Trouver son maître II

Publié le par chercheur d'histoires

Trouver son maître II

Que se passe-t-il donc ?

La vérité cachée par dame la soutane est que seul une portion du "bien sans maître" a été l'objet d'une procédure ayant abouti à son incorporation dans le domaine communal.

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- Extrait du plan cadastral -

Seule la parcelle n° 279 (sur laquelle subsistent les ruines : en jaune sur ce plan) est mentionnée dans la procédure de reconnaissance de bien sans maître.

Les parcelles n° 294 et 258 : autre portion du bien sans maître, ont été exlues sans raison apparente. La question se pose :Pourquoi donc madame le maire ?

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Une fois de plus, elle a berné tout son monde : élustucrus de base compris ... à l'exception de la famille revendicatrice de ce bien.

Une revendication, aujourd'hui reconnue officiellement sans fondement, et qui bloquait tout projet de sauvegarde de ces majestueuses ruines depuis des décennies.

Mon petit doigt me dit que cette famille espère toujours usurper la portion du bien exclue "sournoisement" de la procédure en comptant sur la complicité de dame la soutane.

Je connais les liens qui les unissent pour avoir assisté à des réunions communes.

Au cours de ces réunions, j'ai eu l'occasion de comprendre que ces individus : proches comme "cul et chemise", étaient prêts à signer une convention par laquelle ladite famille accepterait de donner gratuitement les ruines à la commune si cette dernière lui reconnaissait la propriété de l'ensemble du bien.

Dans un article de presse paru il y a deux ans, dame la soutane faisait vaguement allusion à cet accord. C'est une idée totalement idiote car un bien sans maître ne peut-être l'objet d'un acte de propriété. Je n'ai cessé de répéter cette réalité depuis que je m'intéresse à cette affaire.

Conclusions : la procédure n'étant que partiellement menée, la situation du "bien sans maître" n'est pas définitivement réglée, contrairement à ce que dame la soutane voudrait faire croire à ses paroissiens.

 C'est couillon, et d'autant plus que le droit français ne supporte pas cette situation considérée comme une anomalie juridique.

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