La saison des expositions. Demandez les programmes (Suite de la suite)

A retenir pour cet été :

"L'impressionnisme d'après Pont-Aven"

"Cette exposition est l'un des grands projets 2019" (de France ?)

Le musée est surtout connu pour le synthétisme (???), mais on oublie que Paul Gauguin était au départ un impressionniste"

OK : Cela est suffisamment clair pour l'espèce de minuscule amateur d'art pontavénain que je suis, pour me faire une idée ... 

... de ce que sera l'été pontavéniste 2019 pour les fadas du gauguinisme local. 

Au départ un Impressionniste ? :

Je suis étonné, autant qu'impressionné, de ne l'apprendre que maintenant, après un demi-siècle de fidélité à notre feu ancien petit musée "bien de chez nous" 

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En effet :

Gast ah gastro ! : ma bibliothèque m'a une nouvelle fois raconté des conneries sur ce précoce impressionnant impressionniste. 

La preuve en images du jour, au travers de la revue du Moulin de la Galette ... de Pont-Aven ?

"M. Gauguin fait noir et son exécution gratinée est affreusement lourde; ses sujets sont d'ailleurs traités avec beaucoup trop de parti-pris"

Quelle honte pour ce chat noir de raconter des choses pareilles.   

Disons que ce fut un mal pour un bien car nous comprenons bien mieux maintenant ...
...  pourquoi ce futur Maître d'Ecole est venu se réfugier à Pont-Aven !

... avant d'aller se réfugier au Pouldu,

... avant d'aller se réfugier sur les sables chauds de lointaines îles paradisiaques.

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"Depuis quand le noir est la couleur préférée des Impressionnistes ?" se demande la naïve CHARLiO'T.

Qui à Pont-Aven voudrait bien lui répondre ?

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La saison des expositions. Demandez les programmes (Suite)

 "L'un des plus grands peintres Français de la seconde moitié du XXième siècle"

Merde alors : lorsque j'avais été voir l'exposition que la ville de Quimperlé avait dédiée à ce fabuleux artiste, mon impression était tout autre.

- - -  Suite  - - -

Je pense que je ne fus pas le seul ...  à s'y être ennuyé ! (je censure la suite de cette phrase afin de ne pas avoir de nouveaux ennuis avec la justice !)

En tous les cas, les membres culturellement rabougris ...

... de la secte du christ jaunissant ... 

... qui avaient raté, il y a quelques années, l'exposition Tal Coat présentée aux Ursulines à Quimperlé, pourront se rattraper cette année à Pont-Aven. 

Il était tout de même dommage pour eux de terminer leur vie culturelle avec un si gros trou dans leurs fabuleuses connaissances picturales.

Et puis : il faut bien le dire, l'effet Musée de France  va sûrement agir positivement sur leurs cerveaux !

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Ce que je note toutefois est qu'André CARIOU (ancien conservateur du musée des Beaux Arts de Quimper) classe ce cher Tal Coat au même niveau que les autres peintres de son époque ayant travaillé dans le coin.

Dans son ouvrage collector "Les peintres de Pont-Aven", publié en 1994, il ne porte pas plus d'égard pour Tal Coat qu'aux autres :  Clairin, Asselin, Daucho, Corelleau, Vaillant, Joubert, etc.

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A retenir pour cet été :

"L'impressionnisme d'après Pont-Aven"

A suivre demain

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Le document du jour :

En ce temps-là, c'était le bon temps ou pas ? 

... au regard de la vie actuelle dans ce fief dit culturel, 

... en totale perdition de toutes ses valeurs originales !

Gast ah gast ! : En ce temps là : Le maire, Frédéric SATRE, était tout de même l'heureux époux de la future célèbre Belle Angèle.

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La saison des expositions. Demandez les programmes 

"Quoi de vieux à Pont-Aven cette année ?", me demande la CHARLiO'T pour plaisanter.

Qu'en disent les coupures de nos  can'arts des coins-coins du coin préférés 

"Le musée de Pont-Aven, le premier de la classe"

OK, mais attention : Dans le cas de ce musée, ce n'est généralement pas un journaliste d'investigation ou critique d'art indépendant, qui exprime ses sentiments personnels dans son journal.

