Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°4)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce jointe n° 6 mentionnée précédemment

Pièce jointe n° 6 mentionnée précédemment

Pièce jojnte n° 1 bis

Pièce jojnte n° 1 bis

Pièce jointe n° 2 bis

Pièce jointe n° 2 bis

pièce jointe n° 3

pièce jointe n° 3

pièce jointe n° 4

pièce jointe n° 4

Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°4)

Page n° 4 de sa complainte

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Sachant de surcroît que les contenus des quatre dossiers des permis de construire demandés étant tellement embrouillés que nous sommes contraint de nous attarder longuement et mettre en perspective des détails paraissant anodins mais en réalité capitaux pour comprendre la réalité des manœuvres frauduleuses et préméditées commises par les époux Frapié.

Analysons attentivement les dossiers des deux permis de construire autorisés :

- Observons finement la coupe longitudinale du projet annexée dans le premier permis de construire, et surtout les cotes des niveaux des planchers du futur bâtiment. (Voir notre pièce jointe n°1)

C’est-à-dire le projet de construction en altimétrie dans sa version originale.

Nous observons deux lignes transversales de gauche à droite sur le plan.

- L’une dessinée en vert présentant le profil du terrain naturel établi sur les indications d’un plan dressé par un confrère.

- L’autre de couleur noire, tracée en tiretés, (petits traits espacés) définissant en particulier l’altimétrie du plancher du rez-de-chaussée de la maison autorisée par rapport au terrain naturel.(Cote 29,13)

Le Géomètre Expert que nous sommes va dans sa démonstration logique, tirer un trait horizontal sur le plan à partir de ce niveau du rez-de-chaussée jusqu’à la toiture de la maison de Madame JEANEAU afin de bien définir concrètement un repère fixe dans l’environnement du projet. (Point A sur le plan) Ce point se situant un peu en dessous de la moitié de la hauteur de la toiture de Madame JEANEAU. (Voir notre pièce jointe n°1 bis)

- Observons maintenant la coupe longitudinale supposée identique produite dans le permis de construire « modificatif » M01, sur laquelle est positionnée la piscine. 

(Voir notre pièce jointe n° 2 bis)

Nous observons en opérant de la même façon que la projection horizontale du rez-de-chaussée de la construction Frapié vient presque frapper le faîtage de la toiture de la maison de Madame JEANEAU :Soit environ 2 mètres verticaux plus haut (Point B sur le plan)

Comme par hasard (qui n’en est pas un), du côté de la rue haute, l’extrémité de la ligne représentant ce niveau, a été sans raison apparente gommée sur ce plan.

Seule la ligne représentant le terrain naturel reste intacte sur ce plan.

- Observons enfin sur le plan le plus litigieux des 14 plans joints à la demande de permis de construire modificatif , celui qui présente la coupe de l’ensemble des constructions réalisées.

Le principal élément qui change radicalement sur ce plan est qu’au niveau de la rue haute, le niveau du terrain naturel vient étrangement coïncider avec celui du rez-de-chaussée du bâtiment ( le garage)
Ce qui signifie que le bâtiment construit à été édifié : non pas conformément à la demande accordée,
mais à un niveau bien supérieur.

(Voir notre pièce jointe n°3)

Il est curieux et interpelant de constater en outre que sur ces deux derniers plans les cotes de

niveau des planchers du bâtiment ont elles aussi disparues !

Ni vu ni pris !

- N’ayant pas accès à la propriété des Frappé nous avons pris une photographie depuis le bas de la rue au seul endroit où il est possible de photographier à la fois le niveau extérieur du rez de chaussée de la construction Frapié (sa terrasse extérieure) et la toiture de la maison de madame JEANEAU. Si cette opération apporte des résultats moins rigoureux que des mesures prises sur place, elle permet toutefois de constater - ou du moins présumer grosso modo - que le prolongement horizontal du rez-de-chaussée de la maison Frapié sur la toiture de celle de Madame JEANEAU passe légèrement au-dessus de la cheminée de cette dernière. Une constatation à vérifier plus précisément sur place si besoin en était. (Voir notre pièce jointe n°4)

Dans ce cas (ce qui représente visuellement sur la photographie tout de même près d’un mètre de hauteur) il serait probable que pour ce faire, des marches aient été créées à l’intérieur du bâtiment Frapié.

Toutefois et malgré cette imprécision, il est indéniable que les Frapié ont décidé de surélever de façon significative illégalement et de façon préméditée, leur maison d’un étage, ce qui leur permet de bénéficier d’une vue plus étendue sur le port de Pont-Aven par dessus la toiture de la maison de Madame JEANEAU.

Il faut aussi retenir que le PLU de Pont-Aven n’autorisait à l’époque des demandes des deux permis de construire, d’édifier dans ce secteur que des maisons comportant au maximum deux niveaux. Donc pas de vue étendue sur le port possible depuis le rez-de-chaussée de la maison autorisée.

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A suivre

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