La boîte à salades de monsieur RUELLO : Le dessert

Cela dit : J'ai observé que ledit " Café Noir" est devenu le plus buvable de tous, et à un prix de surcroît redevenu raisonnable. Un café noir peut donc en cacher un autre, sans que ce soit une catastrophe pour la population.

Suite :

En y réfléchissant un peu, mon petit doigt qui sent les choses dès qu'il s'agit d'alcool fort ou de peinture molle, me murmure que cette ex caverne des saoul'arts du coin, pourrait devenir le nouveau Bistrot "Branché peinture" de la Cité des anciens Peintres de talent.

Oh! que ce serait chouette de revivre dans une atmosphère culturelle non polluée par de la mauvaise graine.
Je dis cela, mais qui sait : Peut-être même que l'inconnu Gauguin en personne avait fréquenté ce débit de boissons lorsqu'il couchait chez les Gloanec de l'autre côté du pont ? 

Il y a  peut-être même acheté ses célèbres sabots bretons.  

D'ailleurs, peut-être que dans la cave de l'ancien Café du Centre, il reste quelques sabots de bois taillés sur mesure par Auguste BOULIDOR pour les artistes  de talent. Des sabots qui attendent désespérément de nouveaux talents !?

Des sabot qui allaient certainement comme des gants aux "gauguins de Nizon",

... du moins, avant que les chevilles de ces enflures, 

... ne grossissent un peu d'trop.

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Oh, ce ne sera pas pour tout de suite. Dans le trou du Cul't de la  peinturlure, plus personne ne connait la seconde langue paternelle des anciens pontavénistes :  ce fameux  "Parler peinture" : bien de chez nous :

Bien de chez nous, et comme nulle part ailleurs en Bretagne.  Rien  que pour nous seuls les anciens pochtrons des disparus bistrots branchés de la Cité des vrais Amateurs d'Art d'antan.

Pour nous, mais que ces amateurs d'art étaient toujours près à partager avec les autres lors de discussions de haut vol, bien entendu ! 

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SVP Monsieur RUELLO, apprenez au plus vite à parler peinture afin que nous puissions nous comprendre de façon : Gagnant-gagnant.

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La photo nostalgique du jour :

Oh!,  que c'était chouette chez Auguste BOULIDOR ...

... avant l'éclosion massive d"américanisés de Nizon !

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La boîte à salades de monsieur RUELLO : seconde portion

Ah! qu'il fut grandiose, le sublimissime WE RUELLO 2019 avec ses clownesques défilées de pingouins déplumés dans les rues de la ville, que le précédant mairedouill'art avait offert à ce millionnaire.
Le nouveau "maire poule" des barbouilleurs des photos de Robert, aurait-il agi autrement ? Un gros doute m'habite.

La ruellomania serait-elle aujourd'hui tombée comme une mauvaise mayonnaise ?

Bonne question que ma conscience d'idiot du village se doit d'analyser. 

Monsieur RUELLO vient de nous apprendre qu'il avait créé une marque de bon goût pour ses cinq restaurants de luxe* :   dont son Moulin Pontavénain.

* qu'il veut selon ses propres dites : Non luxuriants

Mais Monsieur le sauveur de Pont-Aven de 2019 : Et vos autres restos pontavénains : Celui des Ajoncs, celui du Café Noir, celui des dessert de restaurant de la Chocolaterie ??? ils ne comptent plus que pour des prunes ?

C'est à croire lorsque l'on se balade aujourd'hui dans notre cher trou du Cult des cantines  touristiques de bons goûts . 

"(Surtout cher pour tous ceux qui viennent gratuitement attraper des prunes salées)

Ah ! qu'Ils sont loin les grands discours du WE Ruellosé, devant un parterre de hautaines personnalités; avec l'annonce triomphale de la création d'un Grand Centre d'Arts Contemporains dans le coin, d'une première Grande Biennale INTERNATIONALE d'ARTS CONTEMPORAINS,  et du Grand Stade Ruell'Opien qui allait avec.

