C'est la guerre (acte 10)

C'est bon pour la publication de la photo : Y'a pas de jaune

C'est la guerre (acte 10)

"Décision prise par M Le Maire par délégation du conseil municipal"

"Plainte déposée au nom de la commune par M Le Maire de Pont-Aven à l'encontre d'une personne pour "prise de photos" d'agents communaux sans leur consentement"

Oh ! putain : Serait-ce un coup monté par Proutine ou son copain Prout'Donald contre le Pays de naissance des Droits des Personnes invalides, et de la création de la Démocratie Participative en vigueur dans notre République Pontavéniaise ? 

"Tu ne serais pas Pluto visé ?" me dit la CHARLiO'T 

Ma réponse :

Je n'en sais rien : Comment veux-tu que je puisse distinguer nos braves chevaliers du fiel avec les toutous qui mitraillent avec leur Canon jaune ou autre chambre noire, tout ce qui bouge. 

Réponse de la CHARLiOT :

"Et bien justement. Fais attention STP à ce qui ne bouge pas ... !

Et puis, si tu ne le sais pas : je t'informe que les employés municipaux de rue portent normalement des gilets jaunes !"

Ma réponse :

Comment veux-tu que je puisse distinguer des gilets jaunes avec les cirés jaunes des toutous ?

Ces cirés jaunes qui aujourd'hui paralysent le centre historique de la Cité des anciens Peintres de talent durant tout l'été.

Autrefois tête d'œuf, avant l'arrivé de Gauguin, saches que les jaunes étaient principalement utilisés dans la Cité des Moulins que pour fabriquer le célèbre bon gâteau breton du coin. 

Et mon Canon de me répondre :

Arrêtez de vous engueuler comme ça sur la Place Publique.

Je n'ai : Paroles du Blog du chercheur d'histoires, jamais photographié de communaux sans leurs accords au minimum tacites !

J'ai de bons copains parmi les communaux que je respecte et que : moi et mon appareil de photos, saluent amicalement à chaque fois que nous les croisons.

Serait-ce le cas de tous les élustucrus ? 

Conclusions :

Ne serons-nous pas "en train" de revivre sous le règne de Napoléon III ?

A cette époque, ça ne rigolait pas : Il était strictement interdit aux photographes d'exercer leur Art ou leurs savoir-faire sur les voies et dans les Espaces Publics sans un autorisation administrative en poche.

De surcroît il était interdit de se déplacer sur le territoire du pays sans le fameux "passeport intérieur" avec qui vous deviez vous présenter en marie afin d'être inscrit sur le registre des passeports intérieurs à chaque fois que vous vouliez séjourner dans un bled.

"N'y aurait-il pas quelqu'un dans le coin qui se prendrait aujourd'hui pour quelque chose comme un Napoléon IV ?"

se demande très inquiète la CHARLiO'T

Conclusion :

J'en connais qui ont le "sens interdit" dans le cerveau.

J'en connais d'autres : en voix d'extinction dans le coin, qui ont le sens de l'humour. 

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