Les embarras de Pont-Aven (Page n°3)
Les embarras de Pont-Aven (Page n°3)
- - - Suite du communiqué de presse de François - - -
"Tous les jours pendant l'été des milliers de voitures traversent Pont-Aven et cherchent à se garer. Les 45 emplacements qu'offre la Place sont dérisoires par rapport aux besoins. Envisageons donc leur suppression"
45 places de stationnement sur la Place en 1994 ? :
"Mais" se dit la CHARLiO'T : "A l'époque, les habitants de Pont-Aven vivaient dans le luxe. Quelle saugrenue idée de les avoir presque tous supprimées ou d'en avoir drastiquement limité l'utilisation."
Malgré les réticences de la population de cette époque, c'est à peu de chose près ce que les élustupides du coin ont réalisé depuis : Non ?
Il faut reconnaître que dans ce bled, il n'y a plus la moindre personne capable de s'opposer aux dérives, aux délires, et aux mortels fantasmes des municipalités successives.
... et c'est pourquoi que Pont-Aven n'est plus aujourd'hui que le champ de ruines de son dynamique passé.
... et c'est aussi la raison pour laquelle il n'existe plus en 2019, la moindre solution pour fluidifier et apaiser le Centre Historique du pays, malgré les incessantes et agaçantes gesticulations des élustucrus du cru !
A mon sens d'urbaniste de terrain chevronné, il aurait été nécessaire que dans le PLU qui fut publié en 2001, ces 45 précieux emplacements de stationnement de proximité des commerces traditionnels soient strictement protégés,
... en imposant par exemple qu'aucun d'entre eux ne puisse être détruit sans être remplacé par un autre dans son environnement immédiat.
Si l'on réfléchit dans l'intérêt général de la population, la survie commerciale et artisanale de proximité du pays en dépendait largement.
La leçon du jour :
"Les grands perdants de cette politique de merde furent les habitants"
Ce serait la leçon du jour à retenir : Certes, mais dans la Cité des Génies en tout genre inférieur, qui aujourd'hui accepterait qu'on lui donne des leçons d'Amour fou du pays comme celle là ?
Conclusions :
Actuellement, Pont-Aven et ses stupides élustucrus ne vivent plus que dans le déni total des épouvantables réalités de ce pays d'amours perdus pour toujours.
Un pays endormi sur la paille de vieilles Palmes datant de la fin du XIXe siècle.
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Le document enquiquinant du jour :
Le même jour, à la même heure, sur le même parking payant.
Un parking manifestement aussi vivant que le cimetière d'à côté !
Et si monsieur le maire décidait en dernier recours gracieux, d'embaucher l'année prochaine des faux mendiants pour faire la manche sur ce parking de malheur. Une façon bien honteuse de faire entrer de l'argent dans les caisses de la commune : Certes, mais peu importe, la faim justifiant les moyens comme il se dit : N'est pas cher monsieur ?
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