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Une boîte de vitesse qui s'emballe (Page n° 2)

Publié le par chercheur d'histoires

Une autre ancienne malicieuse publication sur ce blog de merde

Une autre ancienne malicieuse publication sur ce blog de merde

Une boîte de vitesse qui s'emballe (Page n° 2)

Autres dépenses affolantes :

- Par exemple, les 156 000 € affectés à l'aménagement d'un parking dans la zone de la friche du Bois d'Amour dont j'avais parlé ici il y a peu.

156 000 € pour uniquement satisfaire les commerçants poulguinistes.
156 000 € de dépense pour des travaux provisoires qui seront tôt ou tard à détruire dans le cadre du futur projet l'aménagement de la friche du bois d'Amour !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Autres exemples :

. 20 000 € pour les panneaux de signalisation.
20 000 €, dont une bonne partie pour faire chier la population locale faut-il bien signaler !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

. 50 000 € pour le réaménagement de l'ancienne caserne des pompiers en salle communale. 

50 000 € dépensés pour "repeindre" à la va-vite, un indigne local désaffecté totalement délabré.

Un bâtiment impropre a cette fonction en raison du manque de stationnements de proximité du secteur. Et cela s'autant plus que le Maître d'Hôtel de Ville a décidé : tout seul aussi, d'aménager sa futur maire de p'tit dictateur en peluche, tout à côté.

Voila encore un exemple de la façon dont les municipalités successives depuis le règne de la famille Rivet traitent les habitants de la commune. 

Ces derniers n'ont plus le droit que de se contenter de bâtiments communaux provisoires ou de vieux bâtiments  de fortune bricolés avec des moyens financiers particulièrement ridicules.

Une nouvelle honte pour la population. 
Par contre, la municipalité de Concarneau vient d'offrir à la sienne, une utile et "bien foutue"  vraie  maison des associations.  

. 60 000 €  +  10 000 € pour financer les projets utopiques de l'illusionniste Christian. 

Sans aucun doute, de l'argent public balancé très au loin de Pont-Aven,

... par la fenêtre de son bureau.  

A suivre demain

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Le document du jour :

Une autre ancienne malicieuse publication sur ce blog de merde.

J'en profite pour vous informer que je travaille actuellement d'arrache-pied afin de vous proposer d'ici peu une nouvelle exposition sur la fabuleuse dépouille du manoir de Rustéfan.

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Une boîte de vitesses qui s'emballe ((Page n° 1)

Publié le par chercheur d'histoires

Une vieille publication malicieuse sur ce blog de merde

Une vieille publication malicieuse sur ce blog de merde

Une boîte de vitesses qui s'emballe (Page n° 1)

sJe parle de l'affolante orientation budgétaire des finances communales de Pont-Aven.
De mémoire, la POSTE de Pont-Aven avait été construite aux frais de la commune en 1984.

Soit à peine quarante ans. Une goute d'eau pour un bâtiment durable : Non ? 

La POSTE ayant supprimé sa POSTE de Pont-Aven, la municipalité actuelle a décidé autoritairement de transformer ce bâtiment en un espace pluridisciplinaire de santé.

Elle vient ainsi d'affecter 1 million d'euros à cette opération. 
UN MILLION d'euros, plus les coûts d'aménagements professionnels, plus la suppression de 12 stationnements publics de proximité :

Vous ne trouvez pas cela affolant ?

Avec un million d'euros, n'aurait-il pas été plus raisonnable de rechercher un espace mieux situé pour implanter un nouveau bâtiment mieux adapté à cette future fonction,

... en y aménageant de surcroît les stationnements nécessaires dans l'intérêt général de la population locale ? 

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Qu'en pense l'huitre baveuse de la municipalité ?

Elle a critiqué ce projet, non pas pour les raisons que je viens d'évoquer, mais parce que le futur bâtiment ne sera pas équipé de panneaux photovoltaïques.

