Mes projections de photos à la maison de retraite de Pont-Aven (Suite 4)

Nous remarquerons que dans les années 1920-1950, les Grands et célèbres Maîtres Tailleurs de Pont-Aven participaient grandement aux succès des défilés, comme de nombreux autres artisans, et toutes les petites mains qui confectionnaient durant des mois les fleurs des "chars fleuris"

Dans les années 1950-1960 nos artistes peintres locaux aussi, comme par exemples Georges ORIOT ou Marcel GONZALES.

Ces fêtes entretenant une forte cohésion sociale entre les différentes populations locales.

Une cohésion qui a depuis volée en éclat.

L'Art et la Kulture à la pontavéniaise n'ayant développé en réalité depuis 1985, que de la ségrégation sociale en ces indispensables matières.

Cette réalité s'étant de surcroît gravement empirée depuis l'usurpation de notre musée par la CC'ânerie.

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Mes projections de photos à la maison de retraite de Pont-Aven (Suite 3)

Rectification d'une erreur d'écriture :

A comprendre Gérard JOLY,  et non JOLLY comme indiqué par erreur ici il y a trois jours. 

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A suivre demain

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Mes projections de photos à la maison de retraite de Pont-Aven (Suite 2)

Les cortèges partaient du haut de la rue de la Gare ou de la route de Bannalec, pour traverser la Place, puis grimper en haut de la rue de Concarneau, et finir triomphalement sur le port.

La foule, venue de toutes les communes avoisinantes se confondait joyeusement avec les autochtones dans une atmosphère de feu de dieu.

C'était très bon aussi pour le dynamisme du commerce local de proximité tout ça.

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La conclusion du jour :

C'est mieux aujourd'hui : forcément,

... depuis que la municipalité élève des moutons ! 

... pour nourrir son monde,

... et ne plus le tondre ? 
 A demain pour la suite

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Mes projections de photos à la maison de retraite de Pont-Aven (Suite 1)

Durant toute cette période da cavalcades, ce sont les plateaux des camions des usines et ceux des marchands de vin ou de limonade qui étaient réquisitionnées pour confectionner les Grands Chars des défilés dans la ville.

Chaque quartier se faisant l'honneur de présenter le sien (ou son groupe de déguisés) au concours de l'année. 

A demain pour une nouvelle sélection

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Mes projections de photos à la maison de retraite de Pont-Aven

La semaine dernière, ce fut le tour de photographies souvenirs des anciennes cavalcades, mi-carêmes, et mardis-gras de Pont-Aven des années 1920 jusqu'à la fin des années 1960 de se faire appréciées par les résidents de l'établissement.

Hélas, l'accès à ces projections reste pour l'instant toujours interdit au public extérieur. 

J'ai donc décidé de vous présenter ici durant quelques jours quelques exemples représentatifs de ces grandes fêtes populaires locales. 

A demain pour la suite

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Si vous avez des idées : Prière de les déposer en mairie

Comme par exemple une idée pour régler les circulations dans les centres des deux bourgs de la commune.

"Mais toutes les idées possibles ont déjà été exploitées sans succès par les municipalités successives de Pont-Aven, et la population locale continue pourtant de subir la progression de l'agressivité des circulations dans ces deux paradis tant aimés des touristes" se disent : inquiets, les garde champêtres de nos illustrés d'autrefois.    

Vous connaissez la dernière en cette matière brûlante sur NIZON ? 

Monsieur le maire, après avoir organisé trois réunions de concertations avec la population de cette paroisse, a :

... au final, 

... appelé au secours un bureau d'étude de Quimper pour définir un ensemble de misérables travaux d'aménagements à réaliser,

... afin : soi disant, d'apaiser les circulations du centre de ce bourg. 

- Un appel vers des urbanistes extérieurs ne connaissant manifestement pas les vrais et profonds problèmes locaux.

Un appel au secours car manifestement les élus n'ont plus aucune idée neuve à proposer pour se sortir du merdier. 

La conclusion du jour :

Gast ah gast ! Les nizoneux vont eux aussi avoir le droit à de la fine dentelle tartinée sur leurs chaussées !  

Afin, bien entendu, d'embellir ce lieu d'occupation par des barbouilleurs de vieilles  photographie. 

"A quel prix pour les finances de la commune cette nouvelle et énième plaisanterie ? "  se demandent les ragondins de Pont-Aven

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Rustéfan en ébullition

Jamais les pontavénizoneux n'ont été aussi près de pouvoir espérer de sauvegarder durablement ces majestueuses ruines. 

Ne comptez donc pas sur moi pour lâcher de si tôt l'affaire.

Sur ce blog de merde non plus.

Nous sommes actuellement plus d'une trentaine de personnes s'étant engagées à

adhérer à une association patrimoniale et culturelle : en cours de constitution, qui aura pour premier objectif de participer concrètement à la sauvegarde de ce joyaux local.

Prenez date les fans de Rustéfan : 

Une nouvelle réunion en ce sens aura lieu le samedi 19 novembre prochain chez  "COUSIN" au bourg de Nizon à partir de 16h00 

L'ordre du jour comprenant :

Outre les discussions, 

- La confirmation des uns et des autres et la prise en compte des nouveaux engagements. 

