De la chianlit médiatique (suite)
De la chianlit médiatique (suite)
Cette affaire d'exposition sent le marchand de tableaux de bas niveau ayant réussi à fourguer sa camelote à la conserv'atroce, afin d'essayer de prendre de la hauteur dans le Milieu.
Le coup est classique, même s'il n'est pas très Classe !
- - - Suite et fin - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Conclusions :
Je remarque que depuis l'ouverture du plus Grand musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven, nous n'avons toujours pas la moindre annonce d'un exposition consacrée aux Chefs d'Œuvre que détient ce musée ... !!!
Pour l'instant, les enfants en bas âge, et les vieill'arts de la communauté de communes n'ont pu admirer et apprécier que des copies grandeur nature imprimées en Haute définition sur papier glacé de ces précieux trésors.
C'était pourtant, selon les initiateurs de cet établissement touristique, "la raison d'être" du projet de cette verrue-sangsue.
- Une verrue architecturale pour nos yeux.
- Une sangsue de la sève culturelle du pays, et une pompe aspirante pour les fonds publics de la commune.
M le Mini-ministre de la Culture de la CC'ânerie : Pourquoi nous cacher les pépites découvertes par la conserv'atroce dans les plac'arts de l'ancien hôtel de Ville ?
Un doute m'habite : y aurait-il un problème inavouable caché sous les tapis artistiques de la Salle Julia du musée ?
Cela dit, comme vous pouvez le remarquer ici depuis 8 ans, j'adore poser des questions embarrassantes qui ne reçoivent jamais de réponse.
A la question que je viens de poser à M le Mini-ministre de la Culture, deux possibilités peuvent être envisagées :
- La plus probable : il ne me répond pas.
- La moins que rien : "J'en ai rien à branler"
(J'ai eu vent que la seconde devenait une habitude à Pont-Aven)
A suivre demain
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