De la Josefowitzmania (Page n°6)

"T'es d'ici" (photo de René Cornou n°9) : l'équipe de la Fleur : Qui sont les autres ?

De la Josefowitzmania (Page n°6)

Que d'aucuns puissent par passion (ou même pour spéculer) devenir collectionneurs de tableaux, je n'ai rien de palpitant à en dire.

Pour moi, c'est d'un commun qui ne mérite pas d'extras médiatiques.  Chacun fait ce qu'il veut, ou ce qui peut.

Il faut dire qu'à Pont-Aven, il y a longtemps que les modestes nés natifs du coin n'en ont plus rien à cirer de ce type de personnages ... lorsqu'ils essayent de se la pèter plus haut que leur ceinturon perlé, ... de surcroît, en étant aidé pour ce faire par une conserv'atroce.  

Des tableaux, il y en a des milliers de tonnes qui changent de propriétaires tous les mois dans le monde entier. Les salles de ventes et les galeries de peinture regorgent de peinturlures de second choix.

Hors les chefs d'œuvre : Dans les commerces de marchandises de cette nature, la pénurie n'existe pas.   

Le problème que je dénonce dans cet article n'est donc pas directement là.

Pour moi l'ancêtre du coin, un collectionneur passionné par de vieux fers à repasser est autant respectable que la vedette 2018 du musée.

Que l'un d'entre eux le fasse pour préserver la mémoire de nos anciennes repasseuses de cols et coiffes est pour moi aussi louable pour la sauvegarde des savoir-faire des anciens habitants de la Cité des Moulins, que l'autre qui quelque part voudrait nous faire croire qu'il se serait donné pour mission culturelle désintéressée de défendre la mémoire de l'Ecole de Pont-Aven ...

... Prenant le même vaniteux chemin que la conserv'atroce du coin qui essaye manifestement de nous faire gober qu'elle est descendue sur terre pour sauver la mémoire en péril de Gauguin !!!

Excusez-moi, mais c'est l'impression au soleil levant qu'elle me donne lorsque je lis ses innombrables articles de presse.

A suivre demain

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