Nous avons de la chance ...
Extrait du dernier Ah! BIM (Bulletin de désInformations Municipales)
Nous avons de la chance ...
Il me semble que le dernier Bulletin de désInformations Municipales : que je n'ai pas fini de commenter ici comme vous le remarquez, s'adressait à la population locale et non aux touristes de passage éclair.
Extraits de ce moqueur BIM Bang superso'niqueur :
"Oui ... encore du nouveau à Pont-Aven. nous avons de la chance" ...
... "De la chance nous les pontavénounours ... d'avoir de l'Aven de vivre dans la joie et le bonheur sans doute !" précise en outre l'écorchée vive CHARLiO'T
"... depuis quelque temps nous avons la chance d'avoir dans notre cité de nouveaux petits commerces qui se sont ouverts"
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Vous remarquerez que ces deux petites phases sont des copier-coller de la prose de dame la soutane, lorsque dans l'un des BIM publiés durant son règne,
... elle se vantait "se ventait la soutane" du renouveau commercial du centre du trou de peinturlure, après l'ouverture simultanée de deux petites épiceries de proximité.
Un certain chercheur d'histoires s'était d'ailleurs ici moqué de cette damnée dame aujourd'hui défroquée, en souhaitant tout de même pour rester l'optimiste le plus simplet de la commune : "bon courage aux nouveaux venus" ...
... des nouveaux venus ... tout autant de passage éclair que les toutous des sales Temps Modernes !!!
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"Il suffit pour les découvrir, de se balader dans nos rues ensoleillées"
Vous avez lu ça, les gras et les filles de mon âge ?
L'interrogation est destinée à tous les "bang'lieusardés" de la commune,
... expulsés du centre du bourg comme des pestiférés galeux par la précédente municipalité,
... afin de mieux en mieux y entasser des caravanes de toutous désœuvrés ...
... Des caravanes tirées par des chevaux de trait, bien entendu.
Je parle de toutes ces victimes de l'ensoleillée dégauguinite aiguë qui : lorsque je les ai rencontrées pour préparer l'expo de la Gare, m'ont affirmé "qu'elles ne descendaient presque plus en ville, sachant qu'elles en revenaient profondément écœurées, dégoûtées, ou même cafardeuses"
Je vous jure que pas une seule ne m'a sorti un morceau d'anthologie de mauvais augure du type "municipaliste pontavéniais" :
"Au paradis comme sur terre, Pont-Aven n'a pas son pareil"
La rigolote CHARLiO'T me disant qu'elle n'aurait pas dit : PARADIS ...
... mais ENFER.
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