Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP
Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP
Je suis d'accord avec toi me répond monsieur le maire de Pont-Aven, et c'est d'ailleurs, comme à mon habitude, pour cela que j'ai demandé aux employés municipaux d'y toucher.
Il faut bien que je démontre à mes prochains futurs électeurs, que je pense beaucoup, ces temps- ci, à leur bien être.
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"Mais qu'a-t-il fait encore de mal ?" se demande l'enquiquineuse CHARLiO'T
Je lui réponds que j'ai la nette impression que monsieur le maire a décidé une nouvelle fois "tout seul comme un chef" de surélever illégalement les murs de soutènement de l'ancien canal d'amenée (bief) de l'ancien moulin du Poulhouas :
Ce moulin détruit, il y a environ trente cinq ans, par des méchants banquiers dans l'indifférence la plus totale de la population.
"Pourquoi une telle indifférence ?" me demande les Eaux de l'Aven.
Je leur réponds qu'à cette époque, les pontavénounours commençaient à jouir du premier agrandissement du musée, et que dès lors : atteints par une inguérissable gauguinite aiguë, tout le reste des valeurs culturelles locales devenait négligeable pour eux :
Le précieux patrimoine architectural du Pays des Moulins compris.
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"Toucher aux anciens ouvrages d'art de la rivière : Mais c'est un crime contre notre patrimoine" s'exclament les ragondins de l'Aven.
"Peut-être pas tout à fait un crime, mais plus sûrement un délit envers les strictes règles contemporaines de l'environnement et de l'écologie raisonnée" leurs répondent les Oies de Lois de l'Aven.
La conclusion juridique de votre chiant idiot du village concernant ce nouveau délit sera publiée ici demain matin.
A chacun ses défauts : C'est la faute à personne : N'est-ce pas monsieur le maire ?
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