C'est quoi une conne ?(fin)

Ces nouvelles façades furent donc crépis (chaux , ciment ...)  puis badigeonnées à la chaux éteinte blanche.

Suite : 

C'est ça, et que ça, qui caractérise le caractère architectural du centre de Pont-Aven.

Ainsi, Seuls quelques rares et éparpillées maisons des XVIIe et XVIIIe siècles subsistent encore. 

Ce n'est en fait que dans les années 1960 que le lamentable décrépissage des façades commença.

La population n'étant plus suffisamment éduquée : Certains imaginant être des "lumières" en

se figurant stupidement qu'ainsi,  Pont-Aven retrouverait son authentique aspect '"moyenâgeux", qui d'ailleurs n'a jamais existé. L'origine et l'organisation de cette  bourgade datant du XVIIe siècle.  

Il en est de même des "dangereux" récents pavages chinois posés sur l'ensemble de la superficie au sol de notre ancienne Grand Place.

La conclusion du jour : 

Comme appât à touristes désœuvrés : manifestement tant aimés par la population actuelle, cette grosse connerie de décors factices participe hélas grandement ...

... aux saccages esthétiques de nos valeurs patrimoniales, culturelles, et environnementales.      

C'est quoi une conne ?(suite)

Et dire que c'est ce type "d'élustucrus" qui fut désigné pour mener à bien la révision du PLU de Pont-Aven.

Le résultat est manifestement à la hauteur de leurs faiblesses patrimoniales et culturelles.

Pour ne rien connaître en architecture, comme en urbanisme, le précédent maire ne pouvait pas trouver plus mauvais que cette huitre baveuse ... Sauf en lui même en réalité !

Ils ne sont évidemment pas les seuls dans ce cas à Pont-Aven. Je pressens donc qu'un bon nombre d'entre vous ne seront pas d'accord avec mon analyse de cette bavure.

A savoir :

Au milieu du XIXe siècle, une municipalité de la bourgade de Pont-Aven décidait de détruire les trois quarts des antiques édifices de son centre, afin de percer trois grandes voies de communication mieux adaptées aux difficultés de circulation préexistantes.

C'est ainsi que naquis une petite ville moderne et bien propre constituée de maisons de ville

(l'ensemble s'étant en outre surélevée d'un étage)

Ce type de construction n'étant absolument pas adapté aux façades des maisons de ville en pierres apparentes ... et par dessus le marché : ouvragées.

Les murs étant construits au milieu du XIXè siècle dans ce centre, avec du tout venant de  pierraille, de même type qu'utilisé à l'époque pour constituer les hérissons (fondations) des routes. 

Ces nouvelles façades furent donc crépis (chaux , ciment ...), puis badigeonnées à la chaux éteinte blanche.

L'entreprise Mahé fut la dernière à en fabriquer et à en proposer localement.

Suite et fin demain.

C'est quoi une conne ?

Ne serait-ce pas une personne sans connaissance qui raconter n'importe quoi sans rien savoir ?

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En octobre denier j'avais raté la lecture du journal de l'huitre baveuse de Pont-Aven. 

c'est vrai qu'en ne bavant plus qu'une fois par an, nous avons tendance à l'oublier ! 

En voici le texte :

De quel imbroglio architectural peut tenter de se protéger un bâtiment

lorsqu'il se révèle dans son plus simple appareil

De cette série à suspens déclinée par la nouvelle Architecte des Bâtiments de France, quelques mots d'amour tranchants comme la pierre ont semble-t-il scellé les velléités de rénovation de cette maison particulière longtemps laissée à l'abandon le plus total... gorgée de mérule et lézardée de part en part. Bien venu à Pont-Aven où l'on préfère aux pierres chargées de patrimoine, l'affreux enduit du temps, pourvu qu'il soit "pastel" !