Et d'où viendraient les rayons solaires dans cet espace qui ne voit presque jamais le soleil sauf en plein été, madame la baveuse de service permanent au conseil municipal ?

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Autres dépenses affolantes :

A suivre demain matin

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Le document du jour :

Une vieille publication malicieuse sur ce blog de merde.

Aujourd'hui, il ne vous semble pas comme moi,

... que la situation est encore pire ? 

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1er Janvier 1891 : Le Symbolisme littéraire vu par Jean MOREAS

Publié le par chercheur d'histoires

Texte illustré par une composition allégorique signée Paul Gauguin

Texte illustré par une composition allégorique signée Paul Gauguin

1er Janvier 1891  : Le Symbolisme littéraire vu par Jean MOREAS

La revue "La Plume" va publier dans un numéro exceptionnel daté du 1er Janvier 1891,

un article intitulé :

"Le symbolisme de Jean MOREAS"

En hors texte de cette revue sera annexé un bois gravé signé Paul Gauguin titré :  

"Soyez symboliste"

C'est ainsi que les acquéreurs de cette célèbre publication deviendront propriétaires du " sans doute" premier bois gravé du maître publié dans une revue littéraire et artistique. 
Non plus d'un "bois debout*" comme cela était d'usage dans les illustrations de livres ou de journaux depuis les années 1830, mais d'un véritable " bois de fil **" remis à jour par les graveurs de l'Ecole de Pont-Aven. 

* Gravure aux traits 

** Gravure en aplats 

Vous souhaitez acquérir un vrai Gauguin de son époque de Pont-Aven  ?

Ne cherchez pas plus loin.

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Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven (Suite et fin)

Publié le par chercheur d'histoires

1896 : La Grand'Place - collection privée, tous droits réservés : Crottes alors !

1896 : La Grand'Place - collection privée, tous droits réservés : Crottes alors !

Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven (Suite et fin) 

«  Voilà qui serait bien. Malheureusement, cette appellation implique un sens qui n’est point  sans dérouter le public. Ce vocable «  impressionnisme » en effet, suggère tout un programme d’esthétique fondée sur la sensation. L’impressionnisme n’est qu’une variété du réalisme, un réalisme affiné, spiritualisé, dilettantisé, mais toujours du réalisme. Le but visé c’est encore l’imitation de la matière, non plus avec sa forme et sa couleur, mais avec sa forme et sa couleur perçues avec toutes les déformations d’une rapide synthèse subjective. Le substratum et le but dernier de leur art, c’est la chose matérielle, la chose réelle. Si donc, par hasard, il se trouvait dans le groupe hétérogène des peintres indépendants quelques artistes engagés en des voies d’art différentes, voire contraire, le bon public, cet éternel et béat adorateur des catalogues, ne faillirait évidemment point à, comme on dit, y perdre son latin. Quoi que qu’il est soit, aujourd’hui nous assistons à l’agonie du naturalisme, alors que nous voyons se préparer une réaction idéaliste, mystique même. La Lutte de Jacob avec l’Ange, que j’ai tenté de décrire en exorde de cette étude, témoigne assez, je crois, que cette tendance existe et que les peintres engagés dans cette nouvelle voie ont tout intérêt à ce qu’on les débarrasse de cette absurde étiquette « d’ impressionnistes », le public, suprême juge en matière d’art, ayant l’incurable habitude de ne juger les choses que sur leurs noms.

Donc, qu’on invente un nouveau vocable en « iste » pour les nouveaux venus, à la tête desquels marche Gauguin : synthétistes, idéistes, symbolistes, comme il plaira...

