Imagines

- Imagines que plutôt d'avoir introduit une conserv'atroce chez nous, les politicons du coin aurait acquis un pilote d'Air France issu de la même espèce d'herbe folle.

Il aurait sûrement lui aussi envoûté les élu'stupides pour qu'un grand Apéroport de Notre Dame des Landes et des Ajoncs, soit construit sur la Grand'Place.

Ici, toutes les folles auraient évidemment été contentes que soit construite à la place de la Place, une fumeuse locomotive économique z'ailée.

- Imagine d'autre part, que J.M. ait été élu maire de Pont-Aven par inadvertance.

Ne crains rien : Ma proposition n'est que de la science-fiction.

Pour autant, je pense le cerner suffisamment bien pour imaginer qu'il aurait ordonné de peindre le ciel en bleu, ...
...  avec de belles bandes blanches bien parallèles, ... 

... afin de fluidifier (comme le dit si bien J.M. !) le trafic de la circulation aérienne au-dessus de nos têtes.

La conclusion de ce jour très ensoleillé :

Ce ne serait qu'imaginer une réplique : grandeur surnaturelle, de la basse réalité actuelle de la paroisse de... (censuré) ...

 C'est quoi cette nouvelle affectation ?" me demande la CHARLiO'T

Gast ah gast : Manifestement ma charliotétine ne lit plus mon blog depuis qu'elle va prier à genoux au musée.

La garce, la traite, la traînée :  Qu'elle ne vienne plus me prier de la mettre dans mon lit ! 

Qu'elle reste donc dormir sur une planchette de bois de peuplier : Ce sera bien fait pour elle ... et pour tous les grands amateurs d'art de la planète des peuples pliés !

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Monseigneur J.M. ?

"Pourquoi tout d'un coup lui attribuer ce titre de noblesse ? " me demande la CHARLiO'T

"Mon Soigneur lui irait tellement mieux" me dit-elle.

C'est vrai : Je reconnais que Mon Soigneur  lui va autant qu'un pansement d'infirmière sur les chaussées défoncées du bled de Lebret, alors que "Monseigneur qui est aux cieux ... " ça sonne faux chez lui.

Nous ne sommes plus à l'époque du port de la soutane Républicaine que Saint Guénolé imposait à son prédécesseur à la mairie.

A chaque époque ses grosses tares : N'est ce pas ?

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Pardonnes-moi ma chère pontavénus-beauté !

J'ai commis une erreur de formulation  inappropriée, indigne d'un idiot de village qui se respecte. 

Evidemment que J.M. est bien plus soigneur que Monseigneur :

... parfois même pour tout dire : Saigneur de notre arbre de la Liberté, et autres antiques célèbres peupliers de l'Aven !

D'ailleurs mes Seigneurs : S'il était guérisseur, et le connaissant bien, je pense sincèrement qu'il serait capable de percer vos furoncles ...
...  avec un marteau piqueur.

... et de couper la langue "à donner au chat", avec sa tronçonneuse !

Qu'en pensez-vous ?

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La photo du jour :

J.M. l'artistreux : Tu ne trouves pas qu'il y a aussi trop de ventouses sur l'Aven ?

Tu n'aurais pas par hasard, un reste de peinture pour créer une zone bleue sur les vases du port ?

Ça aussi "ce serait du joli",

...comme le pensent aujourd'hui : tous les jours, les chrétiens qui t'ont bêtement élu !

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La leçon de la planchette en bois de peuplier

C'est nouveau à Pont-Aven, ça vient de sortir pour l'été.

Plus question donc de revenir indéfiniment sur "La leçon du Bois d'Amour"

C'est devenu trop ring'art.

Vive "La leçon du Port"

La conserv'atroce de service entendra-t-elle pour autant cette leçon ? : Rien de moins sûr.
Je vous le dis sans malice : Nous n'avons pas fini d'en baver avec ses capricieux délires en bois de chauffage des cerveaux.

