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La boîte des secrets de famille (I)

Publié le par chercheur d'histoires

Un petit cachottier notre cher BOTREL ?

Un petit cachottier notre cher BOTREL ?

La boîte des secrets de famille (I)

Cet été, durant mon expo de Nizon,  j'ai accueilli deux couples venus à Pont-Aven pour rechercher des traces  de leurs secrets de famille. 

Par exemple ce sympathique couple dont le grand oncle du mari était prêtre dans un petit village du milieu de la France.

Ce prêtre étant un grand ami de Théodore BOTREL (d'où leur venue à l'expo)

L'Histoire est que ce prêtre eut une histoire aventureuse avec sa servante.

L'aventure se terminant par un accouchement.

Le prêtre disparu aussitôt au point qu'il fut même déclaré mort 20 ans après.

En réalité il avait été placé secrètement par ses pairs dans un monastère.

Les BOTREL ayant appris l'histoire, prirent en charge le nourrisson durant quelques années.

Le bébé vivant ainsi très discrètement durant cette époque : soit à Pont-Aven soit à Paris : l'autre domicile des Botrel à l'époque. 

Le couple Botrel vivant souvent séparément, ils prirent à tour de rôle l'enfant sous leur coupe pour ne pas se faire remarquer. 

Ce couple venait donc à Pont-Aven  pour rechercher des informations sur ce nouveau né : un membre de leur famille dont il ne connaissait rien car l'affaire était restée le Gros secrets de leur famille jusqu'a présent.
Un secret qu'un historien de leur région avait partiellement dévoilé dernièrement. 

En les écoutant, je me suis souvenu de quelque chose ayant sans doute un rapport avec ce secret.

Il y a très longtemps deux personnes de Pont-Aven m'avaient dans des conditions indépendantes l'une de l'autre, déclaré en catimini que Botrel aurait eu un enfant naturel à Pont-Aven.

Je lance un appel :

Quelqu'un aurait-il des souvenirs sur cette histoire de famille ?

Où serait donc passé ce bébé  que la mère avait fini par récupérer ?

Je vous raconterai la seconde histoire vraie ici demain matin

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La boîte des vaccins anti-folie des grandeurs

Publié le par chercheur d'histoires

Le Pouldu ?

Le Pouldu ?

La boîte des vaccins anti-folie des grandeur

Mais où est-elle planquée ?

Il y a peu, la presse nous apprenait que la municipalité de Clohars-Carnoët envisageait de lancer un projet de grande envergure de rénovation- agrandissement de leur p'tit musée consacré à la photocopie :

Oui : des photocopies de Chefs d'œuvre de Paul Gauguin et de ses compagnons d'infortune du Pouldu. 

"L'objectif serait de passer le taux de fréquentation de 7 000 à 24 000 visiteurs par an. Une opportunité de renforcer l'activité touristique du pays de Quimperlé  Etc.  ..."

Gast ! la gauguinite pontavéniaise vient de s'étendre vers le Grand Est du département.

Cette annonce ne vous rappelle-t-elle pas quelque chose de douloureux pour vous, les Amis de Pont-Aven et de sa population ?

NON ?

Ce que je remarque est qu'à Clohars, un front d'opposants au projet s'est immédiatement manifesté, après avoir dressé un réquisitoire contre cette folie. 

J'en ai retenu qu'un seul point percutant :

"Que la municipalité se préoccupe d'abord de sa population en souffrance" 

Conclusion du jour :

 

 Le Pouldu : Un vrai bidonville à toutous, qu'avec des banales bicoques ...

... à Un Million d'Euros pièce  !

Le Pouldu aura-t-il un jour son propre puissant aspirateur à toutous ?

Un truc parfaitement adapté pour sauver la planète :

N'est pas les écolos toutoutueurs du secteur d'influence de PGO ???????????????????????????????????????????????????????????

Seconde conclusion du jour :

La photo emmerdante :

Et pourquoi pas un musée du bétonnage contemporain autant impulsif qu'excessif, des grands espaces sauvages du Pouldu qu'avait connu et apprécié le Maître ?