Mais mon vieux ! Les pauvres pontavénounours sans cervelle, ont tous cru à tes miracles. s'exclament les dépouilles des Moulins à grains du coin. 

Mais Monsieur RUELLO, vos fans pontavéniais ont tous cru en vous et vos fadaises,

... en bavant de toutes leurs larmes de joie sur vos chaussures cirées.

"Et pourtant"  répondent à mes sarcasmes les échos de l'Aven "Ce n'était de la part de ce brave RUELLO, qu'une bonne blague de potache attardé" 

Oui : attardé,  pour être en phase avec son public du moment !

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Cela dit : J'ai observé que ledit " Café Noir" est récemment devenu le plus buvable de tous, et à un prix de surcroît redevenu raisonnable. 

Un café noir peut donc en cacher un autre, sans que ce soit une catastrophe pour la population.

Suite et faim demain matin

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La boîte à salades de monsieur RUELLO

Lu son dernière communiqué de presse dans nos can'arts des coins-coins du coin 

Extraits :

Hôtellerie-restauration. Ar Collection, la nouvelle marque du groupe Ruello en Bretagne

Le groupe familial Ruello a fait le choix rassembler sous une même marque ses cinq établissements répartis entre l’Ille-et-Vilaine, les Côtes-d’Armor et le Finistère. Ar Collection revendique une valeur commune, celle de l’art de vivre en Bretagne.

Ar, en breton, signifie près de. C’est justement cette proximité, cet enracinement en Bretagne que veut incarner Ar Collection, la marque qui coiffe désormais les cinq établissements du groupe Ruello.

L’ensemble est positionné haut de gamme, sans verser dans le luxe. S’l fallait résumer, on parlerait d’établissements chics et abordables.

À l’avenir, Ar Collection pourrait servir d’écrin à de nouveaux bijoux. Le groupe Ruello songe encore à se développer, mais pas en franchise. Toujours en créant des établissements d’exception dans cette terre bretonne qui l’a vu grandir.

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Bon : C'est dit et bien dit, mais tout de même :

Lorsque je pense au Ruello de Pont-Aven de 2019, il y a tout de même des plats qui clochent.

"Comme du cloche'merle de l'Aven ?" se demande la fine bouche de la CHARLiO'T.

Exactement mon poussin. Avec la multiplication des petits pains sur la grandissante multitude de bonnes tables du trou du Cult du Goût, il y a de l'orage dans l'air chez les cantinières pontavénaines.

Elles se tirent toutes dans les pattes.

Oui mais : des pâtes Panzani !!!

"Serait-ce vrai qu'elles tirent toutes sur les pâtes des merles ? Mais c'est interdit ça" réplique-telle

"Et pourquoi pas sur les grives de l'Aven ?"

Et bien ma chère de poule, c'est bien parce que c'est interdit : qu'évidemment, elles se tirent tous réciproquement dans les couilles !

La conclusion de ce paragraphe sans queue ni tête de saumon de l'Aven  

Dans une bataille acharnée comme à Pont-Aven, un moulin peut toujours en cacher un autre : N'est pas les célèbres Chefs Meuniers de la célébrissimale Cité des minoteries Minautoreries ?

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Suite et dessert demain matin

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La boîte de déconnection avec la réalité

Gast ah gast ! s'exclame la CHARLiO'T : Celle là est plus grosse que le cul't d'une vache de Nizon

En effet, la saison touristique des musées bretons vient à peine de commencer, et j'observe déjà que le musée des dépôts des cochonneries de Nizon

... créé récemment par monsieur ...

...  le Grand Adjoint à la Culture de la CC'ânerie ! ...

... occupe plus d'espaces médiatiques que n'importe quel autre musée de Bretagne !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Gast ah gast ! ne s'exclame personne d'autre que l'idiot du village des doux saints doux préféré des français.

C'est gras autant qu'immonde, mais peu importe pourvu Qu'on soit Con'Art !

N'est-ce pas les pestiférés de chez les Gloanec ?