.. .Il est évident – et l’affirmer est presque une banalité - qu’il existe dans l’histoire de l’art deux grandes tendances contradictoires qui, incontestablement, dépendent l’une de la cécité, l’autre de la clairvoyance, de cet œil intérieur de l’homme : La tendance réaliste et la tendance idéiste.(je ne dis point idéaliste)

Sans doute, l’art réaliste, constitue une manifestation esthétique intéressante. S’il fut prétexte à bien des hideurs, a aussi parfois produit d’incontestables chefs-d’œuvre. Mais pourtant l’art idéiste apparaît plus pur et plus élevé. On pourrait même affirmer que l’art suprême ne saurait être qu’idéiste, de ce qu’il y a, en dernière analyse, de seul existant : l’Idée. Les idéalistes eux-mêmes ne furent quoi qu’ils prétendent, que des réalistes. Ils se sont souvent piqués de présenter des objets beaux, mais beaux en tant qu’objets

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Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven

Publié le par chercheur d'histoires

Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven
Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven

Mars 1891 : Albert AURIER nous conte Pont-Aven 

Mars 1891 : Albert AURIER, écrivain, poète et critique d’art, publie dans la revue Mercure de France dont il est l’un des fondateurs, le texte fondamental de l’histoire de l’école de Pont-Aven sous le titre « Le symbolisme et la peinture ».

Je vous propose d’en savourer le contenu :

« Loin, très loin, sur une fabuleuse colline, dont le sol apparaît de vermillon rutilant, c’est la lutte biblique de Jacob avec l’Ange.

Tandis que ces deux géants de légende, que l’éloignement transforme en pygmées, combattent leur formidable combat, des femmes regardent, intéressées et naïves, ne comprenant point trop, sans doute, ce qui se passe là-bas, sur cette fabuleuse colline empourprée. Ce sont des paysannes... Et à l’envergure de leurs coiffes blanches éployée comme des ailes de goéland, et aux typiques bigarrures de leurs fichus, et aux formes de leurs robes et de leurs caracos,, on les devine originaires de Bretagne. Elles ont les attitudes respectueuses, écoutant d’extraordinaires contes un peu fantastiques affirmés par quelque bouche  incontestable et révérée. On les dirait dans une église, tant silencieuse est leur attention, tant recueillie, tant agenouillée, tant dévot est leur maintien ; on les dirait dans une église et qu’une vague odeur d’encens et de prière volette parmi les ailes blanches de leurs coiffes et qu’une voix respectée de vieux prêtre plane sur leur tête… Mais alors où sont les piliers moisis et verdis ? où sont les murs laiteux ? où la chaire de sapin ? où le vieux curé qui prêche et dont l’on entend, certes, dont l’on entend la voix marmonnante ? Où tout cela ?

Et pourquoi, là-bas, loin, très loin, le surgissement de cette colline fabuleuse, dont le sol apparaît de rutilant vermillon ?

Ah ! c’est que les piliers moisis, et les murs laiteux, et la chaire de sapin, et le vieux curé se sont depuis bien des minutes, anéantis, n’existent plus pour les yeux et pour les âmes des bonnes paysannes bretonnes ... »

 

Or, devant cette merveilleuse toile de Paul Gauguin, qui illumine vraiment l’énigme du poète, aux paradisiaques heures de la primitive humanité ; qui révèle les charmes ineffables du Rêve, du Mystère et des voiles symboliques que ne soulèvent qu’à demi les mains des simples ; qui résout, pour le bon liseur, l’éternel problème psychologique de la possibilité des religions, des politiques et des sociologies ; qui montre enfin la farouche bête primordiale domptée par les philtres enchanteurs de la Chimère ; devant cette toile prodigieuse, non point, certes, tel banquier adipeux et prudhommesque s’enorgueillissant d’une galerie encombrée de Detaille (valeur sûre !), mais tel amateur, réputé intelligent et ami des juvéniles audaces au point d’admettre l’arlequinesque vision des pointillistes, de s’écrier :