Du bétonnage intensif du littoral dont le moindre fragment habitable vaut aujourd'hui presque aussi cher ...

... qu'un vrai beau dessin de Gauguin ????????????????????????????????

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La boîte des plus gros scandales contemporains pontavéniais (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

La photo compromettante n°2 : ... il n'y a pas de jouissance intime !

La photo compromettante n°2 : ... il n'y a pas de jouissance intime !

La boîte des plus gros scandales contemporains pontavéniais (fin)

Vous imaginez du scandale si la même presse proposait en page de Pont-Aven :

- - - Suite et fin. - - - 

"Elus et associations vent debout contre un mur monumental" 

Ou encore :

"Une terrasse qui fait couler beaucoup d'encre"

Heureusement qu'à Pont-Aven tout le monde est attaché à préserver l'image d'Epinal de ce doux pays où il fait si bon vivre dans le respect absolu des règles de notre République Démocratique : BIEN ENTENDU.

Jamais :  je dis bien jamais, de tels scandales ne pourraient éclabousser sur ce crapuleux Pays : Grand modèle aussi pour ARTISTES contemporains sans scrupule !

Grand modèle pour exercer l'Art des détournements, contournements, et violations des Codes de la Construction et de l'Urbanisme.
Un vrai modèle du genre, sans aucun doute : unique en France !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

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La boîte des plus gros scandales contemporains pontavéniais

Publié le par chercheur d'histoires

Photo compromettante n°1 : Quand il y a de la gène ...

Photo compromettante n°1 : Quand il y a de la gène ...

La boîte des plus gros scandales contemporains pontavéniais

Je commence ce nouvel article par un petit détour vers Concarneau.

Lu dans la presse locale de ces derniers jours :

Concarneau : 

"Elus et associations vent debout contre un mur monumental"

"Un mur qui fait couler beaucoup d'encre"

Chouette ! voilà l'un de mes sujets favoris.
Hélas pour moi, la scène du délit se situe à Concarneau. 

"Ce mur de la honte selon certains s'étale sur 34 m de long et 4,2 m de haut".
Des associations s'insurgent et la Ville vient de lancer une procédure pour infraction.

Pour autant, les articles que j'ai lus ne m'apportent pas grand chose à grignoter. Ce n'est pas parce que ce mur serait surdimensionné  au regard de nombreuses personnes, qu'il serait forcément construit illégalement.  

Laissons donc la justice faire son travail. Je n'en dirai pas plus.

Je ne vais pas tout de même une nouvelle fois ici jouer à l'avocat satanique pour faire plaisir aux concarnoiseurs.

Je constate simplement que la démocratie fonctionne normalement dans la capitale de la CCâ. 

Je remarque en outre, qu'à Concarneau la presse locale s'empresse d'informer ses lecteurs normalement comme il se doit ! 

Ce qui est très loin d'être le cas à Pont-Aven depuis de très nombreuses décennies. (Ce n'est qu'un terrible constat) 

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Vous imaginez du scandale si la même presse proposait en page de Pont-Aven :

A suivre passionnément demain

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Les boîtes des mauvais souvenirs (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Les boîtes des mauvais souvenirs (fin)

Les boîtes des mauvais souvenirs (fin)

J'assume toujours ce que je dis ou que j'ai déjà écris ici.

A savoir dans le cas du jour :

- - -  Suite  - - -

Présenter ces 15 (ou 25) œuvres comme des Chefs d'Œuvre du musée de Pont-Aven est une affabulation lourdement mensongère et des plus critiquable.

Si je n'avais pas raison, pourquoi donc ces dits chefs d'œuvre n'ont-ils jamais fait la Une Nationale d'une Grande Exposition dans ce musée

Je précise que jusque là, aucune de ces œuvres n'avait été présentée comme étant un chef d'œuvre.  (exception faite à la rigueur d'une œuvre sur papier de Gauguin. Petit chef d'œuvre d'ailleurs non représentatif du symbolisme et cloisonnisme pictural qui prirent ensembles naissance à Pont-Aven durant les années 1886-1888)

Je prends un exemple :

La semaine dernière se déroulait à Quimper le salon annuel des Antiquaires. 

