Oh ! censure : Que ton nom soit sanctifié (III)

Publié le par chercheur d'histoires

Voir la suite en bas de page

Voir la suite en bas de page

Oh ! censure : Que ton nom soit sanctifié (III)

Mon Facebook ne boude plus... pour l'instant ! 

Cela dit : Bonjours à tous. Je sens que certains d'entre-vous se font un peu de soucis pour mon avenir.
Ne vous inquiétez pas. Ma riposte se prépare et elle sera, croyez-moi : autant inattendue qu'efficace.

Je viens d'être traîné dans la boue : KO, mais comme sans plus, autrefois par RIVET, puis son successeur, mais ne serais-je pas pourtant en matière d'amateur d'art autodidacte formé sur le tas dans les bistrots branchés de mon pays un monument unique dans son genre ?

Moi aussi je suis aussi quelque part un intouchable !

En 20 ans, j'ai en nombre proposé plus d'expositions patrimoniales et culturelles que le musée.

Vous pouvez les compter vous-même.

 

A suivre demain (Mon combat ne fait que commencer)

 

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Chose promise, chose due.

Vous venez de prendre connaissance de ma démarche auprès de la Préfecture.

Je pense qu'il va être gentiment demandé à la direction du Café Noir de régulariser sa  situation sans plus.

En cela, j'aurai déjà au moins effectué utilement un acte civique allant dans le sens voulu par Monsieur le Président de la République.

A savoir : Mener une démarche favorable à la moralisation des actions publiques dans le pays.

Et Vl'an passe moi l'éponge du bar !

Cela dit : je vais très attentivement suivre l'affaire.

Le Monsieur du Café Noir sera sans doute gentiment invité à déposer une demande de permis de construire afin de régulariser sa situation, sans plus. 

Il sera vraisemblablement aussi contraint de verser une taxe pour les stationnements qu'il ne peut pas réaliser.

Mis devant le fait accompli, comment voulez-vous qu'un sérieux maire : un peu responsable de cette situation tout de même !, puisse refuser cette solution au pertinent motif du tragique manque de stationnements publics de proximité dans le centre historique de la cité ?

Un motif pourtant d'intérêt général ultra-fort (Comme un Café ?) pour Pont-Aven et surtout pour sa population : N'est-ce pas monsieur le maire de Pont-Aven ?

Il faut tout de même se rappeler que cette taxe avait été décidée il y a environ 20 ans, en raison du manque cruel de places de stationnement dans le centre historique de la Ville.

Ne trouvez-vous pas cocasse qu'un individu puisse régler une taxe de ce genre pour lui éviter de construire les stationnements liés à l'agrandissement de son établissement, et que parallèlement, il lui est accordé le droit de supprimer 2,5 stationnements existants pour les transformer en terrasse privée ???

N'y aurait-il pas quelque part dans ce trou, quelqu'un qui serait tombé sur la tête ???

-------------------------------------------------------------------------------------

Et n'oublions pas la directive mentionnée à la fin de l'Article UH 12 du PLU :

"Elles ne devront pas apporter de gêne à la circulation générale"

Oh ! putain, si je ne veux pas me retrouver aplati comme la Belle Angèle de PGO, il vaut mieux que j'évite dorénavant ce petit coin de paradis ...

... ou d'enfer pour les piétons  !

------------------------------------------------------------------ 

 

 

 

 

Oh ! censure : Que ton nom soit sanctifié (III)
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :