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Un café nature ... avec deux croissants (Suite)

Publié le par chercheur d'histoires

11h 32 : Ca y est !

11h 32 : Ca y est !

Un café nature ... avec deux croissants (Suite)

Le même jour, à 11h32 : Ça y est !

"Deux cafés noirs ... avec deux croissants SVP" 

"Ça y est !​​​​​​​ : C'est parti mon kiki. La pompe à fric fonctionne" ne peut s'empêcher de nous susurrer, la fripouille  CHARLiO'T.

Et moi de ragoûter mon grain de sel dans la tasse de thé :

Cafetiers pontavénais : arrêtez de crier au scandale SVP. Tous les débits de boissons vont y gagner évidemment :

Je pense même que Marie Louise Kergam, devrait pouvoir maintenant augmenter le prix de son "café- chicorée- bout de gâteau breton" passant ainsi 1,20 sous ... à 1,25 €.

1,25 € : mais même à ce prix bas "bien de chez nous les ploucs", avec le droit de lire gratuitement l'un des can'arts des coins-coins du coin.

...alors qu'au Café Noir les snobin'arts clients auront sûrement le privilège de pouvoir lire le PETIT PARISIEN "bien de chez eux"

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Cela dit ...

A suivre : dans une nouvelle chic suite, demain matin :

Soyez-patients, vous en aurez gratos : pour 1,50 € hors pourboires.

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Un café nature ... avec deux croissants

Publié le par chercheur d'histoires

Y'a quelqu'un ?

Y'a quelqu'un ?

Y'a quelqu'un ... Y'a quelqu'un ??

Y'a quelqu'un ... Y'a quelqu'un ??

"Un café nature ... avec deux croissants" !

En plein Centre Ville,

Le 18 mai 2018,

à 11 h 08 du matin :

"Y'a quelqu'un ?"

"Y'a quelqu'un ? ... Y'a quelqu'un ?"

Oui bien sûr. Regardez : ma chambre noire a cliqué sur deux clients :

Les deux premiers de toute l'histoire du "Café Noir".

 Ça se déguste ... pour la beauté des lieux : non ?

Et bien oui : Non

Ces deux loustics "évidemment bon genre bon chic" ne comptent que pour du sein doux au beurre noir, car ils se sont planqués comme des ragondins urbains, tout au fond de la terrasse pour ne pas se faire remarquer.

- Seraient-ils terrassés par des idées trop sombres ?

- Auraient-ils la honte sur eux ou quoi ? se demande soudainement avec inquiétude la chique de la  CHARLiO'T

A suivre demain matin au p'tit déj ?

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La honteuse remarque du jour :

Autrefois ma grand-mère tenait un Café à deux pas de là.
La pauvre : elle ne supportait pas les p'tits noirs ...
... les grands non plus.

Il faut la comprendre. C'était une rurale qui débarquait de son trou.  

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Une énigmatique bafouille ? (Fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Seconde partie de la bafouille

Seconde partie de la bafouille

Une énigmatique bafouille ? (Fin)

Il y a une vingtaine d'années, cette correspondance ultra-critique envers la grandiose meneuse de troupeaux dans les Salles d'un Musée de France,  aurait pu être l'occasion de riches discussions et de passionnants débats sans fin entre les vrais amateurs d'art du coin.

Hélas : Aujourd'hui, ni le commandement suprême du musée, ni les radoteurs de la secte du christ jaune, ni les grands baratineurs galeristes pontavéniais, ni les inconsistants membres des bras cassés de la municipalité de la Cité des anciens Peintres de talent, ni même les restachoux pontavé'neuneux des antiques férus d'art locaux (en voie de disparition), ne sauraient mener à bien ce type d'actions culturelles autant salutaires que vivifiantes.

Et pourtant : remettre l'art en débat dans l'ancienne Cité des Moulins  - comme ce fut le cas dans les années 1950/1970 -  serait à mon sens, le nécessaire préalable à une puissante revitalisation picturale du pays.

Rappelez-vous : durant ces excitantes années folles, les histoires de faux furent le plat du jour préféré de tous ces amateurs d'art autodidactes ...
... un plat qu'il consommaient sans modération dans les Bistrots Branchés Peinture du coin. 