"Oui mais : Des pestiférés peuvent en cacher des pires", répondent les échos de l'Aven.

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N'y aurait-il pas là-dedans un chouîa de la célèbre expression : "Etre à la fois : juge et partie"

Et dire que la presse ne cesse de réclamer la Liberté de la presse vis-à-vis du pouvoir et de la justice.

Aussi, lorsque la presse se fait seul juge en Art, ne comptez pas sur moi pour la fermer.

Moi que la Justice de la République Française a convoqué devant un inspecteur de police pour me faire avouer que je n'ai aucune connaissance en art.

... sur plainte déposée par une dame de Butte, un monsieur Fidelin, et une certaine adjointe de ce monsieur, pour des raisons totalement fallacieuses.

Conclusion de cette envolée de bois vert :

Être très attaché à Pont-Aven et à toutes ses valeurs Patrimoniales et Culturelle, c'est rigolo plein de poils à gratter :  Vous ne trouvez-pas les grattouilleurs crabes verts des vases de l'Aven ? 

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La photo un tantinet rigolote du jour :

"C'est où le bourg de Nizon en creux, comme celui de Pont-Aven ?" se demande  l'ancien Syndicat d'Initiative du bled des peinturlureux heureux.

Depuis la Place du Musée, vous passez sous cette espèce de banderole :

... en faisant très très attention au casse-gueule de foire construit en dessous par Jean Marie Le  Brêta  !

et vous grillez :

... comme du l'art de cochon,  

... deux euros pour y pénétrer pour vous cultiver à la mode Nizonieuse.

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La boîte aux savonnettes

Depuis le 1er juillet, il y a de nombreux pontavénizoneux qui pleurnichent de ne plus bénéficier de médecin référant local.

C'est très inquiétant pour eux, surtout que tous les autres bougres du coin imaginent que devant un tel drame humain, monsieur le Maître d'Hôtel de Ville ...
...  qui avait pris par écrit l'engagement  lors de son investiture d'agir  de façon humaniste durant tout son mandat de maire, ...  

... à sans aucun doute, créé en urgence un comité de crise sanitaire afin de venir en aide aux nombreux mal foutus concernés.

En Urgence :

Oui mais ...

... Entre le vernissage du musée de la CCânerie,

... et celui de l'exposition "média'stissimiste"  des barbouilleurs des vieilles photos de  Robert GRAVIER.

Mais il faut vraiment être malade pour barbouiiler ainsi les portraits de nos ancêtres

pontavénizonistes ! s'exclame le portrait d'Angèle SATRE peint par PGO dans un moment de folie.

Conclusion du jour :

Comme quoi, un fou peut en cacher bien d'autres des fois !!!

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La photo pas rigolote du jour :

Des louzous, des louz'où ?, des louzous pour nous  SVP les élustupides.

Artmen !

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La boîte à lettres des associations Patrimoniales  & Culturelles (Page n°10/10)

Suite et fin :

En ce qui concerne le futur proche, il ne serait pas difficile de proposer un simple concours de photos s’articulant autour des festivités à créer par les membres de la nouvelle association. L’essentiel étant que ce concours fasse l’objet de rencontres, de discussions et de débats afin d’amorcer la pompe du cheminement culturel populaire que je propose.

Une action concernant à la fois les acteurs (du Cercle par exemple) et leurs spectateurs (photographes ou autres).

C’est-à-dire : Des artistes de scènes théâtrales, et des amateurs de l'art photographique, réunis dans une initiation commune.

J’imagine déjà pour être concret : « Un concours et une question» 

Par exemple :

Quelle émotion ces praticiens auront-ils ressentie lors du spectacle, en leur proposant de répondre au moyen de leurs photographies. Photographies* qui seraient l’objet d’un débat ultérieur, au sein des nouvelles activités patrimoniales et culturelles de la nouvelle association :

(* à intégrer dans les archives de l’association si possible)

Cette démarche est simple à mettre en œuvre mais bien plus compliquée à mettre correctement en pratique, car cela nécessite d’en vouloir vraiment. Vouloir participer à ce que je défini comme une première initiation à l’art photographique, afin que chacun puisse développer ses propres Valeurs intérieures :

-  Des valeurs artistiques pour les premiers.

