer de sa liste.

En matière de patrimoine et de culture il n'est qu'un gros naze. Il ne voit dans les majestueuses ruines de Rustéphan qu'un vulgaire tas de cailloux.

Il n'est hélas pas le seul dans le coin. C'est bien triste pour le pays d'en arriver là, surtout lorsque l'on déclare haut et fort : rayonner culturellement sur le monde.

Rustéphan est un redoutable test : désolé pour Jean Marie mais il a lamentablement raté ce test patrimonial et culturel.

En ce domaine, je pense que DD sera plus malin que lui.

Mais attention : ces promesses de sauvetage de ces monumentales et historiques ruines risquent d'être du pipeau.

Durant le mandat qui se termine, il avait reçu la noble mission en tant qu'adjoint à l'urbanisme, de se préoccuper du sauvetage de ce trésor en danger. Il n'a rien fait, sans doute trop préoccuper à magouiller en bande organisée pour arriver secrètement à délivrer illégalement un permis de construire en faveur du musée de la CCânerie.

Cela dit, et pour les remettre à égalité : imaginez l'un de ces deux guignols obligé de lire ses discours à chaque vernissage du futur musée de la CCânerie ! ! ! ?

Ce sera du "rigolo plein de poils" comme on dit ici.

Conclusions générales :

4 listes : soit 92 inscrits aux élections municipales, et toujours pas de quoi réunir assez de matière grise pour fonder une seule liste capable de maîtriser la débâcle de la commune.

Parmi tous ceux que je connais, il y aurait bien deux ou trois capables de diriger "ensemble" correctement la commune, mais pour ce faire, ils devraient neutraliser les têtes de leur liste respective.

Voilà au moins en action préventive qui aurait du sens, mais ce n'est pas gagné.

Post-conclusions :

Faites comme Gauguin braves gens, faites comme moi et bien d"autres : fuyez ce bled pourri jusqu'au trognon, avant que le ciel ne vous tombe sur la tête.

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DD et JML (page 2)

Je viens d'assister à Nizon à l'une de ces réunions de quartier.

Avec mes gros sabots et mes préoccupations sur l'avenir de la commune, j'ai eu

l'impression de revoir le film tourné à Pont-Aven : "Un chien dans un jeu de quilles"

- Imaginez une famille demeurant dans un logement délabré et insalubre.

- Imaginez le père déclarant à ses enfants : "ça ne peut plus durer, nous devons réagir. J'ai une idée, nous allons faire la vaisselle "

C'est la première idée qui me vient à l'esprit après la lecture des onze propositions présentées par cette liste au public.

Les présents : peu nombreux, étaient en principe conviés à s'exprimer sur ces propositions mais attention : exclusivement sur elles. Pas de débordements intempestifs SVP. 

Pas question d'aborder des questions qui fâchent. C'est pour cette raison qu'une nouvelle fois, je me suis retrouvé dans la confrontation.

- Onze propositions formant un sac de nœuds indémêlables constitué par des grosses ficelles électorales "usées jusqu'au la corde"

- Des propositions d'une équipe se voulant :

 Gast-à-gast Gaston :

 Poils aux cons ! 

" Dans la continuité de la politique précédente "

Si vous souhaitez qu'en fin du prochain mandat, Pont-Aven se ramasse à la petite cuillère, votez pour ce sac de nœuds.

Votre vote ne changera d'ailleurs rien car : en fin du prochain mandat et quels que soient les vainqueurs aux élections, Pont-Aven se retrouvera de toute façon en miettes, écrasée sous la masse culturelle du musée de la CCânerie.

J'ai à plusieurs reprise essayé de tirer sur les ficelles de ce sac pour en savoir un peu plus, mais à chaque fois, JML les coupaient au raz du nœud.

Mes efforts sont restés bredouilles.

Ce fut donc un débat aussi mou qu'une bouse de vache fraîche s'écrasant sur un sol détrempé.

La soirée fut consacrée à débattre de problèmes mineurs et superficiels sans lien avec les graves sujets de fond portant sur l'avenir incertain du pays et de ses habitants.