Y auraient-ils des faux exposés cette année dans le plus grand musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven ???

- A vos plumes citoyens ! car la vie culturelle dans le trou de peinturlure pontavéniais est tombée tellement bas que tout le monde s'en branle.

- A vos langues de bois mort les crétins de la CCA  !

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Et puis, vrais tableaux ou pas, dans le piège à cons de la CC'ânerie : quelle importance du moment que ça serve d'appâts aux désœuvrés touristes de passage éclair

"Attention tout de même aux stationnements nouvellement réglementés"

"N'est pas madame la conserv'actrice de boulev'arts ?" lui déclare la CHARLiO'T

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La conclusion du jour :

Au fait madame Desbuttes : à quelle heure s'effectue le ramassage des sacs jaunes devant la sinistre porte noire de votre musée ?
Vous savez : Maintenant que j'ai passé mon CAP de dénicheur de poubelles, j'aimerais bien "m'a'musée" en farfouillant dans vos petites affaires secrètes ?

En toute discrétion et bouche cousue main : bien évidemment. Vous pouvez compter sur moi ! 

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Dernière minute :

Il y a un traine-savates qui vient de déposer ici un commentaire sur le sujet :

Pour info :
- le boulevard Sérurier n'est pas dans le 18e mais dans le 19e
- le 48 bd Sérurier est l'adresse d'un grand hôpital parisien.
Fausse identité ?

Ma réponse :  

Mais  monsieur le pied nikelé, vous n'avez rien compris : 

Nous les vrais pontavénains : Nous n'en avons rien à foutre

Pour nous : que la vérité cachée sorte des bouches des égouts parisiens ou de la plume des oies de l'Aven, l'essentiel est qu'elle jaillisse de quelque part !

Et c'est pour cela que j'ai publié cette bafouille. 

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Une énigmatique bafouille ?

Publié le par chercheur d'histoires

???  ... La suite de l'article sera publié ici demain

??? ... La suite de l'article sera publié ici demain

Extrait de la gazette du 14/07/17

Extrait de la gazette du 14/07/17

Une énigmatique bafouille ?

J'ai récemment reçu la copie, d'une correspondance qui aurait été adressée à "Madame la directrice du musée de Pont-Aven"

Gast ah gast ! : Son auteur cogne encore plus que moi sur notre chère conserv'atroce.

J'en suis presque jaloux.

Pour autant, un doute m'habite.

Ne serait-ce pas un canular ayant pour dessein de me piéger ?

Cette lettre a t-elle été envoyée à sa destinataire ?

Devais-je la publier ici sans risquer la prison : 

La prison comme devraient aujourd'hui se trouver tous les magouilleurs qui ont œuvré pour que le musée de la CC'ânerie puisse illégalement exister !

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Pour tout dire, peu importe pour moi que cet envoi soit vrai ou pas, qu'il ait atteint son objectif ou pas.

Elle est suffisamment explicite, et de surcroît en phase à ce que j'ai déjà publié ici sur cette affaire, pour que finalement je décide de la publier.

(Ici on vous dit tout sur tout, surtout quand la réalité déplaît)

Il est certain que son auteur a de sérieuses connaissances sur les sujets qu'il aborde.

C'est déjà un bon point à ne pas négliger.

J'avais comme lui remarqué l'article publié dans la Gazette Drouot du 14 Juillet 2017, faisant l'éloge de ce grand collectionneur de peinture de l'Ecole de Pont-Aven.

Un collectionneur qui aurait depuis seulement 2006, réuni un ensemble fantastique d'œuvres majeures du "Groupe de Pont-Aven" ??????????????????????????????????? :

 
C'est manifestement prendre les pontavénounours pour des culs-terreux :

vous ne trouvez-pas ?

A suivre demain

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La Secte du christ jaune (page n°5)

Publié le par chercheur d'histoires

Le lierre des pierres est aussi mortel pour Rustéfan, que la mérule du bois pour les autres édifices du coin.

Le lierre des pierres est aussi mortel pour Rustéfan, que la mérule du bois pour les autres édifices du coin.

La Secte du christ jaune (page n°5)

Jacqueline : Une pontavénaine de souche vient de prendre la direction de cette secte.

