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L'actualité pontavéniaise de la semaine passé

Publié le par chercheur d'histoires

 

L'actualité pontavéniaise de la semaine passé

La plus importante information de la semaine est tombée 

mercredi dernier.
La presse nous annonçait que
la secte du christ jaune, dite " Les Amis du défunt Musée pontavenin ", 
venait de signer une convention avec la direction culturelle de la CCA.

Pour traduire cette annonce dans la réalité du moment, je dirai qu'ils ont ratifié "un contrat d'obsèques" post-mortem, de notre cher disparu petit musée pontavenin.

Pour ces bougres, tout baigne donc dans l'huile ... ou plutôt : dans la pommade sacrée de l'extrème onction.

En vertu de cet acte, les membres de cette espèce de secte bénéfieront de l'accès permanent et gratuit aux établissements de culte touristique, du  muséum CCannesqueux.

Ce qui signifie, lorsque l'on sait lire entre les lignes, que les pontavénounours de base ne bénéficieront plus de ce privilège ancestral. 

 

Tout baigne aussi ... dans le ruisseau du Penanroz à Pont-Aven.

Même les truites : le ventre à l'air, victimes cette semaine d'une mortelle pollution.

A suivre ...

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Bonjour Clarence

Publié le par chercheur d'histoires

Bonjour Clarence,

J'ai reçu cette semaine coup sur coup sur ce blog, deux commentaires de Clarence.

- Le premier ayant un rapport avec la liste des saubriquets pontavénins que j'avais publiée ici il y a des lustres.

- Le second se rapportant à l'un de mes derniers articles concernant   " la Rue Vieille du Quai "

 

Clarence, ou plutôt Francis LE GARREC, est un vrai pontavénin "bien de chez nous", ayant quitté le bled il y a bien longtemps, et qui soudainement reprend contact avec nous. C'est rare et çà fait plaisir.

Je me permets donc  de rediffuser ces commentaires :

LE GARREC :

Bjr Chercheur........ Clarence, c'est moi ! Francis Le Garrec, 1m72, 85kg.... éducateur/formateur/master 2 en sciences de l'éducation, fils de Guillaume le Garrec dit "Pow moeln", marin, et de Marie Magdeleine Pennanguer, lavandière... Blond à cheveux longs depuis les années 70... surnom que je n'ai jamais accepté, donné par quelques libres penseurs de Pont Aven... par référence au film Daktari et le lion Clarence à la grande crinière et au regard "louche"...

+ + +

 

J'ai déjà adressé un commentaire sur ce blog... Bjr, Chercheur d'histoires... peut-être nous connaissons-nous ??? Je suis né dans la rue des meunières, au numéro 14... qui était alors un. Hotel-restaurant tenu par Mme veuve Scavennec.... J'y ai vécu pendant 20 ans avec mon père et ma mère.... Je partage votre avis sur l'importance "patrimoniale" de cette rue, de ce quartier.... J'ai le souvenir des marchés aux cochons qui se déroulaient sur cette place désormais appelée Place Royale... de la place aux cochons à la place royale, une continuité... Aujourd'hui, le restaurant "Les cheminées d'Antan" a réalisé l'effacement de ce haut lieu de la grivoiserie locale dont bien peu de Pont Avenistes connaissent l'histoire.... l'importance de l'histoire... j'y ai souvent croisé d'honorables "penseurs locaux"... moi, le marginal surnommé Clarence...., le hippie, le beatnick... A bientôt, chercheur !!

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Je termine par un petit mot que j'adresse amicalement à l'auteur de ces commentaires :

Francis, nous nous connaissons.

Ma grand mère, la crêpière Jeanne BERTHELOM, tenait  "Le Café des Moulins " situé à deux pas de Pigalle.

(Je possède une photo de cette brave dame en costume breton, je pourrais éventuellement la diffuser sur ce blog si quelqu'un le demandait)

Signé :  Gérard BERTHELOM (de la Gare)

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Le malicieux retors (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Le malicieux retors (fin)

La photographie pourrait-elle un jour en Bretagne rejoindre officiellement le royaume de l'Estampe ???

Revenons un instant sur l'histoire mal connue de la photographie.

 En 1816, Nicephore Niepce prend connaissance du principe de la lithographie introduite en France en 1810. Piètre dessinateur, il dû reconnaître que cette invention ne lui était pas destinée. Il eut alors l'idée de rechercher un moyen de fixer de façon permanente l'image de la chambre obscure en utilisant les propriétés connues de noircissement des sels métalliques lorsque exposés à la lumière.

Il fut ainsi le premier à avoir l'idée de la photographie.

Il souhaitait obtenir une image stable sur la pierre lithographique.