Au moins deux d'entre-eux proposaient de nombreuses et belles  lithographies de d'Henri Rivière.

A Pont-Aven "même" un commerçant en propose régulièrement.
En quoi donc celle conservée au musée de la CC'â serait plus "chef d'œuvre" que toutes les innombrables autres produites par cet artiste ? 

Moi qui aujourd'hui reste l'un des plus vieux fidèles visiteurs de l'ancien musée de Pont-Aven depuis sa gestation de 1959 à 1961, puis sa création officielle par la municipalité en fin de cette années 1961, je ne comprends pas les raisons de cette promotion soudaine.

Vais-je devoir recommencer tout mon parcours scolaire dans les écoles de Pont-Aven de mon enfance, ou participer aux rattrapages scolaires proposés aux jeunes enfants par ce musée de la CC'â ?

Aurais-je complètement ratée mon initiation et éducation à l'Art de Pont-Aven ?

La justice a répondu que OUI !

C'est rigolo plein de poils de carottes "ratées" : vous ne trouvez pas ? 

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Le second point fort à épingler au tableau noir :
 Un « beau partenariat » qui pose la question de l’accessibilité de l’art à tous."

L'accessibilité à l'art, n'exige t-il pas au préalable que les personnes à mobilité réduite puissent accéder normalement aux lieux consacrés à l'Art ?

Comme par exemple au musée de la CC'ânerie et ses aménagements extérieurs, plantés comme une flèche empoisonnée pour-eux, dans le cœur du centre de Pont-Aven ??????????????????????????????????????????????

Cette cruciale question vient d'être pour la première fois publiquement posée : 

A quand une réponse honnête sans détours tortueux, des responsables de la commune de Pont-Aven, de ceux de la CC'â et de ses musées actuels ?

Jusqu'à présent, j'ai toujours répondu à ce type d'enquiquinantes questions par : A LA SAINT GLIN-GLIN 

Et jusqu'à présent, j'ai toujours eu raison, n'en déplaise à tous ces gens et bien d'autres encore.

Conclusion :

Voilà la réalité indélébile reniée par tous, de ce célébrissime pays bien mal au point aujourd'hui. 

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Les boîtes des mauvais souvenirs

Publié le par chercheur d'histoires

JUIN 2014

JUIN 2014

Les boîtes des mauvais souvenirs

Celles qui : en général, plus personne n'a le courage de rouvrir ultérieurement sauf sur cette blogueuse boîte de merde.

Lu dans la presse régionale en page Quimper :

"À Quimper, un musée éphémère à la Maison des personnes handicapées

Quinze chefs-d’œuvre du Musée de Pont-Aven sont exposés à la Maison 

des personnes handicapées du Finistère (MDPH29) jusqu’au 20 décembre.  Un « beau partenariat » qui pose la question de l’accessibilité de l’art à tous."

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"Chassez l'artificiel, il revient toujours en pleine forme et au galop à (ou de) Pont-Aven"

Rien que dans ce passage du texte, je découvre deux points forts nécessitant une cinglante réplique :

Attention : Avant d'entamer cette délicate action de moralisation des actions publiques, je salue l'initiative prise par la direction du musée de la CC'â implanté à Pont-Aven envers les handicapés.

Cependant, souvenez-vous : Il y a quelques années sa précédente direction avait aussi pris la même initiative à l'EHPAD de Pont-Aven.

Une action largement développée dans la presse locale laissant penser qu'elle serait pérennisée.

En réalité les résidentes de cet EHPAD  attendent toujours la suite ... !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ne serait-ce pas ce qui s'appelle un gros coup de Com ... 

... Ou un gros coup d'épée dans l'dos de l'eau de l'Aven ??????????? 

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Revenons-en aux fameux et fabuleux quinze chefs d'œuvre de ce  musée.

(Récemment vous avez pu reprendre ici connaissance de cette grandiose opération Culturissime) 

Je vous en offre aujourd'hui 10 de plus (voir le document du jour)

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J'assume toujours jusqu'au bout de la nuit noire, ce que je dis ou que j'ai écris.