- L'élection d'un bureau

- Le choix du nom définitif de l'association 

- La mise au point et éventuellement l'adoption de ses statuts

- Le choix de son siège social qui : semble-t-il pour l'instant, ne pourrait être à la mairie.  

Un excitant défi patrimonial et culturel à suivre passionnément et de tout cœur les prochains mois et prochaines années.

A mon sens : Un défi à mener prioritairement par des habitants, et pour la population locale et des environs :

C'est-à-dire, non pas pour poursuivre la politique suicidaire en marche de la massification à outrance d'un tourisme désœuvré et de passage éclair. 

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Le BLOG-NOTES du lendemain du précédant

Lu ces derniers jours dans la presse locale :

Pont-Aven :

Coup sur coup, nous avons eu le droit à des révélations sur deux faits divers locaux.

Gast ah gast ! Des faits divers s'étant terminés devant le tribunal correctionnel :

Mais c'est un scandale d'annoncer des choses pareilles sur Pont-Aven ?

Que vont penser les collectionneurs  internationaux de tableaux de Gauguin ?

N'y aurait -il pas un risque qu'ils pensent que nous leur avions vendu des fausses œuvres du Maître ?  

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Mais non voyons, répondent les ragondins de l'Aven, dans le pire de ces deux cas ce n'est qu'un minuscule problème de travail au noir.

Ouf ! s'exclament soulagés tous les pontavénist'heureux.

Et moi de leur rappeler le bon temps des années 1985 à 1995, où des dizaines de talentueux peinturlureurs locaux employaient des filles dans leurs galeries, 

... sans les déclarer. 

Ou déclarées à mi-temps pour des journées de labeur de 10 à 20 heures, 7 jour /7,  et 12 mois /12. 

Sans les déclarer sans que personne ne s'en soit préoccupé à l'époque à Pont-Aven. 

Ces braves filles qui se retrouvent aujourd'hui avec des gros trous dans les années des cotisations de leurs maigres retraites.

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Le BLOG-NOTES du 02 novembre 22

Lu dans la presse :

QUIMPER :

"Un carrefour des utopies" s'y est déroulé il y a quelques semaines. 

Ce sera pour quand le carrefour du Boulevard des utopies municipales à Pont-Aven monsieur le Maître d'Hôtel de Ville ? :

... Le Maître du Pays des Grands Chemins Creux des illusions sans lendemain ? 

NEVEZ :

"Le tourisme de masse sur la table d'une réunion de quartier"

Christian : A quand des réunions populaires dans les banlieues de ta commune,

... sur la mortelle massification touristique de l'hyper centre historique de l'ancienne Cité des Moulins ? :

... Moulins aujourd'hui à prières profanatoires !

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La photo du jour :

Le carrefour :

... de l'ancienne forge d'Alain Niger.

Jusqu'aux années 1950-1960, il y en avait 3 autres à 200 mètres à la ronde.

Il faut dire que les activités locales tournaient rondement à l'époque.

Mais ça, il ne faut pas le dire si l'on veut : nous les vieux, rester vivant encore quelques temps.

Ne faire que dans du Gauguin et de l'Ecole de Pont-Aven tout le temps, c'est plus d'actualité évidemment !

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J'ai décidé de ne pas vous en parler

Vous avez sans doute lu comme moi dans l'un de nos can'arts des coins-coins du coin qu'un passionné de Gauguin avait décidé d'initier le grand public en proposant une balade "rendonnées-découvertes" qu'il a intitulée : 

"Sur les traces de Gauguin"

Mais comme je viens de vous le dire : j'ai décidé de ne pas en parler.

son idée étant « de faire découvrir ou redécouvrir aux gens la vie et l’œuvre de cet artiste au cours d’une balade agréable entre ville et nature »

OK : Mais comme je viens de vous le dire : j'ai décidé de ne pas en parler. 

"S'il a d’abord choisi Gauguin, c’est parce qu’il conserve un lien indéfectible avec Pont-Aven et son musée ! dans lequel il a effectué un stage au cours de sa formation universitaire"

Sans doute : Mais comme je viens de vous le dire : j'ai décidé de ne pas en parler.

Et surtout pas de ce musée : "coquin comme Gauguin ?",  que je ne connais pas.

« Je suis vraiment tombé sous le charme de l’école de Pont-Aven qui a marqué un tournant majeur dans l’art.

Je voudrais bien le croire, mais comme je ne suis pas croyant, et comme je viens de vous le dire : j'ai décidé de ne pas en parler.

Conclusion de cet article sans art :

En voilà encore un qui a attrapé la foudroyante gauguinite aiguë,

... dès son premier séjour à Pont-Aven,

... comme d'ailleurs :

... des milliers de milliers d'autres !

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C'est le dernier jour de l'EXPO consacrée à Madeleine et à sa famille PIRIOU.
Une expo qui fut des plus agréable et discrètement éducative pour beaucoup Pour tout dire, j'ai eu grand plaisir à papoter longuement avec les gens du coin. 

Sachez toutefois que j'aurai sans tarder ici, à reparler en bien de Madeleine.

Non, non, non : Madeleine n'est pas morte.

Elle et sa famille sont dignement gravées dans l'éternité de la mémoire patrimoniale, artistique, et culturelle de Pont-Aven.

Et de gens biens comme eux, je continuerai ici à en parler.  

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