- Et pour les autres, le développement de leurs capacités d’analyses qualitatives et critiques des œuvres des premiers.  

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Je me vois déjà présenter comme futur programme, les ruines de Rustéfan : Nouvelle scène  théâtrale comme ce fut le cas parfois autrefois, en leur demandant : année après année, d’insuffler ou de suggérer dans leurs œuvres leurs émotions, leurs émois, sur le lamentable spectacle de la lente agonie de ces merveilleuses ruines. Nous nous propulserions ainsi dans une très forte et utile action patrimoniale et culturelle.

Il va de soi que les initiations que j’ai proposées ci-dessus, exigent que leurs adeptes développent parallèlement leurs connaissances patrimoniales, culturelles et artistiques bien évidemment. Le partage de ces connaissances étant le maître mot de ce concept. C'est presque une offre  de vie locale  "bien de chez nous, dans le pays des anciens artistes de talent" que je propose. Une offre culturelle populaire digne de la célébrité du pays pour tous les nouveaux arrivants.

Une offre qui ne demanderait qu'à s"épanouir dans tous les sens et pour toutes les sensibilités : Chacun en apportant sa pierre.

Qu'en pensez-vous les vrais amis de Pont-Aven ?

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Par ailleurs, et dans le cadre du partage de ces connaissances, j’imagine continuer mes actions patrimoniales et culturelles habituelles et hivernales, mais en orientant plus fortement mes expositions vers la photographie bretonne du XIXème siècle. Un domaine longtemps ignoré en Bretagne et sur lequel j'ai acquis de sérieuses et profondes connaissances au cours de ma vie.

( D'où : dès cet hivers, une exposition exceptionnelle autant qu'inédite, que j'ai déjà intitulée "Les Pontavénus-Beautés : Des modèles pour Artistes Photographes du XIXe siècle" (Des années 1850 à 1914),  faisant suite à celle actuellement visible à Nizon.

            Pour finir ce long monologue, j’insisterai pour bien faire comprendre que je ne présente des idées que comme des pistes à étudier, ne rejetant aucune autre : bien au contraire. L’avenir et le succès de toute nouvelle association à caractère patrimonial et culturel sur Pont-Aven nécessitant des apports et des efforts de tous les vrais amis de Pont-Aven.   

Pont-Aven le 26 février 2021

Gérard BERTHELOM

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La photo rigolote du jour :

Ça au moins c'est vrai. 

Ce sera vrai sans aucun doute :

... Tous les ans : entre le 31 mars à minuit tapant, et le 2 avril à zéro heure !

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La boîte à lettres des associations Patrimoniales  & Culturelles (Page n°9)

Suite :

Ma réponse à l’amateurs d’art est que de son côté, il lui serait utile de : non pas simplement se contenter de contempler le sujet qu'il regarde, mais d'essayer de s’initier (s’exercer), afin que son cerveau s'imprègne de son côté de la forte, personnelle, singulière : et nouvelle pour lui, sensation que lui offre le vrai artiste. C'est comme cela lorsque l'on est peu éduqué, que l'on s'initie avant de prétendre être un vrai amateur d'art éclairé. 

Un brin d’effort afin qu’il puisse mettre des doutes dans ses certitudes artistiques, et qu'il puisse ainsi  remettre en question ses naivetés. C’est comme cela que l’on grandi culturellement lorsque l’on est encore qu’un vulgaire. J’en ai fait l’expérience.

C’est à ce niveau me semble-t-il aussi que se retrouvent et se complètent à la fois l’artiste et l’amateur d’art éclairé.

Cela est loin d’être naturel pour l’immense majorité des humains, d’où cette démarche initiatique que je propose de mettre en œuvre par étapes et de façon très modeste évidemment. Il faut un début à tout.