  • Ah ! non, par exemple ! … Celle-là est trop forte … Des coiffes et des fichus de Ploërmel, des bretonnes, et de cette fin de siècle, dans un tableau qui s’intitule : La Lutte de Jacob avec l’Ange !! Sans doute, je ne suis pas réactionnaire, j’admets l’impressionnisme, je n’admets même que l’impressionnisme, mais …
  • Peut-être,  en effet, serait-il temps de dissiper une équivoque fâcheuse, qui fut incontestablement créée par ce mot d’impressionnisme, dont on n’a que trop abusé.
  • Pour le public, j’entends ce minuscule public à peu près intelligent qui se préoccupe encore de cette futilité anachronique, l’Art – il n’existe, on le sait, que deux classes de peintres ; les peintres académiques, c’est-à-dire ceux qui congrûment éduqués, diplômés et patentés par la faculté ès-art de la rue Bonaparte, brocantent, à des prix israélites, du beau officiel, dans le genre antique, moderne ou autre, breveté avec la garantie du gouvernement – et, d’autre part, les peintres impressionnistes, c’est-à-dire tous ceux qui, révoltés contre les goûts imbéciles des critiques de boulevard et contre les ignares formulailleurs de l’école, se permettent l’outrecuidante liberté de ne pas copier quelqu’un.
  •  
  • Suite et fin demain matin
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La boîte des bonnes inquiétantes nouvelles du musée de la CC'â

Publié le par chercheur d'histoires

Pauvre corrmoran mazouté ...

Pauvre corrmoran mazouté ...

Qu'il est dur d'être primé en 1997 dans la Cité des Arts ...

Qu'il est dur d'être primé en 1997 dans la Cité des Arts ...

Puis de ne plus être considéré ultérieurement que comme un vulgaire tas de ferraille

Puis de ne plus être considéré ultérieurement que comme un vulgaire tas de ferraille

La boîte des bonnes inquiétantes nouvelles du musée de la CC'â 

" La grande EXPO du printemps indien au musée "

Manifestement, les nouveaux locataires de notre regretté Hôtel de Ville ont décidé de s'américaniser, comme avant eux les barbouilleurs de photographies Nizoniais.

C'est à la mode, mais devrais-je suivre cette mode ? se demande mon ange gardien. 

Oh ! je n'ai rien à reprocher à "l'Artiste" photographe américaine dont des copies de ses clichés sont exposées actuellement un peu partout dans le monde , ...
... dans le monde entier jusqu'au fin fond du trou de peinturlure préféré des amateurs de beaux tableaux peints.

Et pour être plus précis : Jusque dans le plus Grand Musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven.

Et bien pour moi : incroyable mais vrai, c'est là que le bât blesse.

C'est tout de même extrêmement grave qu'après avoir saccagé le centre historique de Pont-Aven afin d'y aménagé un très coûteux gigantesque musée pour y exposer les prétendues 4 500 œuvres et autres chefs d'œuvre de la collection municipale de Pont-Aven, sa direction se. trouve contrainte de lancer un appel au secours pathétique à des américains vivants sur une toute autre planète artistique que nous.

Je ne connais pas grand chose des anciens grands artistes photographes américains.

En effet, je ne possède qu'une bonne demi douzaine de très gros ouvrages "collectors" sur le sujet.

Je laisserai donc les "Spécialistes et scientifiques " du genre faire leur besogne de propagande auprès des bretons qui : sans aucun doute,

... ne connaissent rien de l'histoire de la photographie en général,

... et encore moins de celle des américains :

... ... ...  Et moins encore de celle des bretons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!I

A suivre demain

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La boîte des bonnes inquiétantes nouvelles du musée de la CC'â (Suite et fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Construire une sculpture artistique en forme d' hermine sur la friche du Bois d'Amour, était-ce un crime de lèse-majesté ?

Construire une sculpture artistique en forme d' hermine sur la friche du Bois d'Amour, était-ce un crime de lèse-majesté ?

Et bien oui. Sur plainte de dame la soutane, la Cour de Cassation a fini par décider que Oui.

Et bien oui. Sur plainte de dame la soutane, la Cour de Cassation a fini par décider que Oui.

La boîte des bonnes inquiétantes nouvelles du musée de la CC'â (Suite et fin) 

"La Grande EXPO de l'Été pontavénain consacrée à M M   

Je suis certain qu'aucun débat passionné ne se manifestera dans les Bistrots branchés de Pont-Aven sur cet artiste préféré de tous les grands collectionneurs d'art de la Bretagne.