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Une secte dévouée à un musée ayant été le fruit pourri de la plus grande magouille en matière de construction de ce siècle.

Une géante honte indélébile s'abattant dès lors sur la Cité des anciens Peintres de talent.

Le pire est que les jeunes couples que J.M. souhaite dans ses rêves introduire dans la Cité, devront vivre avec ça ! 

Et pourtant, tous ceux qui gravitent autour de la CC'ânerie s'en foutent éperdument.
Ils s'en balancent autant que de marcher dans la merde.

"C'est vrai que ça porte bonheur à une certaine conserv'atroce, ainsi qu'à certains gourmands loueurs de galeries, mais les autres : avoir les pieds qui puent, ça ne les dérangent pas ?"se demande la maniaque CHARLiO'T

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Jacqueline "inscrivant dorénavant ses pas dans ceux de ses prédécesseurs" 

Aïe ! attention à la gadoue ma chère Jacqueline.

Si j'ai bien compris, tu nous dis que tu es attaché à l'histoire de l'art de Pont-Aven, mais n'oublierais-tu pas que le premier des Arts est l'architecture, et que dans le coin, le plus beau joyau de cette noble nature est en cours d'écroulement ?

... Ouvrant ainsi la voie à la destruction de la commune dans bien d'autres domaines patrimoniaux ou culturels.

Bravo pour ta promotion, mais oublierais-tu que le système auquel tu appartiens depuis quelques années, laisse sur le carreau la quasi-totalité de la population de Pont-Aven ? :

... hormis quelques notabilités desséchées ... en voie d'extinction.

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La Secte du christ jaune (page n°4)

Publié le par chercheur d'histoires

A Pont-Aven, même la nature a appris à cacher ses misères ...

A Pont-Aven, même la nature a appris à cacher ses misères ...

La Secte du christ jaune (page n°4)

Conclusions :

LA SECTE DU CHRIST JAUNE (Fondée comme on vous l'a appris en 1971 ??? ) a donc profité de son assemblée générale annuelle pour comme à son habitude se vanter lourdement dans la presse.

Les présents ont eu le droit à des couches d'hommages étalées en aplat dans les can'arts des coins-coins du coin.

"760 personnes aux yeux cernés par l'âge" nous dit l'observatrice CHARLiO'T

"760 membres, dont 64 % extérieurs à la commune"
Et oui : mais où sont donc cachés les jeunes de Pont-Aven ?

Auraient-ils tous le trouille de se noyer dans la peinturlure comme le sont les notables vieill'arts  du Coin ?

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"Depuis 2016, les amis du musée ont apporté 243 000 € pour des achats d'œuvres ...

(à ne plus confondre avec les amis de Pont-Aven) 

"Depuis l'ouverture du musée pontavénin en 1985 !!!, "Ils lui ont offert 155 tableaux, ...  ..." Quelques gouttes d'huile sans plus.

Que cache ces chiffres en réalité :

243 000 €, divisé par 760 membres, puis divisée par 3 ans = 100 € par an par personne.

- A déduire : Toutes leurs entrées gratuites aux musées de la CC'ânerie, puis leurs entrées aux vernissages et diverses sauteries dans la Salle Julia, par exemple.
- A déduire la fierté d'appartenir à une élite culturelle. Un titre qui ne leurs va pas du tout, et de surcroît usurpé à ses vrais détenteurs : C'est-à-dire, les 2800 citoyens de Pont-Aven.

Un fierté de ce haut niveau culturel sans en avoir les qualités requises, ça vaut 1000 fois plus que ce qu'apporte cette secte : non ?

"Des financements sans jamais demander de subventions"

A oui ? : où sont passés les grosses subventions des banques, des biscuiteries et autres subventionneurs privés ???

Je ne voudrais pas jouer le "vant'art" trouble fête, mais depuis 20 ans sans interruption, de mon côté je mène tout seul des actions patrimoniales et culturelles : populaires certes, mais  "bien de chez nous", avec les trois francs et six sous de subventions que je m'accorde.

Soit environ pour  rester bien modeste : de 200 à 300 € par an.

... Sans merci, sans hommage, sans la moindre reconnaissance, sans médaille, sans légion d'honneur.

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Jacqueline : Une pure pontavénaine de souche, vient de prendre la direction de cette secte.