A savoir dans le cas présent  :

A suivre demain 

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LA BOÎTE de L' AFFAIRES 2021 SANS FIN (Fin ... provisoire)

Publié le par chercheur d'histoires

LA BOÎTE de L' AFFAIRES 2021 SANS FIN (Fin ... provisoire)
LA BOÎTE de L' AFFAIRES 2021 SANS FIN (Fin ... provisoire)

LA BOÎTE de L' AFFAIRES 2021 SANS FIN (Fin ... provisoire)

Suite :

L'avocate de l'une des parties de cette AFFAIRE du SIECLE, s'est donc récemment publiquement exprimé dans l'un des can'arts des coins-coins du coin. 

La même qui m'avait menacé de poursuites il y a quelques mois. Ceux qui me lisent régulièrement ici ont pu prendre connaissance de cette menace.

Où en étions nous déjà arrivé jusque là dans ce feuilleton ?
A oui : A une plainte déposée par l'une des  sociétés dirigées par monsieur Ruello auprès du Procureur de la République contre monsieur le maire de Pont-Aven.

Une affaire devenue judiciaire, dans laquelle :"en principe", n'était pas jusqu'à présent directement impliquée la troisième personne à l'origine de l'AFFAIRE. Elle vient ainsi d'elle-même se mettre publiquement en avant.
Quelle histoire à rebondissements passionnante ; Vous ne trouvez-pas ? 

Cela dit, je rappelle que dans l'intérêt général de l'ensemble de la population de Pont-Aven, l'ancien office de tourisme communal n'aurait jamais dû être mis en vente par la municipalité. 

Surtout après la grande rafle des principaux  bâtiments communaux et leurs précieux trésors patrimoniaux et culturels, du centre historique de la ville par la CC'ânerie !!!

Cette mise en vente, sans concertation avec la population et ses associations "sans domicile" est la principale  lourde faute originelle de cette lamentable AFFAIRE qui ne cesse de semer la honte sur la commune depuis des mois.

Pourquoi donc remettre de l'huile sur le feu alors que c'est maintenant à la Justice d'y mettre son grain de sel dans cette lamentable affaire.

Madame l'avocate se serait-elle trompée de destinataire en transmettant ce réquisitoire  ?

N'est-il pas malvenu par ailleurs de reparler de création de commerce de proximité ...
... dédiée à la fabrication de produits populaires d’antan, alors même que des nouveaux  commerces de proximité ne seraient plus vivables aujourd'hui dans ce trou du Cult du tourisme de masse ?

Je rappelle que monsieur le maire avait proposé à son conseil municipal de vendre se bâtiment (sic le compte rendu du conseil municipal)  " pour permettre à un entrepreneur ou un artisan de développer une activité commerciale locale et de proximité"

Rien donc de commun avec des commerces de lichouseries touristiques dont il est en réalité uniquement question dans cette AFFAIRE. 

Des commerces ou des entreprises de proximité très utiles à la population, comme c'était le cas : Par exemple, dans le commerce des Cavellat, avant sa transformation en restaurant/terrasse sur D.P. (Voir les documents du jour)

Je me permets aussi de signaler une nouvelle fois l'existence de l'une des règles les plus essentielles et des plus pertinentes du SCOT de la CC'â en ce qui concerne Pont-Aven : 

« Chaque commune ne doit pas subir une croissance qu’elle ne peut pas – ou mal – contenir »

« Pont-Aven nécessite une exigence environnementale culturelle et patrimoniale forte. Cette exigence s’exprime dans le SCoT par un encouragement d’un développement touristique sans pénaliser ses fondements par un développement urbain excessif, et sans altérer son centre bourg par une monofonctionnalité exacerbée autour d’une activité touristique sanctualisée »

« Les projets doivent prendre en compte des capacités d’accueils adaptées pour chaque commune »

Une règle que monsieur le maire avait totalement oublié de mentionner dans son très discret appel d'offre de vente de l'ancien O. T. 