Il me semble intéressant de noter que les rares discussions furent dominées par des questionnements sur la sécurité du centre bourg-d'en-haut de la ville.

A l'annonce de ce sujet, tout le monde s'est brusquement réveillé, chacun ayant à proposer sa solution miracle. 

A Nizon, les toutes fraîches couches de bitume ondulées ne suffisent plus à assurer la sécurité des paroissiens, l'interdiction du passage des poids lourds non plus, la vitesse limitée à 30 km/h c'est encore trop, aussi : pour presque tous les bougres présents, il devient une nouvelle fois indispensable ... d'en faire encore plus. 

Ce débat stérile me fait penser à l'histoire de la couleuvre qui se mord la queue,

sauf que dans ce cas, la couleuvre se bouffe la queue jusqu'à s'en avaler sa tête.

A suivre demain ...

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C'est la première idée qui me vient à l'esprit D.D. et J.M.L. font du porte à porte (page 1)

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Note préliminaire :

Ces jours derniers, ce blog a changé de look comme de chemise.

Je l'ai découvert comme vous : c'est pas moi café ça.

Il ne fait qu'à sa tête, je n'y suis pour rien.

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DD et JML ont commencé leurs tournées de campagne électorale en déployant chacun de son coté la même  tactique.

Il n'y a aucune raison pour que les deux autres listes : pour l'instant aux aguets, procèdent autrement.

Je peux déjà vous assurer qu'ils auront tous un point commun :  tous malins comme des nouilles trop cuites.

La tactique consiste à se présenter à la population quartier par quartier.
Cette pratique est déplorable car elle consiste à n'aborder que les petits problèmes particuliers des uns et des autres sans avoir à se prononcer sur les réels enjeux et les immenses défis d'intérêts généraux qui se posent aujourd'hui, et qu'il serait nécessaire de mettre sur le tapis des engagements de campagne  pour assurer un Avenir satisfaisant à la commune et à ses futurs habitants.

Que va-t-il résulter de cette campagne ?

Je vous en donne la saveur :

Imaginer que durant l'une des réunions publiques, un brave banlieusard se met à  pleurnicher parce que le trottoir au droit de sa maison n'est jamais balayé par les cantonniers du coin  : aussitôt, une tête de liste bien intentionnée va lui promettre de venir personnellement passer le coup de balai nécessaire à la propreté de sa cité.

Une voix de plus, ça compte lorsque les élections risquent d'être très serrées.

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Compte tenu des difficultés qui s'annoncent pour la survie du pays des moulins, la morale républicaine aurait exigé que chaque liste organise au moins une réunion publique générale où seuls les sujets d'intérêts généraux soient abordés, discutés, et traités de façon approfondie avec la population.

Les réunions pré électorales  n'auraient-elles pas pour objectif de tester les capacités des membres des listes à gérer convenablement la commune ?

Tester par exemple leurs capacités à s'engager fermement et sans détour sur un objectif de création d'une centaine d'emplois valorisant durant le prochain mandat  municipal ...

...  en ne faisant pas que de vagues promesses qui ne seront pas tenues ...

... ni en dévoilant une martingale sortie d'un chapeau de clown pour y parvenir,

 mais en proposant  de façon concrète et sérieuse les moyens qu'ils envisagent mettre en œuvre pour y parvenir.

DE L'EMPLOI, rien que de L'EMPLOI jusqu'à ce que cet objectif soit atteint,

c'est-à-dire - entre autres -  plus un rond pour le musée de la CCânerie, jusqu'à ce que cet objectif ultra-prioritaire soit atteint.

Le problème est que les quatre listes en partance sont aussi inconsistantes que la liste sortante et qu'aucune ne possède "la boîte d'outils" nécessaire pour parvenir à des objectifs de cette nature.
..............................................................................................................................................Il faut dire qu'à Pont-Aven, comme ailleurs mais de façon plus marquée, les élus ne sont pas gâtés car les pontavénizoneux ont pour habitude de se décharger lamentablement de leurs responsabilités de citoyen sur leurs élustucrus.