- La première raison est qu'il n'y a plus de bistrot "branché peinture" dans le bled.

- La seconde est qu'il n'y a plus de Pontavénain à même de tenir un débat passionné autant qu'exaltant sur l'Art dans ce trou de peinturlure.   

Si j'avais assez de culot pour l'oser, je vous dirais que M M est sans doute l'artiste qui a le plus vendu d'œuvres dans les salles des ventes bretonnes depuis les années 1970. (Depuis que je fréquente en fait ces établissements pour m'éduquer) 

Je ne sais si le Manoir du Moustoir près de Quimper fait toujours office de galerie de Peinture, mais durant une quarantaine d'années ses tenanciers proposèrent à leur clientèle principalement du "M M "   

Je me souviens par ailleurs des années 1990-2000 où les locaux des bouquinistes bretons (et parisiens aussi) étaient agressivement parfois envahis par de férus collectionneurs d'ouvrages illustrés par M M

Une vraie plaie pour eux. 

Quel n'est pas aujourd'hui le riche Breton qui n'a pas dans sa grande salle de réception son pesant d'or de M M  ?

Et puis, qui se souvient de cet artiste morlaisien, qui avec deux compères avait ouvert une galerie d'art à l'étage de l'ancienne biscuiterie Le Villain-Penven sur le Port dans les années 1980 ?

Il vendait sous le manteau des dessins signé M M 

Il en avait des piles en réserve.

A l'époque il m'arrivait de fréquenter la boutique de l'Antiquaire TREANTON à Morlaix.

Ce fut Madame Théanton qui m'apprit que la mère de notre vendeur à la sauvette avait été l'élève de M M, et qu'elle conservait dans un tiroir d'une commode quelques exemples de ses dessins.

Pas difficile d'y ajouter deux Ms : vous ne pensez pas ? et bien lui y avait pensé. 

Les photos interpellantes du jour : 

Construire une œuvre artistique en forme d'hermine sur la friche du Bois d'Amour, était-ce un crime de lèse-majesté ? madame la promue depuis : chevalière de l'Ordre de la Légion d'Honneur.

Comme par exemple l'affreuse sculpture en bois que vous avez fait tailler dans le tronc de l'un des Grands Chênes de Nizon durant votre règne !

Et bien oui. Sur plainte de dame la soutane, il y a quelques années la Cour de Cassation a fini par décider que Oui, mais uniquement pour je ne sais quelle raison, celle du Bois d'Amour.

L'autre pourrie lentement sans que personne n'ose s'en plaindre, n'y même y toucher

Conclusion du jour :

De ces deux œuvres contemporaines, laquelle fut la plus art'souilleuse de nos environnements ?

C'est la justice qui. a "tranchée ?

Où sont passés les grands amateurs d'art pontavénains dans tout ça ?

Se seraient-ils tous planqués au musée ???????????????????????????

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LA BOÎTE aux durables idées périssables (Acte II - scène 2)

Publié le par chercheur d'histoires

Mais qu'en pense la famille Boutet du projet EUROPAN ?

Mais qu'en pense la famille Boutet du projet EUROPAN ?

LA BOÎTE aux durables idées périssables (Acte II - Scène 2)

Il y a bien sûr le fait que le Maître d'Hôtel de ville de cette cérémonie ait choisi "par hasard" le moment où : en raison de lourds travaux de voirie, la circulation et les stationnements dans le centre mondial de la peinturlure soient devenus extrêmement désagréables.

Mais pour moi, le pire du pire se situe dans l'épouvantable  posture de résignation qui imprègne fortement les esprits de la population locale depuis des lustres. 

Personne ne bouge, personne ne se plaint, car à Pont-Aven il faut coûte que coûte faire croire que tout va bien dans le meilleur des mondes.

