Coucou les pontavénizon'arts : sans peur, sans masque ... et sans reproche ?

Publié le par chercheur d'histoires

il n'y aurait plus l'ombre d'un virus sur cette place aujourd'hui ?

il n'y aurait plus l'ombre d'un virus sur cette place aujourd'hui ?

Coucou les pontavénizon'arts : sans peur, sans masque ... et sans reproche ?

L'agaçant emmerdeur préféré des rigolos du coin revient.

Je vous assure que lui aussi s'emmerdait tout seul dans sa niche,

con-rat-finé comme tous les pontavénounours,

sans pouvoir comme à sa mauvaise habitude mettre son nez dans les affaires louches du trou de peinturlure.
Et pourtant, sans ce confinement, il aurait sans aucun louche doute,  continué de récolter à la louche, les nombreuses fraîches et grosses affaires louches pontavéniaises. 

C'est d'ailleurs pour tout dire, exactement ce qu'il a fait durant tout ce temps mort.

C'est ainsi que, même aujourd'hui, le déconfinement local lui paraît louche.

En effet se dit-il : En observant de près ce qui se passe depuis ce déconfiturement local annoncé, un gros doute l'habite :

N'y aurait-il pas  un manque total d'éducation civique dans ce trou préféré des jemenfoutistes en tout genre, se demande-t-il ?

"Et bien : Si" répond la CHARLiO'T : "Non seulement un manque total d'éducation civique mais de surcroît un manque tout aussi total de respect pour les autres, en particulier pour les très nombreux vieux idiots du coin (comme moi)

On se serre la main comme avant, on se frôle, on se touche comme si rien n'était,  Il y en a même qui s'embrassent.

Et tant qu'à faire, pourquoi ne pas mettre sa langue dans la bouche des autres pour bien leur racler le gésier ? Des fois qu'il s'y cacheraient des morceaux de salade atteints par des virus ???

Un bel exemple à suivre.

Déjà d'ailleurs : Les déjà, peu éduqués touristes de passage éclair suivent le mouvement anti-masque et anti bonnes manières en grignotant comme des cochons affamés de Culture locale, nos biscuits secs comme si de rien n'était.

Mardi dernier, le jour du marché sur les pieds traditionnel de l'été, ils s'étaient tellement entassés sur le port comme des sardines à l'huile dans leur boîte, que pour les compter, il aurait fallu comptabiliser le nombre de pieds au mètre carré, puis multiplier ce nombre par la surface du bitume occupé !!! 

A suivre demain*

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* Demain si la ligne téléphonique de mon secteur le veut bien.
En effet, depuis le mois d'avril je subis quotidiennement des coupures ou d'incessants dysfonctionnements téléphoniques.

J'attends donc que France Télécom veuille bien intervenir comme promis dans les nombreux SMS que j'ai reçus depuis tout ce temps. 

 

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