Pontavénizoneux, mais surtout Jemenfouristes con'vainçus : les gros problèmes qui rongent le pays, ils n'en ont rien à foutre.

Après les élections c'est du :

"Qu'ils se démerdent pourvu qu'ils nous foutent la paix.

A Pont-Aven, on aime se laisser vivre mollement et se baigner dans le train train quotidien.

Ici comme ailleurs : quand on aime on ne compte pas, mais ici : lorsque ça va mal, on compte surtout sur la providence"

Je viens d'assister à l'une de ces réunions de quartier.

A suivre demain ...

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Le Blog-Notes de la semaine (fin)

Il y a aussi de l'eau dans les rues.

L'Aven vient de sortir de son lit.

Nous savions déjà que Pont-Aven prenait du retard sur tout : surtout en matière de constructions publiques, mais le comble est que ce triste constat est vrai aussi en matière d'inondations ... avec deux mois de retard sur les autres villes "à Rias " du Finistère.

Dame la soutane va demander à l'Etat de déclarer la ville en état de catastrophe naturelle.
Naturelle ? ce n'est pas forcément vrai dans tous les cas.
Ce n'est pas vrai lorsque les immeubles inondés sont des constructions relativement récentes : de 10 à 20 ans d'âge.
Cette situation  correspondant au tiers des sinistres constatés.

Cela fut : avec la complicité des élus, de grosses conneries qui  concernent quelques bourgeois du centre de la ville.

Des conneries car ces inondations étaient plus que prévisibles pour tous ceux qui ont un peu de mémoire.

 Ils se sont : pour cette fois, tout au plus mouillés les chaussons ; ce n'est pas si grave que ça : tant pis pour eux non ?

Serait-il "normal" que les conséquences de ces scandales soient prises en charge par la collectivité ? 

La collectivité va déjà devoir financer les conséquences de la deuxième catastrophe culturelle qui s'annonce. 

Une catastrophe culturelle tout aussi prévisible que la précédente et qui sévit sur la commune depuis 1985.

Une catastrophe qui inéluctablement va encore s'emplifier dans les prochaines années en raison de conneries en cascade que nous offrent les élustucrus (passés ou futurs) du coin.

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Le blog-notes de la semaine passée.

Il y a de l'eau dans le gaz.
Plus rien ne va dans la cité des anciens peintres de talent : 

​Les sages commerçants du bourg d'en bas se sont mis à râler.

. Ils râlent parce que les travaux de la rue du Port : que la presse s'était empressée de déclarer terminés il y a quinze jours, sont repartis comme en quarante.

La municipalité vient de décider de construire d'un côté de la rue : de façon précaire comme leur habitude, un "trottoir tout neuf" 

Encore et encore et encore des dépenses à fonds perdus.

Je dirai pour conclure sur le sujet que ces travaux sont repartis au quart de tour ...

... mais pour un simple quart de tour car le clap de fin des aménagements de cette rue est remis une fois de plus à la Saint Glinglin.

. Ces commerçants râlent aussi parce qu'ils viennent d'apprendre que les horaires d'ouverture de la poste vont encore se rétrécir. 

Ils crient au scandale car pour eux cette mauvaise nouvelle représente : non pas une catastrophe d'intérêt général pour le pays, mais parce que ces fermetures représentent des usagers en moins pour leurs boutiques.

Tout cela était parfaitement prévisible depuis le premier agrandissement du musée en 1985. Hélas, la disparition des services publics du coin va inéluctablement se poursuivre.

.Pour autant aucun commerçant du bourg d'en bas n'a bougé le petit doigt durant tout ce temps. Ils ont joué les jemenfouristes. Maintenant qu'ils assument au moins leurs lourdes responsabilités dans les désastres en cours.

Pour l'instant la boutique du musée de la CCânerie n'annonce pas "officiellement" de diminution d'heures d'ouverture, même si dans les faits et contrairement aux annonces de presse, la porte d'entrée de cette coûteuse boutique est de plus en plus souvent verrouillée ! ! !    

