De la Josefowitzmania (Page n°2)
De la Josefowitzmania (Page n°2)
Ça y est : le nom de ce nouveau messie est tombé sur les prompteurs.
Ainsi, la collection "permanente" du musée de la CC'ânerie vient de s'enrichir de 22 nouvelles œuvres grâce au dépôt "temporaire" de ce collectionneur.
Et puis quoi encore ?
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- Malgré mon grand âge, je me souviens qu'en 2013, dame la soutane avait officiellement juré sur la tête de Gauguin : sans cracher par terre comme elle aurait dû, que les fonds (tableaux et ouvrages) de notre petit musée communal resteraient appartenir à la commune de Pont-Aven après la mise à disposition de cet établissement à la CC'ânerie.
Gros mensonge envers ses paroissiens, mais ce n'est pas grave pour elle : bien au contraire car l'ensemble des piles des dossiers de ses méfaits qui se sont accumulées dans les placards sécurisés de la mairie durant ses deux mandatures lui ont permis de se faire promouvoir Chevalière sans reproche.... sans que personne ne s'en émeuve !
Qui oserait aujourd'hui rappeler à son acolyte conserv'atroce que les biens culturels qu'elle présente comme ceux du musée de la Cc'ânerie, restent la propriété inaliénable de la commune de Pont-Aven ?
Les minables notables du coin peut-être ???
J.M. : Où es-tu planqué ? Tes devoirs de maire de Pont-Aven envers l'intérêt général de ta population attendent que tu bouges ton cul : Et ça urge !
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- "La collection permanente" de notre ancien musée de Pont-Aven :
Je me souviens qu'en 2010, le leitmotiv principal présenté à la municipalité par la conserv'atroce pour exiger que le petit musée pontavénain "bien de chez nous" soit colossalement agrandi...
... était que l'existant était trop petit pour présenter son prétendu grandiose et précieux fonds de tableaux.
C'est donc en raison de l'étroitesse présumée des lieux ne permettant pas de présenter en totalité et de façon permanente au public cet ensemble déclaré par ce parasite : "fantastique", que le musée pris du ventre - aussi mou que celui d'une vache pleine* - sans la moindre autre réflexion; sans la moindre concertation avec la population concernée au premier chef !
* C'est la conséquence directe de la préférence quantitative plutôt que qualitative adoptée par ce musée depuis son ouverture. La gastronomie locale prenant d'ailleurs la même voie.
A suivre
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