--- LA LEÇON DU PORT ---

Gauguin, se promenant un jour avec J.M. le long du quai de la paroisse, interpella soudainement ce dernier de la classe : 

Jean-Marie : De quelle couleur vois-tu les vieux piquets de clôture du Square Borel jonchant la chaussée du quai ?

Réponse de Monsieur le Maire :

Ils sont rouillés

Gauguin :

Et bien peints les donc en bleu

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J.M. : De quelle couleur vois-tu les ronds dans l'eau qui se promènent sur le quai ?

Réponse de Monsieur LEBRET : 

Comme tout le monde, je les vois anthraCités.

Gauguin :

Pour que tout le monde puisse les admirer (plus tard dans tous les musées qui me seront consacrés ), peints les donc en vermillon.

J.M. répliquant à son tour :

Oui mais les amateurs d'art du coin seraient bien capables de découper ces galettes de Pont-Aven : une fois "désanthraCités",  pour les encadrer comme des chefs d'œuvre.

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J.M.:  Quelle est la couleur des plaques de mazout qui font d'étranges rectangles dans les eaux du port ?

Réponse du Minuscule Ministre de la Culture de la CC'ânerie :

Chut : personne ne doit le savoir, voyons.

Le coquin Gauguin :

Et bien mon vieil ami,  peints les donc en blanc. 

Ça donnera l'impression au soleil levant, que les eaux de l'Aven sont aussi pures ...
...  que les dents de laid de Notre Dame de la Sout'Âne.  

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A noter : Les artistes peintres municipaux viennent de retoucher minutieusement les bleus de leur Grand'Œuvre sur le port. (voir mes précédentes critiques sur le sujet)

Elle est maintenant presque aussi belle qu'une fine peinturlure du Hang'art.

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Des goûts et des couleurs ?

... ou plus exactement : Le dégoût de couleurs inappropriées ?

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J.M. : C'est quoi cette pâle palette de couleurs vives ?

Pourquoi que contrairement à tes bonnes habitudes ???, tu n'as pas demandé aux amateurs d'art de ta commune de donner leurs avis éclairés sur les couleurs des marquages de la nouvelle zone bleue que tu viens de leur imposer sur le PORT ?

Bleu blanc jaune : Ce ne sont même pas les couleurs du drapeau d'un pays participant au mondial de foot !

Tu ne vas tout de même pas me faire croire que tes ouailles n'y verront que du bleu ?

De surcroît, j'invite tous les pontavénounours à venir sur le port admirer de près la texture des bandes bleues.

C'est affreux, ça dégueule de partout.

Plus dégueulasse en matière de tartinage d'un site remarquable, ça n'existe plus nulle ailleurs.

Pour ne pas faire fuir les touristes, j'ai même dû retoucher exprès la photo du jour : C'est pour dire !

Moi au moins, je tiens à la réputation de la Cité des Peintres ???

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Le summum de la stupidité humaine

Plus immensément génial : mais tu meurs instantanément d'une crise de génialité.
Tu meurs ? : Oui, c'est ce qui arrive  étrangement depuis quelques semaines aux bons vivants choucas du coin !!!.

Les pauvres : ils tombent comme des grosses mouches ayant déjeuné dans le coin. 

Et pourtant, ces braves choucas à cacas ne sont pour rien dans l'organisation du plus grand merdier urbain au monde :

Celui que notre dingo breton :  Notre "J.M. à la circulation" (du cerveau bloquée), 

et son équipe d'écervelés, nous ont préparé pour l'été.

J'accorderais bien la médaille bleue pontavéniaise, à 18 carats, au passage piétons, vêtu d'un pull rayé d'un goût plus que douteux, qui relie les deux caniveaux-trottoirs qui ornent le bas de la rue du cimetière. (voir la photo du jour)

En effet :

Plus bête et plus inutile, ça n'existe nulle part ailleurs.
De surcroît :

La municipalité n'a pas sous la main pour l'instant de péripatéticienne de caniveau patentée.

