Coup sur coup : page n° 3

Revenons maintenant à la réunion qui s'est déroulée la semaine dernière.

Dans leurs comptes-rendus, les can'arts des coins-coins du coin nous en apprennent des bonnes grosses et des pas mûres : 

1° "Pas encore de plan pour les travaux de la place Gauguin"

2° "Gros retards dans les travaux du futur musée "

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Gast-à-gast, il serait peut-être temps me semble-t-il, d'envoyer ces ostrogoths mal dégrossis, brouter du foin dans les vertes prairies nizoneuses.

- Pas encore de plan pour les travaux de la place Gauguin ? ? ?

- Place Gauguin ? ? ?

Gast-à-gastronomie : Voilà encore une couche supplémentaire de Gauguinite aiguë étalée comme des boursouflures d'enrobé, au fond du trou de peinture pontavéniais.

Cette ancienne Grand'Place historique de la ville, ne serait-elle plus officiellement nommée "Place de l'Hôtel de Ville" ?

Que fera-t-on dorénavant de sa récente nomination en : "Place du Général De Gaulle"  telle qu'indiquée dans le dossier du permis de construire de musée de la CCânerie ?

Cette place ne serait-elle plus destinée à se transformer en "Gare routière" pour ce futur musée ?

Dans ce patelin en décomposition, tout le monde aurait-il perdu la boussole ?

- Pas encore de plan pour cette place ???

- Et le plan RIVET de 2001 qui a coûté 45 000 € à fonds perdus aux contribuables de la commune

- Et le plan du grand Projet Urbain et Paysager présenté par ces ostrogoths à la population en 2012, et qui a coûté 35 000 € à fonds perdus aux contribuables de la commune ?

- Et le projet d'aménagement de cette place annexé illégalement au permis de construire du musée de la CCânerie ?

(Je prépare un nouvel article plus explicite que les précédents pour des novices en Droit,

sur ce sujet brûlant)

. Dans ce patelin en décomposition avancée, tout le monde aurait-il perdu la boule ?

Les réponses exactes sont incontestablement : OUI et OUI

A suivre demain matin ...

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Coup sur coup : page n° 2

Ils ne veulent surtout pas : comme par exemple l'ancienne équipe Rivet, être obligé honteusement de raser les murs du bourg après avoir perdu leurs pouvoirs de domination sur la ville.

N'avez-vous pas remarqué que depuis le début de l'année, dans leurs petites têtes de nœud, des projets sur la comète surgissent de nulle part ?

Des projets sans lendemain qui éclateront comme des bulles de savon dès les prochaines élections.

Je suis près à parier que ceux qui se représentent aux prochaines élections ne vont pas tarder à proposer une fois de plus de sauver les majestueuses ruines de Rustéphan !

(Ces dernières jours, de nouvelles pierres finement ouvragées, issées au plus haut de la tour de cet ouvrage au XVe siècle, se sont écroulées dans l'indifférence générale)

Cela dit, il faut bien reconnaître que depuis le règne de Rivet, la politique locale a principalement consisté à fossiliser le pays.

La célèbre "cité des anciens peintres de talent" n'est plus aujourd'hui que le champ de ruine de son illustre et glorieux passé; n'est plus : dit d'une autre manière, qu'une vaste "maison de retraire" s'étendant sur tout le territoire communal.

Revenons à l'actualité de la semaine :

Lors de l'avant dernière réunion du C.M. , les  élustucrus avaient décidé de lancer un grand programme d'aménagement de la friche de l'ancienne usine Sea Deal.

Dans le "Testament des maudits de la secte du christ jaune" - que j"avais osé publié en 2008 - j'avais donné mon sentiment sur ce secteur de 6 ha d'espaces aménageables  englobant cette friche industrielle.

(je vous proposerai en fin de cet article de lire ou de relire ce pamphlet)

. Revenons maintenant à la réunion qui s'est déroulée la semaine dernière.

Dans les comptes-rendus des can'arts des coins-coins du coin nous en apprenons des grosses et des pas mûres : 

1° "Pas encore de plan pour les travaux de la place Gauguin"

2° "Gros retards dans les travaux du futur musée "

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A suivre demain matin ...

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Coup sur coup : page n° 1

Nous venons à peine de digérer la soupe au lait de la dernière réunion du conseil municipal que les élustucrus viennent de nous en remettre une louchée.

Je trouve ça louche : pas vous ?

Les élustucrus se sont à nouveau réunis la semaine dernière.

- Je comprends qu'il doit être très douloureux de devoir quitter son siège lorsque durant des années, on a eu tous les pouvoirs  communaux à sa disposition.

Quitter son poste est d'autant plus douloureux que c'est un postier qui veut l'occuper. (Voir cette plate astuce précédemment sur ce blog) 

- Cela me fait aussi comprendre que pour ces nouilles moisies, il était bien doux ce pouvoir exaltant de diriger la commune à sa guise. 

Il ne reste plus à ces élustucrus que deux mois pour jouir dans la maison du peuple.

(Pas celle de Gauguin)
Rien d'étonnant donc à ce que d'ici les prochaines élections, les réunions de ce conseil municipal : condamné à disparaître dans l'allégresse ... de la population, se multiplient.

Le destin de la commune est encore pour quelques semaines entre leurs mains, et : à en croire la presse, ils en profitent manifestement plus que jamais.

Je pense qu'après leur "Grande Œuvre" : je parle du sinistre projet d'aménagement dans l"étroit centre historique de la ville du "plus Grand musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven" ils veulent en faire encore plus pour les ponavénizoneux qui leur avaient fait confiance.

