Jamais Sept sans Huit (suite)

Dans les années 1870, l'on dansait sur la Grand Place lors des mariages

Jamais Sept sans Huit (suite)

Serait-ce grave docteur  ?

Pour la personne qui en fait les frais : OUI 

Je veux parler d'une jeune femme avec deux enfants habitant actuellement sur cette place.

Une personne venant de tomber brusquement gravement malade au point de se retrouver en état de mobilité réduite pour une longue période. Une situation dramatique qui exigerait qu'elle puisse stationner durant au moins quelques semaines son véhicule sur la place en attendant qu'elle régularise sa situation.

Et bien non : Cela lui a été lamentablement refusé par les autorités locales.

Une honte lorsque l'on observe tous les passes-droits qui pleuvent sur quelques nantis de la commune.

Une honte lorsque l'on observe les "mal foutus" du coin se déplacer très péniblement en ce lieu devenu maudit pour eux.   

Une commune manquant de plus en plus d'HUMANITE au fur et à mesure de sa massification touristique.

La conclusion du jour :

En 2014, ici même je critiquais un couple de "commerçant-artisan" installé dans ce centre depuis quarante ans.

Depuis quarante ans osant stationner en permanence leurs deux véhicules sur cette place au prétexte que les emplacements qu'ils occupaient leur appartenaient.

Bizarrement, cette soit-disante propriété privée s'est volatilisée après leur mise en retraite ! 

Ce que je dénonçais n'était donc autre qu'un énorme passe-droit !

Un passe-droit, exactement là où cette dame souhaiterait aujourd'hui stationner son véhicule durant quelques semaines.

La vieillotte  photo du jour :

Dans les années 1870, l'on dansait sur la Grand Place  de notre Petite Cité de Caractère lors des mariages.

Aujourd'hui, ce serait presque considéré comme un crime !

Suite et fin demain

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