 

A suivre demain

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La Secte du christ jaune (page n°3)

Publié le par chercheur d'histoires

Une  vieille preuve par 9 : Des nouvelles de la "Société de Peinture" ... datant de 195neuf !!!

Une vieille preuve par 9 : Des nouvelles de la "Société de Peinture" ... datant de 195neuf !!!

Liste des initiateurs du festival de peinture de 1959

Liste des initiateurs du festival de peinture de 1959

La Secte du christ jaune (page n°3)

"La Société de peinture avait été fondée en 1971" ??????????????????????????

GAST ah gast : la Société de Peinture existait déjà en 1959 ???
Merde alors : ils sont tous devenus aussi cons qu'un balai des chiottes du pont ou quoi ?

Ça devrait leur boucher un coin mais non : Dans le coin, ils sont déjà tous bouchés :

... et pourtant : il n'y a plus de boucherie ! 

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Revenons à nos moutons :

(de boucherie ? Nous dit la tueuse CHARLiO'T en se marrant comme des harengs saur à l'huile, ... visitant comme les huiles de la secte du christ jaune, le musée de la Pêche aux toutous)

L'intérêt premier du document du jour est d'apporter une preuve incontestable de ce que je dis.
Puis de présenter les noms des véritables membres fondateurs de cette Société picturale.

A savoir : 

 Le Maire (HORELLOU Léon), HUBERT Roger (Ingénieur des Ponts & Chaussées),

QUEINEC Bertrand (Professeur puis Directeur de l'Ecole Publique) QUEMERE Alain (Quincaillier), LE VOT Paul (Contributions directes ?), LAHUEC Guillaume (Artiste Peintre et responsable du Syndicat d'Initiative), TIERCELIN (Restaurateur - Hostellerie  de Rosmadec), CANNEVET Guillaume (Restaurateur - Restaurant des Ajoncs d'Or), POTIN Louis (Magasin de peinture, vitrerie et décorations), PRIGENT (Céramiste d'Art), ORIOT Georges (talentueux Céramiste d'Art), BEUREL Jean (Magasin de vêtements"Galerie de l'Aven"), LE MEUR Yves (Librairie- journaux- papeterie- parfumerie), Madame PHiLIPPE Job (Faïences et poupées bretonnes- Souvenirs), Mme CORELLEAU (Julia : Restauratrice - Hôtel de la Poste), Mlles BARBARIN ( (Epicières, galeristes en peinture, et grandes résistantes durant la dernière guerre), et CARRIOU (sans doute le forgeron)

A ceux-là, vient se joindre LOZACMEUR'H (Sans doute le secrétaire de mairie devenant plus tard le maire de Pont-Aven)

Voilà ainsi définie la liste de ceux qui les premiers ont œuvré pour la fondation du musée de Pont-Aven.

Parallèlement en 1959, se créée "la société du Grand Prix de Peinture" composée des mêmes personnages auxquels vient se joindre le peintre présent à Pont-Aven depuis 1955 : ROGER LUCIEN DUFOUR, celui qui dès son arrivée (chez Mme Julia Corelleau) posera sur la table des discussions l'idée de la fondation d'un musée à Pont-Aven.

Par la suite, et en raison des guerres de chefs, cette association prendra divers noms dont celui de "l'Association Paul Gauguin"

Ce n'est qu'en 1971, au moment de l'exposition intitulée "Autour de Gauguin", qu'elle retrouvera son intitulé d'origine.

A suivre demain

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1959 ou 1960 : La carte de membre de la Société du Grand Prix de Peinture

1959 ou 1960 : La carte de membre de la Société du Grand Prix de Peinture

La couverture du catalogue de l'expo de 1971

La couverture du catalogue de l'expo de 1971

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La Secte du christ jaune (page n°2)

Publié le par chercheur d'histoires

1959 : Délibération du conseil municipal n° 91

1959 : Délibération du conseil municipal n° 91

1961 : Délibération du conseil municipal n° 576

1961 : Délibération du conseil municipal n° 576

La Secte du christ jaune (page n°2)

Reprenons calmement la Belle Histoire de l'origine du musée communal  dans le bon ordre des délibérations du conseil municipal pontavénin 

- - -  Suite  - - -

. 1959 (Délibération n°91)  :  Aménagement des deux salles du rez-de-chaussée de l'Hôtel de ville afin de permettre à des peintres d'y exposer leurs œuvres.