 Aujourd’hui, tout le monde à la sensation trompeuse de faire de la belle photo. Tout le monde se croit Artiste. Apprenons donc à distinguer ce qui est du domaine de la technique et que l’on trouve beau (pour le plaisir des yeux) de celui qui est de l’esprit personnel des gens à qui l’Art s’adresse.

Cela concerne pour moi comme je viens de l’exprimer, deux personnages : Le photographe et le spectateur de son œuvre. L’initiation que je propose concernant concomitamment les deux.

L’ensemble des ouvrages que je possède sur le mouvement pictorialiste par exemple, m’a été d’un grand secours pour arriver à cette conclusion.

 Avec un tel bagage, les membres d’une association auraient de quoi se propulser jusqu’aux sommets de la réussite. Mais n’allons pas si loin. Revenons plus prosaïquement au sujet initial de ce texte fleuve. 

C’est-à-dire :  Le nécessaire renouveau du théâtre Botrelien :

-  Afin de l’adapter aux réalités et aux nécessités actuelles du pays des anciens Moulins.

- Afin de redorer le blason de la Fête des Fleurs d'Ajonc (et du cercle celtique) par une puissante et innovante élévation du son statut. Le projet que je propose à ses dirigeants s’articule autour de ce renouveau patrimonial et culturel.
Il s’articule autour d’une animation bretonne festive, et de : Entre-autres j’espère, la participation active et dynamique de photographes et amateurs du médium en mal de progrès.

Pour l’heure, les dirigeants du cercle ont déjà imaginé de coupler la fête avec une exposition de costumes anciens*. Costumes dont le cercle prendrait la charge. La documentation générale que je possède permettrait : presque à elle seule, de revisiter petit à petit durant plusieurs années l’histoire de Botrel et de la fête folklorique dont il est l’initiateur. (Programmes, affiches, articles de presse et autres innombrables éditions, et plus particulièrement des photographies) Il est donc déjà possible d’amorcer le nécessaire virage à 18O° qui s’impose de plus en plus.

* Je le répète : Une première expo est actuellement visible dans la mairie annexe de Nizon, mais sans les costumes qui attendront encore un peu avant de resurgir des ténèbres. Pour autant, cette exposition totalement inédite et éducatrice vaut le coup d'œil.

Pour le moins, je l'ai préparée afin que ses visiteurs réfléchissent à l'avenir Patrimonial et Culturel de Pont-Aven et de ses habitants, en espérant qu'un minimum d'entre eux y adhèrent.

Viendra par la suite le temps de l’immense défi de la négociation avec les élus. La négociation sur la construction ou l’aménagement d’une bibliothèque de la mémoire locale à la hauteur des Grandes Valeurs Patrimoniales et Culturelles de la commune, ainsi que sur la construction des salles répondant aux immenses besoins des associations de la commune.

Suite et fin demain matin

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La photo rigolote du jour :

Cette nuit, la CHARLiO'T a fait un rêve :

Elle a rêvé de charcuterie.
Et bien ma chère : Ce n'est pas tout à fait la réalité :

... mais tu brûles !

Zut me répond-elle ; Je pensais demander à notre Maître d'Hôtel de Ville s"y aménager une andouillerie artistique "bien de chez nous"

La question finale du jour : 

L'Art d"enfumer les gens ... à la pontavénizoniaise : Vous connaissez ? 

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La boîte à lettres des associations Patrimoniales  & Culturelles (Page n°8/10)

L’art de placer l’Art Photographique sur la table des débats dans le pays des anciens Peintres de talent.

Suite du texte

               Je n’aurais été : ni capable, ni crédible, de proposer un objectif aussi ambitieux si durant quatre décennies au moins, je n’avais pas constitué une bibliothèque d’ouvrages anciens bien fournie sur le sujet.

Un précieux fonds documentaire sans doute unique en Bretagne, qui est devenue mon livre de chevet. J’imagine qu’il pourrait peut-être un jour devenir celui de tous ceux à qui s’adresse cette proposition.

