Extrait du journal "Les Échos"
Voir ci dessous :
A première vue, ce scandale ressemblerait à celui de Corinne.
Cependant, pour le peu que l'article nous propose, cette affaire me semble infiniment moins grave de celle de la maison de la honte dont Corinne est victime. Des conflits de voisinages comme celui là j'en ai connu de nombreux durant ma carrière.
Aujourd'hui, les nouvelles règles du code de la construction et de l'urbanisme devant provoquer sans aucun doute pour moi des déluges de sérieux conflits de voisinage de cette espèce.
La concentration du bâti urbain exigée reposant que sur de nuageuses incantations sans règle précise menant tout droit vers des révoltes entre voisins.
Il est question !ci de la construction d'une maison d"une hauteur tout au plus de 8,17mètres de hauteur au lieu des 7 mètres autorisés, alors que je dénonce dans le cas de Corinne, une construction d'un seul tenant de plus de 17 mètres de hauteur comportant quatre niveaux principaux au lieu des 2 autorisés.
Il y aurait donc vraisemblablement dans cette affaire : si j'ai bien compris , un problème de hauteur de construction de faible importance mais c'est tout.
Dans notre cas, les innombrables graves délits que j'ai décelés sont infiniment supérieurs. Le problème dans le type de cas signalé dans "les Échos" provenant souvent de la difficulté de définir le niveau du sol naturel sur des terrain chahutés.
Dans le cas exposé dans "Les Echos" , les plaignants bénéficient cependant d'un précieux appui médiatique national, ce qui n'est pas le cas de notre pauvrette Corinne.
Cela dit, je pense qu'il serait à nouveau utile que je reparle de cette abominable atrocité ici .
Sa dramatique situation ne s'étant pas améliorée : bien au contraire.
D'autant plus qu'autour d'elle, tout le monde s'en fout.
--- Voici l'article paru récemment dans "Les Échos" -------------------------------------------
Les requérants reprochent en effet au maire de l’époque, Yves Métaireau, d’avoir autorisé la construction d’une « véritable falaise » sous leurs fenêtres, selon leur avocat Me Julien Echardour, au mépris des règles de hauteur du Plan local d’urbanisme (PLU).
Mais le rapporteur public, dont les avis sont souvent suivis par les juges, a proposé de rejeter leur requête : selon ses calculs, le bâtiment ne dépasse pas les « 7 mètres » maximum depuis le sol.
Les présumées « manœuvres » des bénéficiaires du permis « de nature à tromper l’administration » et leur « fraude par fausse déclaration », alléguées par les requérants, ne lui « semblent pas établies ».
« Les deux maisons se trouvent dans un secteur où les niveaux de terrains ne sont pas les mêmes : mes clients sont largement au-dessous de celle de M. et Mme XXX, ils ont une sensation de hauteur démesurée », a souligné Me Julien Echardour.
Les hauteurs maximales autorisées par le PLU de La Baule sont « largement dépassées » dans ce dossier puisque la nouvelle maison mesure « 8,19 mètres » de haut.