La plupart du temps, les  articles publiés ne font que rapporter les déclarations de sa direction.

C'est ainsi que tout va bien dans le meilleur des mondes pour "ce premier pôle muséal de Bretagne" comme il est dit si souvent dans les can'arts des coins-coins du coin. 

A noter en ce moment :

"Tal Coat s'invite au musée de Pont-Aven ..."

En lisant cela, j'ai l'impression de marcher sur un piège car comme vous le savez, je n'ai plus le droit de m'exprimer librement sur ce musée.

Je ne peux donc que reproduire ici un court extrait du texte de cette annonce :

"... Il est l'un des plus grands peintres Français de la seconde moitié du XXième siècle"

Merde alors : Lorsque j'avais été voir l'exposition que la ville de Quimperlé avait dédiée à ce fabuleux artiste, mon impression était tout autre.

la CHARLiO'T me déclarant tout de go :

"T'as pas le Tal Coat dans la peau ou quoi ?"

- Et moi de lui répondre : Non mais j'ai le CALOR sur la peau.

- Et moi de lui répondre  encore ...

... que je ne peux plus répondre à ce type de question sans me faire sévèrement enguirlander,
... même pas de déclarer publiquement que la peinture : ça me rase ...
... "Très bien les poils depuis 1960 ?" me demande pour finir cette page en beauté la poilante CHARLiO'T  

A suivre 

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C'est con : Il n'y a plus de saison

"Ça c'est vrai"  comme le disent si bien les véritables bigoudènes de Pont-Aven.

La pensée du jour :

Le mois de février n'est pas terminé, et voilà que déjà les tableaux de peinturlure pontavéniaise sont en fleur.

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"Quoi de neuf cette année à Pont-Aven ?"  me demande la CHARLiO'T

Pour tout dire, cette année le Temple de la Peinture du coin m'a un peu déçu.

En effet, on nous avait promis de "l'Ecole de Concarneau " :  en veux-tu, en voilà, et en définitif la belle et ferme promesse a dérivé sur d'autres choses bien moins excitantes pour moi l'andouille purée beurre fin pontavénain.

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Vous voulez savoir pourquoi j'attendais impatiemment depuis cette annonce datant de 2017, la grande exposition qui devait être présentée à Pont-Aven cette année ?

Parce qu'elle devait  justement être dédiée aux peinturlureux concarnois. 

C'est comme ça n'en déplaise aux pontavénounours  : ils sont les meilleurs tout simplement.

Vous voulez que je vous dise pourquoi ces géniaux Concarnois'arts sont les plus talentueux ?

Ceux qui connaissent la grande Histoire de la Peinture Bretonne, savent que les anciens Artistes de la Cité des anciens Peintres de talent, n'étaient que des crève-la-faim sans le sous, obligés de fréquenter la cantine des Gloanek.

Par contre, à Concarneau se retrouvaient autour des bonnes tables de leur bon coin, les embourgeoisés peintres de Salon.

Que voulez-vous : Les riches artistes Concarnois avaient la possibilité d'acquérir les meilleurs tubes de peinture produite à l'époque,

... contrairement aux pauvres clients de chez les Gloanekeux qui parfois devaient même quémander les tubes de leurs voisins de table pour achever leurs tableaux. 

Ne cherchez pas autre chose : Les Concarnoiseux sont forcement les meilleurs car ils n'utilisaient que de la bonne peinture.

"De la marque déposée "Bourgeois ?" me demande la CHARLiO'T

Et voilà pourquoi cette année encore, la population de Pont-Aven restera sur sa grosse faim de "penn sardines concarnoises"

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Le document du jour :

Coucou la Salle défaite !!! 

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Le BLOG-NOTES dominical

Il s'en passe des choses de pas très catholiques ces temps-ci ici. 

Lu dans la presse cette semaine :

- Des ciboires ont été volés dans plusieurs églises du coin dont celle de Nizon

La parabole du jour proposée par la Sainte CHARLiO'T

"Si boire était du pain béni, tout irait bien mieux sur la terre ... de Nizon"

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- Crozon :

La chapelle de MORGAT en cours de démolition

Gast ah gast ! : Où sont passés les vrais amis des Artistes de Pont-Aven ?