"Pont-Aven/Nizon : Nouveau Pôle Initiatique de l’art photographique en devenir ?"

Serait-ce une stupide utopie de plus ?

Sûrement me répondront tous les ponavénimeux ayanr la science de l‘art infuse.

 Et pourtant, ce que je propose n’est pas si stupide que cela en a l’air.

Tout d’abord, si j’ose présenter un projet d’initiation à l’art de la photographie, dans mon esprit cette proposition est destinée :à la fois aux amateurs de la pratique de la photographie esthétique, et aux amateurs et collectionneurs de photographies. Ce sont ces deux groupes qui correspondent à ma vision du projet.

A cet égard, une nouvelle question se pose dans notre société contemporaine : Où sont passés les sens du discernement ou de l’échelle des Valeurs non vénales de l’art, dans le monde actuel qui nous entoure ? En cela, J'observe que dans tous les domaine, à Pont-Aven le mot discernement n'est plus en usage : Les amalgame, les confusions, les imprécisions, les méconnaissances, les  mensonges, règnent en maîtres absolus dans l'espace patrimonial, culturel et pictural de la commune.

            Pour y répondre à ma façon et sans sortir de mes objectifs, j’imagine une initiation qui permettrait déjà aux praticiens et aux amateurs (ou futurs amateurs) de photographies esthétiques de distinguer par exemple :

L’amateurisme du professionnalisme. Puis, au-delà : La photographie documentaire ou de souvenirs (des fêtes organisées par le comité des Fleurs d'Ajonc par exemple), de la photographie esthétique.

- Puis plus tard (dans une vision lointaine), apprendre à situer (à leurs yeux et dans leurs esprits) la frontière entre la photographie artistique au regard de la photographie esthétique ou décorative.

Tout simplement placer la photo dans le domaine des Beaux Arts  dans la célèbre Cité des anciens  Peintres de talent : Rien de plus, et pourtant, à Pont-Aven l'on en est très très très loin.

Vous êtes-vous déjà interroger sur ce que l’art moderne demande à l’artiste en devenir (celui à qui mes propos s’adressent)

 Ma réponse à ce personnage imaginaire est qu’après avoir choisi un sujet pour lequel il ressent quelque chose de fort et de très personnel, l’artiste doit apprendre à s’en détacher pour ne retenir et essayer de partager avec son public que son ressenti. Un sentiment, une impression, une émotion ; de l’amour ou du dégoût …, qu’il devra exprimer au moyen "technique" de son art.

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A Pont-Aven, tout le monde connait, ou devrait connaître, l’Histoire du ressenti très personnel et singulier d’Émile BERNARD qui révolutionna le monde des Beaux-Arts. Un ressenti qu’il exprimera dans ces œuvres novatrices dès son arrivée à Pont-Aven en 1986. Un ressenti qui interpellera fortement Paul GAUGUIN en 1888, jusqu’à mettre du doute dans les certitudes et servitudes picturales qu’il exprimait jusque-là : Vous connaissez la suite et je n’irai pas plus loin sur le sujet dans le cadre de ce texte.

Je n'invente rien. je ne fais que transposer mes acquis et mes connaissances, vers et au profit de l'Art photographique. sur lequel je porte toute mes attentions depuis des décennies.

A suivre demain

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Les photos cochonnes du Jour :

Mais que ce passe-t-il autour du musée de la Cc'ânerie pour que tant de commerces de proximité s'y installent brusquement en ce début de saison à toutous'fous ?

Serait-ce l'une des nombreuses idées géniales de monsieur le Maître d'Hôtel de Ville ?

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La boîte à lettres des associations Patrimoniales  & Culturelles (Page n°7)

La photographie est-elle un Art ?

C'est dans une revue anglaise "The Magazine of Art" publiée en 1880, que je découvrais il y a longtemps maintenant, cette formulation. Vraisemblablement la toute première dans l'histoire de la photographie.

