Les Hauts de Hurle-Vent (le début de la fin)
La photo insolite du jour : Oh la belle narguante insolente décoration !
Les Hauts de Hurle-Vent (le début de la fin)
En effet :
Selon le bon sens des choses, et celui du SCOT en vigueur, l'objectif que devrait avoir en tête les écervelés élus de Pont-Aven serait de revitaliser les deux bourgs ""moribonds" de la commune.
Dans l'état lamentable de la situation de ces bourgs, il n'y a rien de plus con que de créer artificiellement et de façon désordonnée une nouvelle et isolée "minuscule" zone commerciale.
Le secteur de Nizon est doté de deux boulangeries qui apportent un tout dernier souffle de vie
- D'une part, à son devenu sinistre bourg
- Et d'autre part, à l'ancien vivace quartier commercial secondaire du Croissant Kergoz.
Un peu de vie pour les habitants, c'est vital non ?
K'ont donc en tête les élustucrus à vouloir disloquer encore plus l'éclatement général des structures vitales de la commune ?
Que viennent faire de nouveaux commerçants dans ce guet-apens sans avenir ?
Ces nouveaux pigeons n'imaginent tout de même pas qu'une fois la faillite tombée sur leur frêle tête d'oiseau, ils puissent louer leurs locaux en Galerie à 1 500 à 3 000 € par mois ?
L'urbanisme étant depuis peu de la compétence de la CCA, les nigauds élus du cru imaginent peut-être que le miracle d'une revitalisation commerciale de la commune pour ses habitants, pourrait être apporté par les responsables de cette structure communautaire ?
"Ils se mettent les orteils dans les trous de leurs beaux yeux" déclare notre Chère-LiO'T
Conclusions :
Aujourd'hui : exception faite de peinturlure, Pont-Aven manque de plus en plus de tout.
La liste est longue et s'allonge de jour en jour, de nuit en nuit :
De structures communales, d'emplois valorisants, de sang neuf et des compétences nécessaires au redressement de la situation ... tout autant que le désir et la volonté d'aller dans le sens de ce redressement.
D'où mon vœu de voir surgir - de nulle part - une puissante association Patrimoniale et Culturelle de sauvegarde du pays, qui puisse palier à ses lourdes faiblesses du moment et : autant que faire se peut, aux errements des élus.
Une association engagée mais neutre et indépendante, qui prendrait résolument la forme d'un Comité de Salut Public.
A bons entendeurs salut, ou allez au diable.