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LA BOÎTE de L' AFFAIRE 2021 SANS FIN

Publié le par chercheur d'histoires

Du patrimoine ? Non, car ici l'habitacle ne fait pas le moine !

Du patrimoine ? Non, car ici l'habitacle ne fait pas le moine !

LA BOÎTE de L' AFFAIRE 2021 SANS FIN

N'auriez-vous pas soif d'en savoir un peu plus ?

Et bien lisez ceci :

Pont-Aven. Vente de l’ancien office de tourisme : « C’est le sérieux du projet qui a convaincu »

Anne Le Beux, dont la société avait été retenue pour acquérir l’ancien office de tourisme de Pont-Aven (Finistère) avant que celui-ci ne soit retiré de la vente, répond aux accusations de l’homme d’affaires René Ruello.

Le conseil municipal de Pont-Aven avait, dans un premier temps, approuvé la vente de l’ancien office de tourisme de Pont-Aven à la société Les Trois Buis, gérée par Anne Le Beux, avant de retirer le bâtiment de la vente.

Suite à , Anne Le Beux, gérante de la société Les Trois Buis, a tenu à réagir concernant la vente de l’ancien office de tourisme de Pont-Aven (Finistère), place Julia, et les accusations de René Ruello. Pour rappel, le lundi 7 juin, le conseil municipal avait approuvé la vente de l’ancien office de tourisme à la société Les Trois Buis, qui souhaitait y installer une pâtisserie thématique « glace meringue », aux dépens notamment de la société Demeter, gérée par René Ruello. « Nous savons que Monsieur Dautel (maire de Pont-Aven) a appelé les conseillers municipaux pour leur demander un vote massif en faveur du projet des Trois Buis » avait déclaré, dans nos colonnes, Patrick Duval, mandataire de la société Demeter.

« Madame Le Beux n’entretient aucune relation privilégiée avec le maire ou le conseil municipal de Pont-Aven, répond, via un courrier, le conseil d’Anne Le Beux. Elle a présenté en toute loyauté son projet lequel a été retenu par le conseil municipal qui a pu juger qu’il mettait en avant un savoir-faire artisanal et répondait en tout point au cahier des charges et aux garanties sollicités par la commune et a d’ailleurs fait l’objet d’un avis favorable de la commission qui a étudié au préalable son offre. »

« La société Demeter, parce que son projet, déposé tardivement, comportait une offre financière supérieure, estime que celui-ci aurait dû nécessairement être préféré et imagine que ce projet n’a été écarté qu’en raison d’une « relation privilégiée » qu’entretiendrait le maire avec ma cliente, ce qui est une affabulation pure et simple, poursuit le conseil d’Anne Le Beux. Ces allégations injurieuses jettent le discrédit de manière inacceptable sur ma cliente dont le projet a été mis à néant par la campagne de désinformation dont elle fait l’objet. Madame Le Beux entend rappeler qu’elle s’est pleinement investie dans ce projet de création d’une pâtisserie dédiée à la fabrication de produits populaires d’antan, et qu’elle souhaitait naturellement mettre en œuvre au cœur de la ville pour le plaisir de ses habitants et des touristes. Et c’est le sérieux de ce projet qui a convaincu le conseil municipal, n’en déplaise à la société Demeter et ses représentants. »

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Ce document a été récemment publié dans l'un de vos can'arts des coins-coins du coin.

Mais uniquement dans sa version internet.

Tous ceux qui ne consultent que les versions papiers de leurs journaux, n'ont donc pu prendre connaissance de cet envoi devenu public.

Comme je suis adepte de la transparence la plus totale en toute chose, je me permets donc de la republier ici à l'attention de tous les Amis de Pont-Aven.

A suivre demain

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La boîte des affaires courantes locales (Suite de la suite des précédentes suites)

Publié le par chercheur d'histoires

La boîte des affaires courantes locales (Suite de la suite des précédentes suites)

La boîte des affaires courantes locales (Suite de la suite des précédentes suites)

A la manière d'un rapport de gendarmerie, notre chère donneuse d'ordres  énumère les injonctions que ses "amis" de la rue voudraient bien imposer à l'entreprise de travaux publics intervenante. 

