Un doute m'habite

Publié le par chercheur d'histoires

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Un doute m'habite

Il faudrait que je pense à repasser mon permis de conduire ...

... pour comprendre toutes les subtilités du code de la route applicable sur la Place Julia de Pont-Aven.

Un doute m'habite :

 - Si je gare ma voiture sur un emplacement réservé aux deux roues, je risque de retrouver un papillon collé sur son pare-brise : on est bien d'accord.

- Mais si une moto se gare sur l'emplacement réservé à ma voiture, en sera-t-il de même M le garde champêtre ?

La CHARLiO'T : qui roule pour notre Démocratie à fond la caisse, a l'impression que NON.

 Elle se demande d'ailleurs ce que vient faire le papillon sur cette Place de l'Hôtel de Ville

... devenue totalement illisible pour tous, depuis le 1er avril dernier.

Ce papillon ?  ... comme des floppées d'autres par semaine, depuis trois mois !

Des papillons sur une Place réservée aux coléoptères en vacances où dorénavant ...

...  un mot'art ne retrouverait plus (l'emplacement de) sa bécane !

Conclusions :

J.M. : le temps est venu pour que tu prennes la plus grande décision de ta vie. Celle qui s'impose dans l'intérêt général de ta paroisse et de ses citoyens.
Exiger que la SAFI (maître d'œuvre des ouvrages réalisés sur la Place) et que le Grand Architecte-Urbaniste (le con-cepteur de ces ouvrages) commencent à nous rembourser les 2 Millions d'euros qu'ils ont empochés pour le service rendu à la Cité des anciens peintres de talent.

(2 millions selon ce que la presse nous a rapporté : à vérifier tout de même, c'est tellement gros !)

On sait qu'à Pont-Aven, toutes les opérations immobilières menées par les municipalités successives depuis Rivet ont lamentablement foiré.
Mais celle du musée, et de ses à-cotés, est la plus grandiose de toutes.

Aussi énorme que la démesure du musée construit.

Et puis vous dit le chercheur d'Histoires du coin : Avec le 1% culturel récupéré sur ces deux millions, la commune pourrait très utilement mettre hors de danger les fabuleuses ruines du manoir de Rustéphan. 

Et v'lan ... : sauf qu'il n'est pas question pour moi de passer l'éponge.   
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