(Avec l'obligation d'un don d'une œuvre à la commune. Où sont passés ces dons ?)

. 1961 (Délibération n°356)  : Création d'un musée municipal

. 1961 (Délibération n° 362) : EXPO "GAUGUIN et ses AMIS"

                                             + Autorisation à l'association Paul Gauguin d'aménager le musée.

. 1963 (Délibération n° 576) : Extension du musée municipal dans le bâtiment annexe situé    dans la cour de l'Hôtel de ville.

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- Sachant que seul un Conseil Municipal a l'autorité nécessaire pour décider de la création d'un musée municipal,

- Sachant que le conseil municipal de Pont-Aven a pris la décision de cette création en 1961,

puis une seconde en 1963, afin d'étendre ce musée dans un local adjacent :

Nul ne peu prétendre aujourd'hui que le musée de Pont-Aven n'a été créé qu'en 1985. 

C'est pourtant ce qui se répète sans arrêt dans les médias et divers ouvrages publiés par la CC'ânerie, depuis l'arrivée en 2006 d'une atroce conserv'atroce à Pont-Aven.

En 1985 : Notre p'tit musée qui grandissait bien vite, a été de ce fait agrandi et institutionnalisé : Rien d'autre que ça. Que les Conq(s) se le fourrent dans le crâne (et non pas dans le cul) une bonne fois pour toute.

Mais voilà : Notre pays est aujourd'hui gravement infesté de gens influents ultra-prétentieux qui pensent haut et fort, qu'un musée digne de ce nom ne peut exister que s'il est institutionnalisé.

Pour ces gens-là : et leurs p'tits chiens de garde sectarisés, c'est la raison pour laquelle il n'a jamais existé de musée à Pont-Aven avant 1985.

Pour eux,  il ne peut exister de musée privé, ou alors : mais depuis peu, 

... il faut être un très riche épicier pour être reconnu digne de fonder un musée des Beaux-Arts !

Dur dur pour une conser'actrice en carton bouilli d'accepter cette traîtrise culturelle croyez-moi.

Les amateurs d'art pontavénins qui avaient fondé puis dirigé celui de la Cité des anciens Peintre de talent : de 1961 au début des années 1980, ne furent pour eux que des guignols.

Les petits musées pontavenins des belles années 1880/1914,  que les visiteurs de la Cité des Moulins savaient apprécier à leur juste valeur, ne seraient sans doute que des fantasmes ... inventés par des historiens aussi nuls que ceux qui gravitent aujourd'hui autour de la  CC'ânerie ??? 

"Tous ces ignorants cons : Mais qu'ils sont Cons lorsqu'ils jouent aux érudits conq(s) sans rien savoir !" déclare haut et fort la pontavénaine CHARLiO'T

A suivre demain

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1961 : Délibération n° 362 "EXPO GAUGUIN et ses AMIS"

1961 : Délibération n° 362 "EXPO GAUGUIN et ses AMIS"

1963 : Délibération du conseil municipal n° 576

1963 : Délibération du conseil municipal n° 576

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La Secte du christ jaune (page n°1)

Publié le par chercheur d'histoires

1953  : Retour du tableau "La belle Angèle" qui sera exposé dans la Salle des Mariages (l'actuelle Salle Julia)

1953 : Retour du tableau "La belle Angèle" qui sera exposé dans la Salle des Mariages (l'actuelle Salle Julia)

La Secte du christ jaune

"Tout va bien dans le meilleur des mondes ... autant pontavéniais que CC'ânesconq"

C'est ce qui se dégage de sa dernière Assemblée Générale.

KO, mais comment réunir en une seule fournée les 760 adhérents de cette t'art secte dans la minuscule CC'ânisée Salle Julia ?

La CHARLiO'T propose deux solutions :

- Ou les entasser comme des sardines concarnoises dans cette boîte hermétique envers les citoyens de Pont-Aven,

- ou agrandir cette salle au-dessus du jardin Filiger.