Ont-ils tous oublié que cette chapelle est ornée de vitraux créés par Marie-Jo GUEVEL : La fille du Maître Verrier Job GUEVEL ?

Que vont devenir ces précieuses œuvres de cette vraie artiste pontavéniste "bien de chez nous" ?

Espérons qu'elles ne vont pas finir en minables lampadaires ...

... plantés sur le rond-point de la gendarmerie de Crozon !

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Le document du jour :

L'auteur parlait-il du cachet de l'ancienne célèbre pharmacie de la Grand'Place ?

Gast ha gastrouille ! Dans les années 1980, les vrais pontavénounours osaient encore exprimer leurs justes colères dans les can'arts des coins-coins du coin.

Putain de bordel de merde ! Où sont-ils tous (tré)passés ?

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Le 1er bulletin de (dé)informations municipales de 2019 (Page n°18)

Je conclurai cet interminable article en reprenant un extrait du BIM municipal  :

Le futur lotissement de Nizon 

-"le lotissement sera pourvu d'un important maillage  de cheminements piétons et d'espaces paysagers"  

Ah oui  ?:

- Des maillages sans intérêt, sans réelle fonction, et qui ne mènent nulle part !

Des éléments imaginés juste pour faire joli sur le plan du projet ?

- "Des espaces paysagers" ???  

Je dois être aveugle car je n'en vois pas. 

Et puis, si c'était malgré tout le cas : Qui prendra en charge l'entretien régulier de ces dits nouveaux espaces paysagers totalement inutiles dans l'atmosphère rurale de Nizon ?

Les manques d'entretien des espaces publics des cités de la commune sont déjà l'objet d'incessantes réclamations auprès de la municipalité, me semble-t-il ! 

Les futurs habitants de ce nouveau mal foutu quartier seront-ils privilégiés au regard des autres ?

Ne vaudrait-il pas mieux destiner le financement environnemental de ce lotissement dans la qualité des aménagements communs adaptés à l'esprit local et l'atmosphère particulière du bourg de Nizon totalement repensé ? 

Repensé pour faire face à l'attractivité des villes voisines.

La dernière question qui tue le projet de monsieur le maire :

Une nouvelle morne cité dortoir, ou un vivace village bien campagnard, mais du XXIe siècle 

A choisir : Quelle solution serait la meilleure pour apporter un peu de chaleur conviviale au bourg de Nizon de demain ? 

La municipalité de Pont-Aven ne se pose manifestement pas ce type de question existentielle.

C'est pourtant ce que les urbanistes et les décideurs du monde rural devraient, maintenant et plus que jamais, se poser.

Nous en sommes très très loin dans le coin !

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Le 1er bulletin de (dé)informations municipales de 2019 (Page n°17)

- Ce n'est qu'à ces trois conditions qu'un projet de nouveau lotissement : bien pensé en venant se fondre au vieux village ressuscité, aurait toutes ses chances de réussite ...

... face à l'ogre Concarnois.

- - -  Suite  - - -

Un projet qui devrait n'être qu'une extension douce du village existant.

Un village : préalablement, ou en cours, de réhabilitation et de redynamisation.  

- Une extension raisonnée comportant des placettes conviviales et des ruelles de village uniques au monde, des espaces propices aux liens amicaux entre les habitants, de nouvelles maisons de village à entièrement imaginer, sans oublier par exemple les nécessaires stationnements pour les visiteurs du dimanche, ou des fêtes individuelles etc. 

 ... En deux mots :

- Recréer de la chaleur villageoise en phase avec la vie actuelle dont les habitants seraient fiers.

- Ressusciter cette bourgade, où il ferait bon vivre pour tous ceux qui aiment la terre ... et leur potager (à ne pas oublier)

Et oui : A ne pas oublier : Le Bio ne reprend-il pas sa revanche sur la mal bouffe depuis quelques années ?

Les potagers en voie de disparition, n'étaient-ils pas autrefois de l'anti mal bouffe pour tous ? 