 Cette Grande question du XIXè siècle, reprise des années plus tard en France par Robert de La Sizeranne, est en principe aujourd'hui résolue. Hélas, toujours pas définitivement en Bretagne. Je propose donc de la remettre au goût du jour dans la Cité des Grands Artistes de la fin du XIXe siècle.

 Ce que je propose est de commencer modestement, en organisant à la fois une animation théâtrale contemporaine retenant l’esprit innovant apporté par BOTREL, et en organisant parallèlement une animation photographique, en essayant d’injecter à l‘ensemble de la matière culturelle d’un niveau peu courant en Bretagne, si ce n'est totalement absent.

En résumant mon idée, je propose :

- D’une part, aux membres actifs de l’association à créer de s’immiscer dans le processus créatif d’une photographie emprunte d’une sensibilité artistique.

- D’autre part, à des amateurs de théâtre et de photographies de se cultiver en s’amusant.

Le projet que j’ai en tête (aux antipodes de ce qui est proposé aujourd’hui dans la Cité) est porteur d’un potentiel intrinsèque qui lui permettrait de se projeter très haut sur l’échelle des valeurs patrimoniales et culturelles régionales.

 Nos ancestrales pontavénus-beautés (et nos anciens paysages) ne furent-elles pas les modèles préférés de très nombreux peintres de talent de la Belle Époque de Pont-Aven ? De nombreux photographes aussi, puis-je ajouter en raison de mes connaissances sur le sujet, mais cela : pour l'instant, tout le monde l'ignore.

Voilà bien une extraordinaire source culturelle à exploiter : non ?

                Attention tout de même, dans le cas présent, ma démarche n’est pas d’imposer quoi que ce soit à quiconque, ni d’exiger à qui que ce soit de suivre à la lettre cette vision culturellement ascendante. Chacun doit trouver son compte à son niveau.

Je propose simplement de mettre à la connaissance de tous le contenu et les objectifs d’un projet : très ambitieux pour le coup, qui me turlupine l’esprit depuis longtemps, afin que chacun puisse y réfléchir et peut-être y trouver de l’intérêt.

Il me semble donc qu’il serait utile que j’apporte ici plus de détails concrets sur cette vision d'un intense et heureux avenir patrimonial et culturel d"une population locale qui s'y intéresserait. Qui ne pratique pas la photographie aujourd'hui ? Qui ne se sent pas  aujourd'hui Grand Artiste photographe en ce bas monde ???

Certains trouveront ce texte trop long ;  d’autres :  j’espère, m’en réclameront beaucoup plus.

En ce sens, je suis prêt à consacrer beaucoup d’énergie à la création d’une nouvelle association fédératrice locale, mais le temps presse : Je m’approche à grands pas de la fin du rouleau du dévidoir de ma vie.

L’art de placer l’Art Photographique sur la table des débats dans le pays des anciens Peintres de talent.

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Prochain paragraphe de mon texte à suivre demain

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La photo rigolote tout plein du jour :

Chouette ! s'exclame la CHARLiO'T :  Merci les élustucrus.

Et ce mur métallique de la honte de lui répondre : 

Ne sois pas bête ma chère ... de poule pondeuse :

Ce n'est qu'une blague à deux balles jaune d"œuf.

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La boîte à lettres des associations Patrimoniales  & Culturelles (Page n°6)

Et si nous lui proposions d’orienter ces activités vers une dimension encore plus Culturelle ?  

Si je pose la question, vous imaginez bien que j’ai une idée en tête.

Et si je propose une idée, c’est que j’ai du répondant et que je suis capable pour le moins, de maîtriser l’amorce de sa mise en pratique.

Je reprends ainsi une nouvelle fois ma manie du : «et si nous … ?» en faveur d’une action qui me tient à cœur depuis longtemps :

« Et si nous remettions l’Art en débat dans la Cité des anciens Peintres de talent ? »

En ce qui concerne la peinture, je n’y crois plus. Ce milieu est trop galvaudé.