Il y a aussi de l'eau dans les rues :

Je vous retrouve ici demain matin pour la suite ... 

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Gros coup de tabac (fin)

Le bruit court que le montant des travaux pourrait à nouveau exploser pour atteindre selon la dernière estimation (tenue secrète) à 15 M €.

Je rappelle ici que je n'ai pas la preuve de ce bruit, mais comme il n'y a pas de fumée sans feu, et que cette opération me fait penser à une bande de crétins qui auraient imaginé de construire une centrale nucléaire sur un volcan, si ce projet ne déclenche pas le feu en la demeure, il risque fort de rayonner fortement comme souhaité par la clique ccânesqueuse, mais pas de la manière qu'ils espéraient.   

...  

15 M € pour le bâtiment seul sans tenir compte des nombreux et lourds "à côtés" :

C'est-à-dire et redire ici : l'aménagement de la place, d'une mairie et de classes d'école provisoires ... puis leurs constructions définitives remises à bien plus tard, les salaires et les frais de fonctionnement durant au moins 5 ou 6 ans, d'un musée en sommeil !, etc.

Une bonne nouvelle toutefois.

Compte tenu de l'énormité de ce coût, et de l'impossibilité d'y faire face, les aménagements de la Grand'Place seraient remis à la Saint Glinglin ...

... et l'ouverture de cette mortifiante stupidité en 2017. 

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Gros coup de tabac annoncé

Un Gros coup de tabac est annoncé sur les travaux de la future Tour de Ba'Belle Angèle.(le musée)

Ce coup : s'il s'avérait vrai, va tabasser lourdement vos futurs impôtS.

J'ai indiqué ici récemment que les travaux de finition de cet ignoble projet, seraient retardés : entre autres,  en raison de la découverte de la mérule dans la structure du bâtiment.

Depuis j'en ai appris un peu plus, mais attention : mes sources ne sont pas fiables à cent pour cent.

Je commence par des critiques non contestables :

- Rien d'étonnant à ce que de la mérule soit découverte dans ce bâtiment de la fin du XIXe siècle :

Il n'était plus : faute d'entretien, qu'une passoire à l'humidité.

Une passoire de surcroît chauffée"à donf" depuis 50 ans.

Ce projet est mené par des professionnels du bâtiment (Architectes, SAFI, ABF, un adjoint à l'urbanisme : ancien architecte ...) qui ne pouvaient ignorer ce risque certain.

Et puis, lorsque l'on place "coup sur coup sur coup " de la vermine à la tête d'une municipalité,il n'y a rien d'étonnant non plus à ce que dans la structure de la  mairie se développe à la longue de la mérule

Une fois de plus, tout ce petit monde se fout de la gueule des potavénizoneux.

- De la mérule dans la charpente de l'édifice : et c'est entre autres toute la toiture du bâtiment qu'il faut refaire.

(Ces travaux n'étaient pas prévus dans les coûts des travaux annoncés)

En outre ?

Fin de l'article demain matin.

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Il pleut doucement sur la ville

Extrait de la plaquette ; 

" Le testament des maudits de la secte du christ jaune"

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Nous sommes en l'an trois mille,

Rimbaud sirote chez Correlleau, et Grall est au bistrot.

Le vieil arbre de la liberté est toujours là,

au chapitre congru de l'art moderne, le nom de Pont-Aven est là aussi.

Une visite de la ville, le monde entier en meurt d'envie.

On peut rêver dans un supplément d'âme,

d'une Cité  œuvrant dans l"émotion plutôt que dans l'apparat,

d'un Pont-Aven attrayant et irrésistible, à nouveau prédestiné à l'Art.

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Revenons à la réalité :

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Il pleut doucement sur la ville, 

nous sommes dans les années deux mille,

le rêve est à la porte de la ville,

où se ruinent les anciennes usines Sea Deal.

Sans tomber dans une idéalisation nostalgique sans rapport avec l'actualité du monde, imaginons en ce lieu l'émergence d'un pôle artistique et touristique,

fleuron de la Bretagne contemporaine.