Dans les faits, les travaux qu'il entreprit dans cette direction le mena  vers un type de gravure à l'eau-forte, fondé sur le principe de la photographie, qu'il appellera " héliographie "

La photographie déclinée en gravure existe donc avant même la naissance officielle de la photographie, c'est-à-dire le 19 août1839 : jour où le procédé mis au point par Daguerre fut divulgué.

 

Par la suite, de nombreuses inventions de procédés de gravures dérivés de la photographie verront le jour :
La photogravure, la photoglyptie, la phototypie, l'Albertypie, la photolithographie, la photo-mécanique, la photographie en couleur etc.

Toute la panoplie des procédés sera exploitée : gravure en creux, en relief ou à plat comme la photolithographie.

Je citerai également l'épreuve à la gomme bichromatée : un procédé dit par dépouillement, inventée dans les années 1850, et remise au goût du jour par les pictorialistes des années 1890-1910.

Il n'a manqué durant ce siècle "photogénique" que le pixel - sur papier salé ! -,

 mais le PIXEL, Mimiche n'en a pas voulu comme nous l'a rappelé le narateur.

 

CONCLUSIONS :

"L'estampe photographique "

Une association de mots saugrenue me direz-vous :

Oh que NON.

Des chefs-d'œuvre de ce type égrainent l'histoire de la photographie. Encore faut-il savoir les dénicher.

 

Je reconnais que dans un moment d'égarement, j'ai oublié quelques instants que j'étais à Pont-Aven, coincé entre quelques vieux membres éminents de la secte du christ jaune.


Le saviez-vous ? le jaune : insensible aux sels d'argent, n'est pas une couleur photogénique.

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Le malicieux retors (3/4)

Publié le par chercheur d'histoires

Le malicieux retors (3/4)

Cette conférence s'est déroulée dans une petite salle où est actuellement proposée une EXPO-VENTE de gravures.

Je trouvais donc opportun d'en profiter pour poser une question pertinente pour quiquonque aborde la photographie comme un art.

Quelle différence y a-t-il entre une gravure et une Estampe ?

Entendez le mot Estampe dans sa définition moderne, c'est-à-dire, l'œuvre d'un Artiste qui y met son âme, comme il est dit dans les vrais Salons d'Estampes.

Je prends un exemple : celles issues du groupe de Pont-Aven ayant séjourné chez Gloanec (nous y étions).

A l'inverse, dans ce contexte, le mot "gravure" étant réservé à l'interprétation et la reproduction multiple d'œuvres de toutes natures.

 

Cette question fut posée à ma demande par la tenancière de l'établissement. Aussitôt un froid envahi brusquement la salle particulièrement chaude dans l'atmosphère orageuse de cet après-midi là.

En abordant cette question que seuls les sots peuvent trouver idiote,  je voulais mener notre cher conservateur sur une pente glissante.

La photographie pourrait-elle un jour : dans les têtes de caboches bretonnes, rejoindre officiellement le royaume de l'Estampe ???

 

A suivre demain

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Un malicieux retors (2/4)

Publié le par chercheur d'histoires

Un malicieux retors (2/4)

Le conférencier a insisté sur les savoir-faire dans le domaine du noir et blanc de son poulain, mais également sur ses échecs dans celui de la couleur.

Une grosse patate* n'ayant rien compris à ces propos, demanda alors si "les peintres du hangar't avaient peint(urluré) des photos de l'artiste "

* Comme vous le savez : la patate noircie à la lumière ... des propos de Le Bihan.

Manifestement, cette pertinente question : essentielle pour le débat, brûlait déjà sur toutes les lèvres de l'assemblée.

La réponse fut positive et un ouf ! de soulagement traversa la salle.

Chouette : tel le boureau, les artistes du hangar't ont achevé l'œuvre de Miclou.

J'ai au moins appris quelque chose de nouveau ce jour là.

 

THERSI, en tirant : non pas seulement des nanas au kilomètre comme nous l'a rappelé le conférencier, mais dans sa ténébreuse période pontavéneuse, tiré lui-même ses positifs, il "opéra-comique" pour le futur. 

La peinture du hangar't en fera le premier acte.

Dommage pour les nizonar'ts et heureusement pour lui : Gauguin n'a point pratiqué la photographie.

 

Je m'attendais à ce que notre farceur bien aimé nous révèle que l'on doit à Mimiche la fameuse phrase (d'André DISDERI)

" Attention, le petit oiseau va sortir "

Pour tout dire, j'ai vu parfois son petit oiseau chéri des femmes, sortir de sa braguette pour se tremper dans une coupe de champagne que sirotait une bonne bourgeoise attablée chez Zicou.

"Excusez-moi Madame, je vais au shogun*, et j'ai oublié de la laver"

Cette dernière phrase ... et ce qui va avec, sont par contre de lui. 

