De la Josefowitzmania (Page n°3)

"T'es d'ici" (photo de René Cornou n°7) :Gast ah gast :Pour la photo ils auraient dû cacher les bouteilles sous la table

De la Josefowitzmania (Page n°3)

C'est donc en raison de l'étroitesse présumée des lieux ne permettant pas de présenter en totalité et de façon permanente au public cet ensemble déclaré par ce parasite : "fantastique", que le musée pris du ventre - aussi mou que celui d'une vache pleine* - sans la moindre autre réflexion; sans la moindre concertation avec la population concernée au premier chef !

* C'est la conséquence directe de la préférence quantitative plutôt que qualitative adoptée par ce musée depuis son ouverture. La gastronomie locale prenant d'ailleurs la même voie.

- - -  Suite  - - -

Souvenez-vous de ce que j'avais déclaré ici en son temps : 

Dès 2006, lorsqu'elle débarque à Pont-Aven, j'avais eu la nette impression que dans sa façon de formuler ses niqueuses communications médiatiques, la nouvelle conserv'actrice en herbe avait découvert dans les greniers de l'Hôtel de Ville, un énorme fonds d'œuvres et de chefs d'œuvre de l'Ecole de Pont-Aven totalement oublié depuis un siècle. 

Lorsqu'en 2010, elle mis sur la table du conseil municipal son projet d'agrandissement du musée ...
... déjà bien ficelé dans le plus grand secret avec l'aide de dame la soutanesse !!!, 

elle déclarera que ce fonds était constitué d'environ 4500 œuvres ou chefs d'œuvre, ... 

... sans doute entreposé dans les combles de notre cher Hôtel de Ville ???

Un nombre qui d'ailleurs se mit de mois en mois à jouer à l'élastique dans les médias : se baladant au gré de son humeur sur une échelle s'étalant entre 1500 et 4500 œuvres !

Et bien voilà : "Tout va mal ... qui fini bien pour elle"  

Maintenant qu'elle a le cul bien enfoncé dans son fauteuil en cuir capitonné, ces petites entourloupettes sont finies et déjà oubliées par tous.

Circulez il n'y a plus rien à voir.
Depuis l'ouverture de son musée, il n'est plus question d'un prétendu fonds de 4500 œuvres, et encore moins de chefs d'œuvre de sa collection permanente.

Chefs d'œuvre de la collection permanente ? : Avez-vous remarqué que cette pilule que l'on devait avaler presque tous les jours durant les travaux de son établissement touristique, n'est plus d'usage dans les communications médiatiques de la CC'ânerie depuis son ouverture. 

On oublie tout, et l'on repart comme en 40.

Que voulez-vous : A Pont-Aven la population est dans un tel état de faiblesse que si, ici, l'on plantait des plumes dans les culs, il y en aurait qui seraient contents que cet orifice puisse leur servir de porte plumes !

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Non CHARLiO'T : je ne fais pas allusion : ni à M le Maire, ni à ses prédécesseurs, ni bien sûr a aucun autre marchand de sable de l'Aven.

A suivre demain

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