"Même pas tentée de venir voir le musée ?" s'exclame choquée la CHARLiO'T

- Et puis : Durant la haute saison, qui va faire attention à cette connerie ?

les troupeaux de bœufs qui déboulent comme des enragés de la rue du cimetière peut-être ?

- Et hors saison : Pourquoi voulez-vous que les rares passants par là s'emmerdent à parcourir ce parcours d'anciens combattants battus en retraite.

Essayez de suivez pas à pas sans déborder ce chemin de croix, et vous comprendrez mes excès de langage du jour.   

Chers touristes : descendez donc à Pont-Aven découvrir la grande Cité  des Peintres  du summum de la stupidité humaine.

Vous comprendrez ainsi pourquoi nous les pontavéneuneux, sommes tous cons, et fiers de l'être.

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Oh ! le beau caniveau-trottoir

Le seul caniveau-trottoir au monde permettant aux touristes de relier le parking payant du cimetière, au plus grand musée payant .... pas de mine, dans le monde des plus grands ânes de l'univers.

Il fallait inventer l'expression : Pont-Aven l'a mise en pratique.

C'est ainsi que la Cité des anciens Moulins à blés est devenue le seul gouffre au monde où les chaussées sont faites pour les chiens, pour les piétons aussi, pour les autos aussi, pour les motos aussi, pour les vélos aussi, pour les gros cars également, et pour ??? : 

... les fauteuils roulants et autres personnes à mobilité réduite comme les petits enfants par exemple.

Et Alors : Où est le problème, autre que celui la disparition de nos oies blanches de ce trou devenu aussi noir qu'un chat noir la nuit ? 

Lisez la suite : 

La Charlotte demande à son J.M. :

Et mes talons hauts, je les mets où ?

Son CHARLOT lui répondant :

Tu les accroches en haut de tes bas.

La Charlotte cette fois très énervée, remettant une couche-culotte à son CHARLIE chéri :

Mais les jours où le soleil pleure, les toutous ne risquent-ils pas de prendre la tasse dans le caniveau du Café Noir de monde ?

Ce serait de la concurrence déloyale : Non ?

Son  CHARLOT : très Zenement cette fois, lui répondant :

Et alors ? :

A Pont-Aven, la pluie ne mouille que les godasses de cons.

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La première photo du jour :

La même photo que précédemment, mais reproduite aujourd'hui pour une raison ...
... que la raison ne saurait connaître.

- Evitez la seconde, pour ne pas déplaire aux bobos du coin.

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J.M. et sa CHARLiO'T sont en bagnole

Sa CHARLiO'T :

Ô ! mon amour, regarde comme le ciel est d'un beau bleu ce matin

J.M. :

Tu m'emmerdes avec ton bleu.

Tu sais bien que je ne supporte pas le bleu.
Tu vois bien que je suis en train de chercher une place de stationnement dans le coin.
Mais quel est le con qui a supprimer les parkings communaux de notre cher trou ?

Sa CHARLiO'T :

Mais c'est toi Monsieur le Maire.

J.M. :

Merde alors : Mais que je suis con, d'être aussi con, quand je fais le con !

Sa CHARLiO'T :

Et moi donc : Par ta faute, je ne peux même plus me regarder dans une glace ...
... pour admirer mes beaux yeux bleus.

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Les matinales du jour

La première étant proposée au Café du c@fé au poivre :

"Ci'té" de Pont-Aven : fuis donc ...
... avant que l'Histoire de Peintres ne bouffe le trognon de ton pognon !

Tonton J.M. : Pourquoi éternues-tu si fort en prenant ton café au lait sous le parapluie d'une terrasse aussi ombragée que ton cervelet ?

La seconde étant servie au Café du c@fé au gros sel :

"Et sel-ci " me répond en faisant semblant de plaisanter notre cher et coûteux plaisantin p'tit maire de rien du tout  :  

"T'es de Pont-Aven, toi qui causes si bien ?" 

Que puis-je lui répondre sans le vexer à mort ?

Non merci, j'ai assez donné.

La réplique de fin de nuit de la CHARLiO'T

"Tonton : Pourquoi tu n'éternues plus ? Le rhume de cerveau te va pourtant si bien quand tu ne fais rien de mal aux autres citoyens du coin !"