Ils ne veulent surtout pas : comme par exemple l'ancienne équipe Rivet ... 

La suite demain matin.

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Connaissent-ils leur commune ?

C'est la question "test" du jour que je pose aux 92 individus (23x4 listes) en partance pour siéger à la mairie pontavéniaise. 

Je mets à leur disposition trois mots :

Cochonnailles - choco'nailles et cochonneries

A eux de les placer "à leur guise" sur les deux lignes suivantes :

- NIZON et ses ....................

- PONT-AVEN et ses ..................... et ses .......................

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La blagounette du jour :

Connaissez vous la nouvelle boisson favorite des Bretons ?

Le "DU'BONNET rouge"

A consommer sans modération

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Y a que trois dents (+ un talisman)  ...

Nous apprenons en outre qu'un bol en faïence de Quimper a été découvert dans ce mystérieux puits.

A mon avis, cette extraordinaire découverte aurait été plus rigolote si ce bol ...  qu'un plaisantin a certainement jeté dans ce trou, avait été signé Creston ou Malivel. 

Une œuvre signée par un membre du mouvement SEIZ BREUR ça vaut du pognon,

autant qu'une dent en or, gast !

En écrivant cet article, une idée m'est venue à l'esprit :

Celle d'entreprendre des fouilles dans le puits du manoir de Rustéphan afin de rechercher d'éventuelles dents ayant appartenu à Geneviève.

Un test ADN sur ces restes du XIVe siècle permettrait peut-être de découvrir si la légende

du même nom est vraie ou pas.

Il suffirait de déceler sur ces dents des traces d'ADN appartenant de Flécher : l'amoureux de Geneviève qui se fit prête au désespoir de la belle, pour que le voile de cette légende tombe ... comme le voile du pucelage de Jénovéfa.

Conclusions :

Voyez-vous, moi aussi lorsque je n'ai rien à me mettre sous la dent, je sais raconter des conneries.

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Y a que deux dents ...

A force d'exploiter à outrance l'histoire de ce personnage, manifestement les  historiens n'ont plus rien de bon ... à se mettre sous la dent.

Cela dit, je ne peux pas en rester là.

Pour vous remercier de me lire tous les matins, je me dois de vous en proposer plus.

Allons-y : Pourquoi faire tant de ramdam sur l'origine de ces dents ?

- Elles ne sont même pas en OR !!!

- Pourquoi mêler la science dans la recherche de la paternité de ces trésors ?

 N'aurait-il pas été plus simple d'ouvrir le cercueil du Maître pour vérifier si sa dépouille était oui ou non dépourvue de ses quatre dents.

Dans l'affirmative, il n'y avait plus qu'à restituer comme il se doit à César ce qui appartient à Cés'art, et qu'on en finisse une bonne fois pour toute de déblablatérer comme un bègue sur son compte.

Mon petit doigt me dit qu'on retrouvera bientôt ces dents dans des reliquaires.
L'un destiné au musée Gauguin de Tahiti, un autre réservé comme trophée par les dirigeants de la future Grande tour de Babel'Angèle, le troisième retournant séjourner dans l'ancienne pension Gloanec ; là où toutes ces dents ont autrefois croqué de la patate au lait ribot. 

(Pour déguster des frites, il fallait à l'époque séjourner à l'Hôtel Julia)

Et enfin le dernier destiné à être transformé en Talisman.

Celui là je me le réserve si vous voulez bien.

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Nous apprenons par ailleurs ...

La fin vous sera servie demain matin.

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Y a qu'une dent ...

La gauguinite aiguë n'en finit pas de faire des ravages.

Le pire est qu'elle a tendance à se répandre ... d'un trou de peinture à un autre trou de peinture.

Je prends pour preuve la fabuleuse histoire racontée cette semaine dans la presse sous le titre :

"La fabuleuse histoire des quatre dents de Gauguin " 

Moi qui croyais tout savoir sur ce personnage, jamais je n'aurais imaginé qu'il n'avait que quatre dents !

Ces dents ont été découvertes dans une bouteille, elle-même retrouvée au fond d'un puits situé près de l'ancienne maison de Gauguin dans les Iles Marquises (cette semaine sur ce blog et ailleurs, c'est la fête de ces Iles)

Des analyses d'ADN ont "presque ?" dévoilé leur origine.

Ouille, ouille, ouille, ça me met la rage aux D.

Nous venons d'atteindre le summum de l'idôlatrie dégauguinante pontavéniaise, mais cette fois à la mode tahititittitititititititisienne.

A force de ....

La suite demain matin

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Les élections approchent à grands pas

Aujourd'hui je vous propose de partager avec moi mes soucis du moment.

Les élections de la reine des fleurs d'ajoooooooooooooooonc et de ses demoiseilles d'honeurs approchent à grands pas ... de gavotte.

Gast-à-gast ! comme vous le savez, dorénavant lors de toutes les érections, la parité doit être strictement respectée.

Si  le droit coutumier pontavéniais n'est pas rapidement actualisé en prenant en compte les droits républicains en vigueur, il faut s'attendre à une annulation de ces futures élections de nos chères pontavénus-beautés, par le Parlement de Bretagne.

Le bon temps du droit de cuissage pontavénin, issu du droit romain et réintroduit à Pont-Aven en 1905 par Botrel, est dorénavant proscrit : 

même si cet acte est  accompli gracieusement et uniquement pour la beauté du geste.

Je dirais même plus comme un vrai Dupont'avénin :

La fête des fleurs d'ajonc qui en découle n'a : dans ces conditions, plus lieu de subsister.

Pourquoi s'obstiner dans la ringardise pour finalement ne plus être que la risée du pays breton ?

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