Récemment, une cinglante missive a été adressée à son propriétaire le sommant de remettre en état la dite façade : "disharmonieuse et à la maçonnerie vulgaire, portant atteinte à l'unité des bâtiments remarquables l'entourant" ?!?

Mais de quelle unité parlons-nous : celle de gauche (presque triste comme un jour sans fin) ou celle de droite (rehaussée d'une belle pagaille d'enchevêtrements de pierres et d'enduit) ? Inutile de chercher car vous ne trouverez hélas probablement pas ce qui motive l'humeur de la nouvelle prêtresse des lieux.

On trouvera tout de même dommage le peu d'enclin de la municipalité à soutenir ses habitants dans l'entreprise de rénovation de ses plus anciens habitats. Surtout, pourvu que rien ne "blouge", dans quelques années ont pourrait avoir une sacrée Petite Citée de Caractère comme celle ci-dessous...

A suivre demain

Le BLOG-NOTES (suite)

Lu très récemment dans la presse locale : 

- Pont-Aven :

"La société de pêche locale (AAPPMA) est contrainte de fusionner avec celle de Concarnaau "

S'il n'y avait qu'elle, ce ne serait pas très grave : Surtout pour les poissons de l'Aven qui ont déguerpi depuis longtemps.

Mais ce sont toutes les associations de Pont-Aven qui : les unes après les autres , sont contraintes d'aller frapper à la porte des assos des communes voisines pour essayer de subsister tant bien que mal. 

(Comme encore tout récemment aussi Celle de "Place aux Jeunes")

Finalement il n'y a que "la secte du christ jaune" à bien résister,

... même si dans la longue liste de ses adhérents figurent de moins en moins de vrais pontavénains et pontavénaines.  

- Pont-Aven :

La maison de santé :

"Un premier médecin s'y est récemment installé "

Pourvu que cette maison de santé reste en bonne santé 

... ce qui n'est pas gagné : Loin de là ! 

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Le document du jour :

1994 : A l'époque l'Aven était encore poissonneuse.

Même notre meilleurs et dernier grand braconnier local  : Dédé Bourhis,  Fournissait le W.E. à volonté,  du saumon frais de la nuit, aux meilleures tables de coin. (à 50 Francs l'unité à cette époque)  

Du dérapage municipal 

C'est très fréquent à Pont-Aven mais pour enfoncer le clou je vous en propose un nouveau tout frais

Je l'ai découvert dans le P'tit BIM mensuel  sous le titre :

"Mairie : questions fréquentes "

Cet article concernant seulement selon la municipalité les articles 671 et 672 du code civil.

( voir la copie ci dessus)

C'est vrai, sauf que le verre servi reste à moitié vide.

En effet, les distances des plantations d'arbres et d'arbustes par rapport aux limites séparatives des terrains concernent aussi grandement le code rural.  

Si seuls les articles 671 et 672 du code civil étaient à prendre en compte, il n'existerait aucun arbre sur les talus séparatifs des propriétés de nos compagnes.

Heureusement donc qu'il existe d'autres règles à prendre en compte dans le monde rural.  

... surtout qu'aujourd'hui - comme autrefois -   les agriculteurs peuvent tirer de substantiels  revenus sur la vente du bois de chauffage. 

Alors que vient donc nous raconter monsieur le maire : 

Ne chercherait-il pas à créer des conflits de voisinages là où il n'y en a pas vraiment ?   

Et puis : Même si le cas est assez rare, rien n'empêche à deux propriétaires voisins de convenir autrement (Un acte notarial publié à la conservation des hypothèques étant nécessaire dans ce cas afin que la convention puisse être opposable à tous)

Dans certains vieux lotissements des règles dérogatoires existent parfois aussi. 

Dans des règlements d'urbanismes aussi,  même si c'est à déconseiller.  

Le conseil  du jour à l'attention de monsieur le maire de Pont-Aven :

Plutôt que de prétendre conseiller ses concitoyens sur des questions juridiques qu'il ne connait que partiellement, il ferait mieux déjà d'étudier lui même les codes de la construction et de l'urbanisme pour éviter de faire du mal autour de lui.  