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La photo du jour :

Hier matin il y en avait encore six, ce matin il n'en reste plus que quatre.
Il y a deux mois, il en restait deux sur quatre juste à côté devant le Café du Centre,

et puis un jour de mai (fais ce qu'il te plaît) il n'en resta plus aucun.

"Et j'entends siffler le train" ... économique promis par Dame la Soutane à ses paroissiens.

Pontavénounours : Vous êtes sourds ou quoi : Vous  n'entendez pas le tocsin du train de la mort siffler sur vous lorsqu'il traverse le plus gros des plus profonds grandioses trous du cul de la Bretagne ?

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Des secrets de la CC'ânerie bien gardés ... ou presque !

Ces derniers jours, la Bretagne a connu deux gros déploiements de forces de l'ordre.

- Le premier pour un déplacement Présidentiel.

- Le second pour le retour d'une planchette en bois en peuplier de Pont-Aven qui s'était fixée du côté d'ORSAY depuis longtemps.

Je reconnais que de trimballer dans la nature, la toute dernière planche en bois existante au monde, d'un ancien peuplier de Pont-aven :

Du peuplier qui n'a plus de descendant aujourd'hui dans le coin !,

méritait bien un accompagnement aussi costaud qu'un déplacement de Président de la République.

N'est-ce pas J.M. la tronçonneuse ?

oui mais ... ???
"Oui mais quoi ?" me demande inquiète la CHARLiO'Tine.

Et bien, ... j'ose à peine le dire, le système de sécurité du musée de la CC'ânerie s'est mis en grève dès l'arrivée du dit "Tableau"

Et comme un malheur n'arrive jamais seul, la Direction de l'établissement était aux abonnés absents.

Notre planchette a donc dû passer une nuit épouvantable dans son pays d'origine (et peut-être les suivantes !) sans être encadrée par un service de protection ...

Même si elle est arrivée bien encadrée comme il faut pour ressembler à un tableau !

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Le BLOG-NOTES du moment (n°12)

Je continue ma tournée des potins du coin (sans jeu de mots !) en m'arrêtant un instant en 1943 sur une sombre histoire pesant 27 Millions de francs de l'époque ?

Où s'est caché ce trésor ?

Qui a volé l'orange où se cachaient ces millions ?

Durant un temps, un nom a circulé en sourdine dans les chaumières aux toits d'ardoises de ce Club Med des boches de 1939 à 1944.

Voilà que l'on en reparle aujourd'hui mais cette fois en catimini, l'accusation étant fondée sur des présomptions probables, mais pas certaines.

Et oui, il y a des gens qui se sont retrouvés bizarrement riches juste après la guerre !

Les premiers envers qui des accusations furent portées à tort* seront les braves et héroïques membres de l'équipage des "DEUX ANGE" (sans s)

A ce sujet, je vous laisse lire le vieil article de presse du jour.

* Ils furent finalement lavés de tout soupçon.

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Cela dit : Où sont cachés les authentiques et naturels secrets de Pont-Aven ?

De temps en temps je rappelle ici ou ailleurs que les secrets de l'attirante beauté de Pont-Aven sont cachés dans sa rivière.

Des secrets, qu'autrefois par exemple, des artistes se faisaient un malin plaisir de découvrir. 

------------------------------------------------------------------------------------------------------------Des trésors hélas bien cachés aujourd'hui sous les immondices de toutes sortes d'odeurs comme de  couleurs, produites dans ce trou béant.

Des horreurs que l'on essaye de cacher par des petites fleurs de jardineries ... très appréciées d'ailleurs par les téléphones portables et autres gadgets des toutous.

--- CONCLUSION ----------------------------------------------------------------------------------

Et oui : Nos vrais trésors patrimoniaux sont cachés dans le creux du vallon de l'Aven, et croyez- moi, cet héritage commun vaut des millions de fois plus que des pièces brillantes ...
... parfois trébuchantes.

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