Le projet est à la portée de la ville, des hectares de friches industrielles n'attendent que cela.

Le sauvetage concomitant des ruines de Rustéphan permettrait aux habitants de renouer avec leur histoire en apportant une formidable impulsion à l'image de la plus célèbre ville de l'Ouest.

Son centre décongestionné et ses rues désencombrées, la cité, dans sa nécessaire mutation contemporaine, pourrait retrouver une identité à la hauteur de sa renommée et de ses ambitions.

Le cœur et les poumons de la cité sont blottis au creux de sa rivière.

C'est un énorme bol d'air frais qu'apporterait un projet d'urbanisation 

mettant en valeur la fluidité de l'Aven depuis le haut du Bois d'Amour

jusqu'au bout du port avec en point d'orgue la réhabilitation de son

centre historique.

Un projet d'aménagement des plus simples à mettre en œuvre, dans

un espace qui n'est plus en réalité qu'un minuscule village en perdition.

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Coup sur coup : fin

Que sait-on officiellement aujourd'hui de ce programme ?

_ Coût de l'opération 10 M € ... sans compter le coût des aménagements de la Place (estimé à 700 000 € aux dernières nouvelles), ni celui des "à-côtés" (aménagements de deux classes d'école et d'une mairie provisoires avant leurs reconstructions définitives

reportés ... à plus tard ! etc.), Hormis également le coût exorbitant des salaires et du fonctionnement de ce musée "en pose depuis 2011" !

_ A la suite de ce dernier conseil municipal,  Nous apprenons en outre que des retards dans les travaux en cours seraient constatés mais que " pour l'heure, la date de son ouverture au printemps 2015 reste de mise" ???

Mes conclusions :

Lors de l'adoption de ce projet en 2011 par le conseil municipal, j'avais déclaré ici même que les travaux coûteraient au moins 12 M €, et que compte tenu de l'importance des

travaux des aménagements à réaliser (y compris ceux de la Place), la réouverture de ce musée ne pouvait s'entrevoir avant 2016.

J'ai des oreilles fouineuses et je peux vous dire que dans les milieux CCânesqueux bien informés, la date de fin 2015 est actuellement envisagée pour l'inauguration de la grande boîte d'asticots en cours de construction.

Je dis asticots pour rappeler à tous que ces bestioles servent d'appât aux pêcheurs ... 

... De l'appât comme le sera le fonds des prétendus chef-dœuvres de l'Ecole de Pont-Aven qui rayonneront aux cimaises du futur : tout aussi rayonnant, musée pontavéniais.

C'est tout ce que j'ai à raconter sur le sujet ... pour le moment car je viens d'en apprendre de nouvelles bonnes et pas mûres sur ces sujets.

Vous en aurez la primeur d'ici peu.

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Coup sur coup : page n° 4

Gros retards dans les travaux du futur musée ???

. Souvenez-vous de ce que racontait une certaine Estelle Guille des Buttes-Fresneau  dans la presse du 09/02/2009 :

(sic)

" LE MUSEE VEUT UN GRAND CADRE"

Grâce à Gauguin, il est connu dans le monde entier. Mais il est confiné dans des locaux trop petits et inadaptés. Le musée de Pont-Aven va devoir doubler sa surface ou déménager. Une agence de conseil a été choisie. La population sera consultée. Ouverture espérée en 2012 ou 2013.

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C'est "rigolo plein de poils", vous ne trouvez-pas ?

Moi non plus.

 Ce serait plutôt du rigolo plein de poils au cul car il faut bien dire que Pont-Aven a eu du cul d'avoir dégotter cette conserv'atroce pour l'avenir des habitants du coin.

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. Souvenez-vous également du projet adopté par le conseil municipal de Juillet 2011 :  

Le projet de musée a été adopté à l'unanimité par le conseil municipal.
- Coût de l'opération 6 M €

- Début des travaux : 2012

- Fin des travaux : Avant les élections municipales de 2014.

C'est ce qui s'appelle : "une belle bande de trous du cul"

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Suite et fin de cet article demain matin ...

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