Je pense en cela à Corinne évidemment.  

Le BLOG-NOTES du jour :

Lu dans la presse récemment :

Pont-Aven :

"La Protection Civile en quête d'un local"

Gast ! : Il y avait longtemps que nous n'avions plus lu cela dans nos can'arts des coins-coins du coin même si le problème reste récurant depuis au moins  20 ans. 

La municipalité actuelle va-t-elle aussi finir par lui trouver un local provisoire pourri quelque part ?

- Dans l'ancienne forge des chemins de fer ?  : Non c'est foutu, le précédent maire l'a fait détruire ...
... tout comme l'ancienne habitation de la pisciculture.

- Dans l'ancien "Café Boutet" situé en face de la friche du Bois d'Amour que la commune vient d'acquérir ?

Sûrement pas, monsieur le maire ne va tout de même pas renoncer à  son projet  son étude d'urbanisme utopique EUROPAN ...
...  pourtant en panne sèche depuis la fin de cette étude ! 

Alors : Pourquoi pas utilement dans l'ancienne caserne des pompiers, qui leur suffirait sans même engager de lourds travaux de rénovations.

Il aurait même été possible d'imaginer l'installation en ce lieu d'un cabinet dentaire à coté,

... même s'il aurait été plus opportun d'imaginer ce type d'installations dans le bourg de Nizon,afin de le redynamiser dans l'intérêt général de la population locale. 

Le document approprié à l'article du jour :

Il y a  20 ans, il était déjà question pour les secouristes de s'installer dans l'ancienne caserne des pompiers, mais pas dans l'ancienne actuelle. Dans celle qui se trouvait à côté du viaduc que les pompiers de l'époque venaient de quitter pour la nouvelle ancienne d'aujourd'hui.

La conclusion du jour :

"Il y a exactement 20 ans !!!

Vous ne trouvez pas qu'à Pont-Aven, dans bien des domaines de la vie courante, ses élustupides donnent plus dans les piétinements ...  

... que dans les avancements dans le durable ?

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Le musée de la pêche de la CC'â sera bientôt profondément rénové à ce qu'il se dit .

En attendant sans aucun doute pour moi, qu'un musée des Beaux Arts affecté à l'Ecole de Concarneau puisse voir un jour le jour.

Restons-en pour l'instant à celui de la pêche aux touristes de la Ville close.  

 Imaginez la gueule des concarnoiseux s'ils apprenaient que lors de cette rénovation, soit prévu de visser de grandes plaques noires en acier sur la façade de ce bâtiment remarquable ...
... comme cela a été la cas (par les mêmes)  à Pont-Aven contre la façade de l'intouchable façade de l'ancien HÔTEL JULIA. 

Et pourtant à Concarneau : l'un des centres bretons les plus importants de Bretagne en matière de constructions et de réparations navales,  la plaque d'acier est une référence plus que symbolique  pour la population et les activités locales. 

La façade du musée de la pêche est classée monument historique, c'est vrai.  Mais comme des milliers d'autres en France.

Par contre,  la façade de notre ancien HÔTEL JULIA, connu du monde entier,  était  bien autre chose de plus précieux pour la population de Pont-Aven.

C'était un édifice chargé d'Histoire, au même titre que la Pensioin Gloanec dont la façade fut hélas aussi, ravagée au début du siècle dernier.

La conclusion du jour : 

Ce n'est pas grave du moment qu'il n'y a qu'un vulgaire chercheur d'histoires à s'en offusquer. 

La photo du jour :

 Dans la cour intérieure de l'Hôtel Julia (Pont-Aven)

Je le redis : Tous droits réservés à respecter SVP  

Aujourd'hui il pleut

... et ça va durer :

Que voulez-vous que je vous dise de plus :

Que c'est une conversation de bistrot ?

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Heureusement que la CHARLiO'T vient à mon secours.