* Célèbre discothèque du coin
 
A suivre demain
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Le malicieux retors (1/4)

Publié le par chercheur d'histoires

Le malicieux retors (1/4)

Le 17 août dernier, j'ai assisté "à la causerie" menée par René Le Bihan à la Maison de la Presse.

Le moins que je puisse dire est que cet ancien Conservateur du Musée de Brest en retraite, a conservé toute sa verve d'antan.

La dérision, l'ironie et la malice étaient au rendez-vous. Un vrai régal.

Il portait pour la circonstance la casquette du retors ancestral pontavénain.

Un phénoménal conférencier ayant le don de subjuguer les esprits comme lui, il n'y en a pas d'autres dans la sphère muséale à la Française.

Il y a en lui de beaux restes de ses fréquentations des anciens bistrots pontavénins. je parle de l'époque où il était prof. d'Histoire au collège de Concarneau.

J'ai hésité avant de me rendre à cette causerie. Je craignais me retrouver cerné comme un animal traqué par la puante clique de la secte du christ jaune.

Finalement ils n'étaient pas nombreux; quoique suffisant pour me mettre mal à l'aise.

 

Savez vous que ce gall'art avait : il y a longtemps de cela, proposé une conférence qui eut lieu dans un amphithéâtre de la FAC de Brest, et concernant  un célèbre personnage qui sortait tout droit de son imagination.

Du théâtre il y en eu, le public n'y ayant vu que du feu.

Il vient d'une certaine façon de renouveler cette performance artistico-acrobatique à Pont-Aven.

Ce Maître des Cérémonies nous a présenté à sa manière, un époustouflant éloge de l'œuvre photographique de Michel Thersiquel.

 

A suivre demain

 

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Les fêtards de Pont-Aven (suite)

Publié le par chercheur d'histoires

Les fêtards de Pont-Aven (suite)

Article de presse :

"Pont-Aven"  

On nous apprend que le carnaval a été ingénieusement fêté à Pont-Aven.

MM. DAVID, COADOU et LE MESTRIC avaient organisé avec le concours de plusieurs amis une petite cavalcade au profit des pauvres.

M. DAVID, dont on connaît le talent de prestidigitateur, y figurait en personnage de charlatan.

On s'est beaucoup amusé, paraît-il, de ce divertissement pittoresque. Mais il y a mieux : une distribution de 30 pains a été faite aux malheureux sur la place publique.

M. DAVID a donné en outre deux séances de prestidigitation dans son magasin, transformé en salle de théâtre. Un public nombreux pour ce local, s'y est rendu. Là encore M. DAVID a distribué 57 pains.
A la bonne heure ! voilà qui s'appelle se récréer honnêtement.

Puisse l'exemple de M. DAVID et de ses collaborateurs donner à d'autres l'idée d'organiser de temps en temps de telles fêtes intimes, où l'on se divertit en faisant le bien.

"L'Union Agricole" (de Quimperlé)

édition du 06/03/1887

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Que puis-je en déduire.

Les charlatans sont toujours là, les pauvres aussi. 

Ils se sont même : comme par magie, multipliés comme des petits pains.

Serait-ce de la faute du meunier DAVID ? Ce prestigiditateur qui aurait roulé tout le monde dans la farine.

Qu'est-il arrivé à cette bourgade aujourd'hui désertée et ruinée, autrefois si vivace et d'une certaine façon : pas tout à fait comme les autres ?

Comment redresser la barre (de la Belle Angèle) ?

A mon humble avis d'idiot de village, il faudrait avant tout donner un nouveau souffle à la commune, en greffant de la cervelle fraîche dans les têtes des élustucrus et des animateurs du coin.

+ + +

J'allais oublier l'essentiel de cet article :

Hier se déroulait la Grande Fête de la vieill'art Belle Angèle.

C'est le signe que l'hivers approche : un hivers qui sera aussi show que cette fête à ne pas en douter.

Pour une fois, je n'ai rien à rajouter sur cette angélique pétarade.

Les curieux trouveront pour plus de détails, les prévisions météorologiques, le compte rendu de cette fête, et : cerise sur le biscuit sec du marin, les avis mortuaires dans leurs prochains journaux.

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Les fêtards de Pont-Aven

Publié le par chercheur d'histoires

Les fêtards de Pont-Aven

Vous connaissez l'expression :

 

"Fêtes : ce que j'en dis, et non pas ce que les journaux en font"

(J'ai adapté cette expression à la situation locale afin de bien la coller sur le fronton de Pont-Aven)

 

Il y a presque un an, des fêtar'ts  attardés avaient organisé la (dé)fête du siècle. 

"La fête des volets clos de l'ancien Hôtel Julia"

Ils la prétendaient "festive "

La presse exauça leur vœu comme il se doit, mais elle fut bien la seule. 