D'où sort-elle celle là ?

De la Grande Ecole des Ponts & Chaussées de Pont-Aven ?

Elle imagine manifestement qu'il est possible d'exiger de ce type d'entreprise de travailler à la petite semaine. 

Comme par exemple un livreur de vin, peu scrupuleux des dates et heures de ses livraisons ! 

On ne s'amuse pas dans les travaux publics.

Ce chantier exige l'emploi de nombreux ouvriers; de mettre à leur disposition des engins très lourds; sans oublier l'apport en continu des matériaux nécessaires à la réalisation de cette réfection de rue.

Le déplacement d'autant de personnel et de matériel pour : en réalité, un tout petit chantier de voirie, ne peut se concevoir qu'en une action à réaliser d'une seule traite, à moins d'accepter des suppléments de coûts très importants.

Tout ça s'organise et se programme à l'avance et ne peut : en simplement claquant des doigts, être bouleversé à la demande des clients.

De surcroît, si des contraintes exceptionnelles étaient exigées par la situation du chantier, cela devait obligatoirement être précisé dans le cahier des charges de l'appel d'offre. 

Redescendez sur terre madame.

Mais ce n'est pas tout :

En cas d'accident ce serait l'entrepreneur qui en prendrait plein la gueule.

En tant que premier responsable, ce n'est donc qu'à lui de prendre toutes les dispositions nécessaires pour éviter les catastrophes.

Y compris de refuser la circulation des piétons et des véhicules dans la rue durant les travaux.

Le mot RESPONSABILITÉ a t-il encore un sens concret à Pont-Aven ?

Un doute m'habite depuis longtemps.

l'expression INTÉRÊT GÉNÉRAL a t-elle encore du sens dans ce patelin ?

Un doute m'habite encore plus depuis quelques années.

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La boîte des affaires courantes locales (Suite des précédentes suites)

Publié le par chercheur d'histoires

La boîte des affaires courantes locales (Suite des précédentes suites)

La boîte des affaires courantes locales (Suite des précédentes suites)

Laissons les élu'cubrationneurs s'étriper cordialement et examinons la situation de façon plus sérieuse. 

Je trouve extraordinaire que des commerçants (dont l'auteuse du texte dont j'ai fini par découvrir le vrai visage), étant manifestement profondément dans le déni de la petitesse du centre historique de la commune en n'ayant de surcroît qu'un réseau routier et des espaces de stationnements restreints, découvrent tout d'un coup que des travaux de voirie vont perturber leurs petites affaires. 

Ces énergumènes découvrent soudainement qu'il manque crument une voie de contournement de l'ancienne bourgade du bas de la commune. Comme d'ailleurs pour celle du haut !.

Ce trou de  tous les stupides excès est devenu ingérable : c'est tout.

A chacun d'en eux tous les avantages, et le privilège des emmerdes pour les  autres : n'est ce pas ?

Ne seraient-ils pas tous complices des folies de grandeur des successives municipalités dont 99% de la population de la commune est la principale grande victime ? 

En cela je pense bien évidemment au musée : grand aspirateur des touristes désœuvrés de passage éclair qui fait tant de mal aux gens du pays, (exception faite d'une vingtaine de commerces liés à ce type saccageur de tourisme ?) 

En venant s'installer dans le minuscule trou du Cult du tourisme de masse de la commune pour ouvrir une boutique, cela a bien entendu de gros avantages, mais aussi quelques petits inconvénients.
Des inconvénients qu'ils n'acceptent manifestement pas d'assumer.

Et pourtant cela fait partie de la règle du jeu commercial de Pont-Aven :  NON ?

Une règle d'intérêt général que tout le monde doit accepter et accepte depuis toujours comme partout ailleurs en France. 

Ils osent réclamer des indemnités ?

Des indemnités qui seront à régler : forcément, par l'ensemble des citoyens locaux  :

N"est-ce pas ce que vous demandez madame ?

A suivre demain

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