Le projet présenté par la municipalité est aux antipodes de cette vision.

Il est dans l'air du temps de tout banaliser et rationaliser à l'extrême.

Pont-Aven n'échappe pas aux progrès inhumains de notre temps. 

Il est stupide de penser qu'en imitant bêtement la façon de concevoir l'urbanisation des faux bourgs des villes il serait possible de sauver les bourgs ruraux en voie de désertification.

Proposer la même offre sur Pont-Aven qu'à Concarneau est un non sens absolu.

Suite et fin enfin demain matin

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La photo du jour :

C'était en 1984 : "la vie est belle à Pont-Aven"

... "sauf pour la franche de la population qui n'apprécie pas la grosse foule"

1984 : C'était avant 1985, avant que la commune ne soit envahie par le poison d'une gauguinite qui depuis ne cesse de faire des ravages.

Aujourd'hui : pour être franc, il serait nécessaire d'effacer le mot franche.

C'est 99% de la population qui subit de plein fouet cette foule de passage éclair.

"les rambardes du viaduc ont enfin été réparées"  ???

Jean-Marie : Où es-tu ?, que fais-tu ?

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Le 1er bulletin de (dé)informations municipales de 2019 (Page n°16)

C'est pas grave se disent les ragondins de l'Aven : On a un grand Musée pour s'amuser de la connerie pontavénizoneuse !!! 

- - -  Suite  - - -

Pour moi : l'idiot du village d'en bas qui connaît par cœur les forces et les faiblesses de son pays, Il reste sans aucun doute par ici ou par là, quelques discrètes traces de la notoriété ancestrale de la commune qui pourraient être utilement mises en perspectives afin de modeler un projet visionnaire ayant essentiellement pour objectif la création des centaines d'emplois valorisants qui manquent tant aujourd'hui au pays pour lui assurer un avenir. 

- Ce n'est qu'à cette condition qu'il serait possible d'envisager la mise en forme concrète des objectifs de "réhabilitation et redynamisation" en profondeur du bourg de Nizon.

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" Il faut réveiller le mort.

" Espérons que le christ jaune nous donnera un coup de main. 

" Un coup de main à la manière d'un Saint Esprit Breton, afin de recréer en ce lieu très Saint , 

" un joyeux et attirant esprit de village." me murmure notre chère Sainte CHARLiO'T 

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- Ce n'est qu'à ces deux conditions qu'un projet de développement urbain du bourg-d'en-haut de la commune pourrait avoir un sens et des chances de réussite.

Mais dans ce cas, de nouveaux efforts seraient encore à entrevoir.
En effet, contrairement au médiocre projet de lotissement proposé par monsieur l'adjoint à la Culture de la CCA, il faudrait de surcroît imaginer une urbanisation de la périphérie de ce centre bourg, respectueuse et en phase avec son originelle atmosphère rurale et vivante ... ... ... retrouvée.
Retrouvée dans une version évidemment plus contemporaine, mais sans dénaturation de sa nature "bio", et de sa saveur rurale originale. 

- Ce n'est qu'à ces trois conditions qu'un projet de nouveau lotissement : bien pensé en venant se fondre au vieux village ressuscité, aurait toutes ses chances de réussite ..e n'

... face à l'ogre Concarnois.

A suivre demain

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Le 1er bulletin de (dé)informations municipales de 2019 (Page n°15)

Les prochaines élections municipales approchent à grands pas.

Je me propose donc de venir en aide aux futurs prétendants ignorants en proposant  un programme électoral "idéalement" en phase avec les besoins élémentaires d'une future éventuelle population rajeunie.

Un programme "fait maison", fondé sur une vision éclairée d'un futur heureux et durable du bourg-d'en-haut du pays comme il se doit.

Point d'incantations ni d'élucubrations stériles chez moi le parfait "andouille purée beurre fondu" 

Sachant que J'ai déjà longuement exprimé mon sentiment sur ma vision d'un futur durablement heureux du bourg-d'en-bas, mettant en perspective le potentiel des anciennes conserveries proches du Bois d'Amour, Je passe donc directement au bourg de NIZON.