En effet,  vous ne le savez sans doute pas, mais elle a fait de grandes études universitaires. 

Au départ, elle souhaitait devenir la dame Météo de la Télé de sa grand-mère.

Et c'est pour cela qu'elle avait obtenu un diplôme équivalent à un "BAC + 6" un BAC - 12°

Mais refusant de retirer sa coiffe de bigoudène de Pont-Aven, aucune télé n'avait voulu l"embaucher

... sauf pour les réclames du Pâté Hénaff évidemment.

C'est bien dommage, car ce matin même  je l'entendais exercer son art en ces termes devant le manche du balais qui lui sert de micro : 

" Attention : aujourd'hui fortes pluies à ne pas sortir un parapluie dehors" 

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La photo insupportable  du jour :

Gast ah gast ! Laisser des voitures dehors sous ce temps pour rire ? 

... juste après un panneau d'interdiction de stationner ... (sur le trottoir) ...

... que le 1er avril sans aucun doute !

L'ancien ou le nouveau (fin)

Je vous annonçais récemment que monsieur le maire n'était désormais plus autorisé à jouer son p'tit dictateur en peluche dans ce BIM mensuel en raison du manque de parité  d'expression entre les différents groupes politiques de la municipalité.
Et bien, comme vous le remarquez dans cet extrait, il a tout de même réussi à détourner la règle.

En effet : Cet extrait ne parle que de son exploit d'avoir imaginé une nouvelle identité visuelle à son BIM, ...
...toujours aussi Dautellien en fait.

Dautellien : C'est-à-dire hors des besoins et des soucis actuels des habitants de sa devenue tristounette commune.  

Un exploit que personne ne demandait en réalité, mais qui s'intègre dans la posture de ses vantardises habituelles, dans celle de ses communications très personnelles sans lien avec la vie de la population locale.
Une manière pour lui d'essayer de graver son nom dans le marbre de la Grande Histoire du pays des anciens Artistes de talent.

Que puis-je dire de plus ?

Ce qui me choque le plus dans ces dires est sa façon de raconter l'histoire des bulletins municipaux de la commune, alors même que les plus anciens (d'avant l'ère Rivet) n'ont hélas pas été conservés dans les archives de la commune. Ce qui aurait été bien plus important de noter à mon sens que ces petites anecdotes sans réel intérêt . Et surtout "interpellant" au regard des très mauvaises conditions d'archivage de la documentation municipale. 

De surcroît, ne reconnaissez vous pas dans le dernier paragraphe de son texte sa manière très dautellienne de se foutre de la gueule de ses concitoyens ? 

La conclusion du jour : 

 Nous devons tous reconnaître que le Maître d'Hôtel de Ville de Pont-Aven ...

... est un as "de la communication virtuelle" comme il nous le fait comprendre dans cette communication municipale.

L'ancien ou le nouveau ?

Non CHARLiO'T,  je ne parle pas du testament mystique de ta grand-mère,

mais du P'tit BIM menstruel municipal, qui après trois mois et demi de gestation vient tout juste d'accoucher dans la douleur.

"Et alors ? " s'écrie son grand-père 

Et bien, je souhaite simplement demander à ceux qui me suivent, de m'indiquer lequel des deux ils préfèrent  :

L'ancien ou le nouveau ? 

Et la CHARLiO'T de répliquer immédiatement sans réfléchir : 

"Par conviction, moi je préfère toujours les choses les plus à la mode du moment,

...du moment qu'elles soient en vogue ...

... et c'est pour cela que ta question m'agace énormément ...
... parce que tu ne notes pas dans ton envoi ...
...   lequel des deux est-ce !"

La conclusion du jour :

Vous ne trouvez pas que la CHARLiO'T essaye parfois d'imiter les couilles molles de Pont-Aven

sans réellement y parvenir ?

Dame ! N'est pas couille molle de Pont-Aven qui veut.

A suivre demain

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