Ces batar'ts prétendaient sans doute rivaliser avec celle que Botrel organisa en 1905.

 

-  En 2011,

    elle fut festive ... 

... comme un repas d'enterrement, ...

... avec un gros héritage à la clé : ...

... nos impôts.

 

- Aurait-elle pu être festive comme promis à coups de PUB ? 

  Elle aurait pu l'être assurément. Une animation muséale dirigée par des clowns, ça promettait grave, non ?

Il n'en fut rien.

 

Ce qui est sûr est que les pontavénounours ne sont plus à la fête depuis qu'un projet de nouveau musée, planté en excroissance au centre de la minuscule ville, est sur les rails de ladite croissance économique du pays.

 

La seule solution pour nous les pontavénains pour ne pas péter les plombages de nos dentiers, est de nous réfugier dans le passé glorieux de Pont-Aven.

je propose donc aux bigleux du coin de poser leur nez sur une très vieille coupure de presse.

Pont-Aven ...

 

La fin demain matin 

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Un beau nom, bien de chez nous, ça change tout

Publié le par chercheur d'histoires

Un beau nom, bien de chez nous, ça change tout

Si la rue du port : c'est du grillé pour l'image de la ville (voir l'article précédent), je vous apporte aujourd'hui une lueur d'espoir pour l'avenir centre historique de la ville. 

Un nom, un beau nom bien de chez nous, et ça pourrait tout changer.

Je pense en cela à la tristounette rue des Meunières :

Une ruelle parallèle à celle des cacas-boudins et qui mène elle aussi au port en traversant l'ancienne Place aux Cochons ... devenue Place Royale.

Cheminer le long de ses façades du XVIIe ou XVIIIe siècles; remonter les venelles adjacentes du Bel Air ou de Rosambidou,  c'est rêver et revivre un instant, dans l'histoire joyeuse et heureuse de l'ancienne cité des moulins.

Depuis quelques mois, des frémissements de renouveau sont palpables ici ou là le long de cette vieille rue apaisante et bien conservée pour son âge.

Je l'ai connu autrefois avant qu'elle ne fût bêtement rebaptisée.

 

"Rue Vieille du Quai" de son vrai nom, ça sonne mieux le charme du pays non ?

Les anciens avaient de la poésie dans la tête, dans les idées, l'écriture et le cœur.

C'est royalement nul d'avoir substitué ce nom par du meuh ! meuh ! ... nian nian.

C'est con aussi d'avoir fait de même de la "Place aux Cochons" devenue aujourd'hui : "Place Royale"

Cet ensemble remarquable par son architecture et son potentiel émotionnel ne demande qu'à se revitaliser, ne serait-ce que pour jurer face à la décomposition des autres rues de la ville ancienne.

Il appartiendrait à la municipalité d'insuffler ce renouveau.

- Pour cela elle devrait penser avant tout au bonheur des habitants et à l'intérêt général de ce bourg en perdition rongé par la spéculation touristique.

- Mais pour cela, il faudrait aussi que la population se dote d'une municipalité de caractère ... 

... un caractère aussi fort que cette ruelle.

 

En 2113, nous en reparlerons peut-être.

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Ne pas confondre

Publié le par chercheur d'histoires

Ne pas confondre

L'écume de mer

et

Les écumes des merdes de l'Aven ...

... piégées dans les grilles d'un moulin de la rue du Port ...

... de la Cité du bon goût. (voir la photo jointe)

Ne pas les confondre SVP : l'une pipe (de tabac), les autres piquent les yeux.

 

"Vive Pont-Aven, et sa grassouillette rivière"

 

Il y a bien des moyens pour éviter les yeux rouges, mais personne n'y songe dans ce trou qui en voit de toutes les couleurs.  

 

- Je serais maire de la ville, je ferais poser sur ces grilles : à l'attention de ces nauséabondes écumes, des panneaux fléchés stipulant :

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" Station d'épuration à 800 mètres "

" Suivre SVP le flot des touristes du mardi "

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D'ailleurs, il faut dire à ceux qui ne connaissent pas le coin, que depuis sa "re-création" soudaine, cette rue n'est plus à proprement parlé, la rue de Port, mais celle des cacas-boudins ... de gorets.

Je grogne comme un cochon, mais n'ai-je pas raison ?

 

Pour éradiquer ces écumes de merdes qui emmerdent des gens de bon goût comme moi, il existe une excellente solution.

Les généreux commerçants de cette rue pourraient offrir gracieusement aux gens de passge, un paquet d'écume grasse de barate :

 "trop made in Pont-Aven"

Ces " passant-par-là" seraient au moins assurés de l'origine locale du produit.

Et puis, un paquet de plus ou de moins de même nature sous le bras, je suis persuadé que cela ne se remarquerait pas plus que ça.

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Ne pas confondre
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