Les ragots de l'été pontavénizoneuneus
Les ragots de l'été pontavénizoneuneus
Il s'entend dans les caniveaux des trottoirs de la commune que monsieur le maire cartonne.
"Mais de quelle manière ? " s'exclament les bordures de ces trottoirs.
En envoyant des cartons de remontrances à tous ceux qui ne respectent pas le cahier des charges en vigueur depuis 15 jours dans notre devenue ... Petite ... Cité ... sans caractère.
Y aurait-il quelqu'un qui serait devenu caractériel depuis ?
C'est possible : Je vous avais signalé dernièrement le cas d'une de ses victimes : Celui de Jean-Jacques COLIN, l'une des premières victimes de cette nouvelle vague d'interdictions, mais depuis, c'est une pluie de cartonnages acides qui est tombée sur notre ville devenue interdite aux soi-disants : irrespectueux des lois du Ta-Lion du coin.
Sans arrêt, les arrêtés d'interdictions de toutes les sortes de genres sont devenus la règle pour tous : ...
... sauf étrangement pour les amis de Monsieur le Maître d'Hôtel de Ville.
La preuve en image du jour
"Quoi ! monsieur le maire n'a pas interdit de poser cette horreur ?" se demandent les glands des Glands Chênes de Nizon.
Mais si répond monsieur le maire : Désormais il sera interdit d'interdire à mes amis du hi han'gart
de barbouiller les façades des bâtiments du Nizon à leur gré, même dans le périmètre de protection de trois Monuments Historiques.
Ah ! c'est du joli s'exclament les cloches de l'église de Nizon.
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