Et oui : Notre chère Pontavénus-Beauté n'aime pas les petites fleurs sauvages des jardineries.

Et puis pour tout dire : De toute façon tout le monde s'en fout du jardinet pas net de la conserv'atroce !!!

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Cela dit : Les bons comptes faisant les bons amis du musée : Sachant que cette salle est normalement louée par la CCA  pour des coûts allant de 3 000 à 6 000 € la séance, j'aimerais savoir si cette location a été payée en en espèces, en liquide, ou en monnaie de singe.

Il est question d'argent public tout de même !!!

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J'ai lu dans la presse que lors des discours, il a été dit comme de coutume chez ces gens-là (Ce qui me lasse) : que le musée de Pont-Aven avait été créé en 1985.

Il a également été répété pour la centième fois, que la Société de peinture avait été fondée en 1971 :
Ce qui me fait dire que la location n'a pas été réglée en liquide, car manifestement ils avaient déjà tout bu sans modération avant même de commencer à discourir sans rire.
Il y a quelques semaines, je mettais ici des points d'interrogations sur ces i pas grecs ... 

... pas très pontavévrais non plus, comme je vais vous le démontrer.

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Reprenons calmement la Belle Histoire de l'origine du musée communal, mais cette fois dans le bon ordre des délibérations du conseil municipal pontavénin.

Suite demain

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Lorsque les commerçants se grattent ... la tête -VIII-

Publié le par chercheur d'histoires

La 3ième portion du pâté d'immeubles : vedette de la semaine, en cours de rénovation.

La 3ième portion du pâté d'immeubles : vedette de la semaine, en cours de rénovation.

Lorsque les commerçants se grattent ... la tête -VIII-

 Ce que je veux dire en cela, est que tous ces lourds investissements patrimoniaux d'intérêt local, sont aujourd'hui confisqués et détournés de leur rôle initial, aux seuls profits du musée de la CC'ânerie et de la toute petite trentaine de profiteurs et spéculateurs qui bénéficient du système culturello-touristicoco ponta-venin.

Et tout cela parce que les initiateurs du Temple de la honte Cc'ânesqueux  ont lourdement et très gravement enfreint les règles élémentaires du Code de la Construction et de l'Urbanisme.
- Essayez d'Imaginer un industriel s'installant au même central endroit, oubliant l'obligation "stricte"  de création des stationnements privés liés à son activité, employant de surcroît au moins 300 à 400 personnes vivant à extérieur de la commune  ???

Personne n'aurait accepté cette aberration aux conséquences dramatiques pour le petit bourg-d'en-bas de Pont-Aven. 

En construisant un Temple totalement démesuré au regard de la faiblesse des possibilités d'accueil du p'tit trou pontavénain, c'est pourtant exactement les mêmes affreuses conséquences induites qui se sont produites, en rongeant comme les ragondins du coin, le centre historique de la commune : 
...  et par ricochet, la vie des 2800 citoyens pontavenistes.

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J.M. le minuscule ministre de la Culture de la CC'ânerie :

écoutes la CHARLiO'T lorsqu'elle déclare :

Tout ça commence à faire beaucoup de beaux sales coups. 

- Après la confiscation de l'Hôtel de Ville et de la Grand'Place communale,

- Après l'éradication des commerces et services de proximité de la commune,

- Après avoir confisqué au profit du musée et de ses acolytes, la quasi-totalité des stationnements communaux, 

M le maire, lorsque tu t'adresses aux citoyens de ta commune, tu persistes pourtant à délirer en déclarant à tout va : ...
... "qu'il fait bon vivre à Pont-Aven" !!! 

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La photo du jour :

Espérons que la rénovation de ce bâtiment "bien de chez nous", intégré à un ensemble architectural cohérent et harmonieux, sera menée avec autant de soin et de finesse que celle d'un beau tableau de l'Ecole de Pont-Aven.

Un projet sachant conserver l'esprit et le caractère des lieux,

... contrairement à ce qui se passe partout ailleurs dans le bourg d'en bas de la commune où l'on assiste : impuissant contre de puissants crétins, à des saccages et des destructions systématiques de ses précieuses qualités architecturales d'expression locale.

Des qualités admirablement patinées par l'ancien bon temps ... de vivre à Pont-Aven. 

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