Par contre, et pour revenir au cœur de mes propositions, il faut se souvenir (ou apprendre) que BOTREL eut le génie d’exploiter judicieusement la force évocatrice de la photographie dans ses campagnes de propagande médiatiques à travers le monde.

- Dès 1905, de nombreux photographes de presse couvraient déjà ses performances botreliennes, lors de sa Fête des Ajoncs dOr de Pont-Aven

- A l’occasion de chacune des Fêtes (ou pardons) des Ajoncs d’Or (ou Fleurs d’Ajonc), des photographes de cette nature répondaient « présent ».

Il suffit de consulter les revues et journaux français illustrés (et même de d’autres pays) pour s’en rendre compte.

- Les grands éditeurs bretons de cartes postales aussi, sans oublier les photographes professionnels de Pont-Aven (LE GARREC, puis Laurent LECLAIRE de 1909 à 1929, puis son successeur Robert GRAVIER)

- Sans oublier bien sûr les photographes et cinéastes amateurs, dont leurs trésors croupissent dans de vieux meubles en attendre de leur résurrection.

J’ai déjà présenté à Pont-Aven des expositions liées à ces types de documents.

J’ai dans mon bagage culturel un demi-siècle de recherches, de réflexions, d’idées, de projets, et de réalisations sur l’histoire de la photographie primitive et ancienne de la Bretagne. Ce n’est pas rien.

Durant tout ce temps, j’ai réussi à me constituer un fonds de photographies et un fonds documentaire sur le sujet bien fournis. Un précieux bagage qui à lui seul permettrait aujourd’hui de publier le Grand Livre de l’Histoire des photographes de la Bretagne du XIXème siècle qui n'existe toujours pas, sauf très partiellement.

Un projet allant donc bien au-delà de ce que j’ai déjà publié ou que de rares autres ont effectué.

            Lors du dernier forum des associations que j’ai cité ci-dessus, nos discussions ont porté sur la préparation d’une éventuelle exposition où seraient exposés les costumes collectés par l’ancienne association «Patrimoine et Culture».(Revoir mon nota publié hier à ce sujet) Une exposition agrémentée par la présentation de ma précieuse collection de photographies (et autres images du XIX siècle) des costumes bretons locaux.

Le seul point que nous avions décidé de ne pas aborder trop précipitamment était celui de fixer la date de l’évènement, sachant qu’en ce qui me concerne, je serais incapable de participer directement à des animations destinées au seul ravageur tourisme de masse qui pollue la commune depuis trop longtemps.  

Ou encore, dans un bâtiment non accessible aux personnes à mobilité réduite :

C’est dit !

Pour autant, rien n’est perdu. De nouvelles idées foisonnent dans ma tête en conservant l’idée de réunir à la fois des acteurs d’un théâtre de rue, et les praticiens de la photographie dans une démarche culturelle commune. Chacun ayant un rôle à jouer dans une animation festive et ludique à la fois populaire, peu coûteuse, modeste (menée par des amateurs), mais innovante en y apportant de surcroît une dimension culturelle forte.

Ce que je présente là, n’est bien sûr qu’une piste à éventuellement intégrer dans une vision plus large de l’avenir de la nouvelle association. Pour que l’opération chirurgicale réussisse, il appartient à chaque ami de Pont-Aven d’apporter sa pierre et ses propres idées novatrices afin que l’ensemble foisonne dans les intérêts patrimoniaux et culturels des habitants de la commune qui le souhaiteraient.

Beau programme : NON ?

Je vous le promets : C’est possible. J’en tiens le bon bout.

La photographie est-elle un Art ?

A suivre demain

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la photo rigolote du jour :

Le 30 juin 2021 à 12 h : La Place du Musée de la CC'â envahie de pontavénounours !

C'est normal s'exclame la pince sans rire CHARLiO'T : iIs profitent de ce dernier jour estival pour eux, avant qu'elle ne soit bourrée de neurones de doryphores Kulturisés ?????????????????????  

... comme tous les ans.

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