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Engagement n°1 : Tout mettre en œuvre afin d'attirer un troupeau d'employeurs sur le territoire de la commune

Cela ne devrait pas être très difficile : La France a en réserve entre un et deux millions d'employeurs actuellement sans emploi.(Voir ce sujet général déjà développé sur ce blog de merde)

Pour cela, ne serait-il pas absolument nécessaire d'affecter au moins la moitié des futurs élustucrus à cette noble tâche ? Je pense sincèrement que si, vu l'état de délabrement actuel du pays.

Nizon bénéficie d'une vingtaine d'hectares de terrains communaux en friche au lieudit "L'Enfer", classée en zone d'activité depuis presque un demi-siècle.

Il y a vingt ans, durant le règne de la famille Rivet, si la municipalité de l'époque avait eu des idées visionnaires concrètes pour l'avenir de la commune - autres que sur la peinturlure concentrée en plein centre ville -, il aurait été possible d'aménager le principal centre de fabrication des biscuits bretons sur cette zone d'inactivité de l'Enfer.

La notoriété nationale des deux biscuiteries traditionnelles du Pays des Moulins le permettait sans aucun doute.
Aujourd'hui, c'est  foutu pour Pont-Aven : C'est la ville de DINAN qui a récupéré intelligemment la mise. C'est elle qui occupe le terrain du dynamisme de la biscuiterie régionale.

Cette opportunité a émigré vers le nord de la Bretagne en raison du manque de réactivité visionnaire de ses élustucrus, faut-il bien reconnaître.

Ce sont ainsi des centaines de précieux emplois nouveaux qui ne verront pas le jour à Pont-Aven.

C'est pas grave se disent les ragondins de l'Aven : On a un grand Musée pour s'amuser ...
... s'amuser  de la connerie pontavénizoneuse !!! 

A suivre demain

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Le 1er bulletin de (dé)informations municipales de 2019 (Page n°14)

"C'est bien beau de se moquer des pauvres nizon'ards" me dit la CHARLiO'T, "Mais que faire lorsque l'on sait que le bourg-d'en-bas de la commune est définitivement perdu pour l'humanité, et que celui d'en haut suit irrésistiblement le même chemin ...  des peintres ?"

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L'urbaniste qui sommeille en moi se réveille brusquement en entendant cet émouvant appel de détresse de notre plus belle Pontavénizon'us-Beauté. 

La Cité, dite : des anciens Peintres de talent, ne serait-elle pas plus précisément pour tous ceux qui connaissent sa Grande Histoire : 

"La Cité des Grands Peintres Visionnaires " ?

Alors :  Pourquoi pas essayer d'imaginer de nos jours sur place, une nouvelle Grande Cité d'élustucrus ayant une formidable vision éclairée d'un futur heureux et durable de leur pays adoptif ?

Le trou de peinturlure du bas est englué dans ses mortelles contradictions contre lesquelles personne ne peut plus agir. 

Mais pour quelles mauvaises raisons, les élustupides du coin ne mettent pas le paquet (d'idées neuves) afin de revitaliser et redynamiser celui du haut ? 

... Conformément aux règles définies par la SCOT de la CC'ânerie, bien entendu.

Durant ses deux mandats de maire, madame la Chevalière de l'Ordre de la Légion d'Honneur avait mis sa charrette économique devant ses bœufs réformés. Vue la situation, Plus personne ne peut prétendre le contraire.

Nous ne pouvons plus aujourd'hui que constater le triste, autant que sinistre, résultat durable.

Vous ne trouvez pas que son successeur ne fait qu'imiter son ancienne patronne du conseil municipal ?

Les prochaines élections municipales municipales approchent à grands pas.

A suivre demain

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La photo du jour :

Le 31 décembre 2018, il y avait encore un garage derrière cette façade d'immeuble du centre historique de Pont-Aven.

Manifestement, la valse des garages continue son bout de chemin piétonnier en ce lieu devenu maudit pour les automobilistes.

Oui mais, lorsque les futurs locataires de cette maison voudront "pour se changer les idées noires !", se faire un ciné à Concarneau par exemple : Comment se déplaceront-ils ?

En faisant du stop peut-être ! 

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