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Je ne vais pas revenir sur les incantations et élucubrations utopiques dont CHRISTIAN nous a habitué depuis qu'il a pris le pouvoir sur Pont-Aven, mais sur ce qu'il raconte en fin de sa propagande de presse :

A savoir :

(il parle de son projet sur la Friche du Bois d'Amour)

"Les pontavénistes pourront voir les premiers signes de ce projet avant l'été, avec l'aménagement de la partie, côté colline Sainte-Marguerite*  pour y accueillir des véhicules"

* connu sous l'appellation  "Bois de Control"  pour la population de souche.

Chers amis Pontavénizoneux : Votre cervelle n'est-elle pas sortie des orbites de vos yeux en p'tits morceaux en lisant cela ?

Les premiers signes de ce projet avant l'été avec l'aménagement de la partie côté Bois de Control pour y accueillir des véhicules ?
Chers amis, ne vous rendez-vous pas compte que la municipalité vous roule dans la farine ?

Moi au moins j'ai sérieusement pris connaissance des trois projets Europanisés dont il est question. Et bien aucun d'entre eux ne propose de réserver cet emplacement afin d'y aménager un grand parking pour les activités commerciales du centre ville.
Ou alors monsieur le maire si pour vous ce n'est pas le cas : : Dites nous pour quels habitants, et de quels secteurs de votre commune, ces coûteux travaux d'aménagement d'un grand parking seraient utiles ?

Dans ma petite tête de rat crevé de l'Aven, j'ai l'horrible impression que c'est uniquement pour les commerces ultra-touristiqués des Poulguinistes du bourg-d'en-bas de la commune, et d'un musée dont les maîtres de l'ouvrage n'ont toujours aménagé celui que le PLU de Pont-Aven leur imposait avec force de Loi.

Des Poulguinistes aujourd'hui à la tête de la commune, et un musée qui s'est manifestement totalement déconnecté et désolidarisé de la population locale et de ses Grandes et attachantes Histoires locales ? 

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Le document du jour : 

Mais qu'en pense la famille Le Saux-Boutet du projet EUROPAN ?

Les descendants de Marie Ty Plouz ne seraient-ils pas inquiets de ce qui se trame tout autour de leur maison familiale ?

Monsieur le maire, serait-ce de tout cœur que vous n'avez pas pensé à eux ?

Auriez-vous au moins demandé pour la beauté du geste leurs avis.

Plus personne d'autre ne connais aujourd'hui autant qu'eux ce quartier.

Monsieur la maire, vous voulez que de nouveaux ménages s'y installent :

OK, mais de quelle manière allez-vous les traiter lorsqu'ils s'y seront installés.

Comme maintenant dites vous  ?????????????????????????????????????????

??????????????????????????????????????????????????????????????????????

 

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LA BOÎTE aux durables idées périssables (Acte II - scène 1)

Publié le par chercheur d'histoires

La Belle Époque  ... du vivre heureux à Pont-Aven au bord de l'Aven.

La Belle Époque ... du vivre heureux à Pont-Aven au bord de l'Aven.

LA BOÎTE aux durables idées périssables (Acte II- scène 1)

La dernière communication de presse de monsieur le maire de Pont-Aven sur son expo EUROPAN 

Ce n'est pas moi, c'est lui qui en remet une couche :

"Créer de la valeur économique " explique-t-il 

Gast ah gast ! Personne n'y avait pensé avant lui !!!

Et pourtant, dans mes réserves de coupures de presse j'ai stocké de tonnes d'articles de propagande de projets pontavéniais de valeur économique pour tous qui ont :

- Soit pour la plupart, été abandonnés.

- Soit, jamais débouchés sur des réalisations utiles pour la population locale.

Comme la locomotive économique du musée de la CC,ânerie par exemple !!!

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"Entre 30 et 50 personnes ont visité cette expo"  chaque matin des samedis de février.
C'est ce que l'on appelle un échec cuisant, surtout lorsque l'on souhaite s'adresser à toute sa population pour lui présenter un projet soi-disant extraordinairement miraculeux pour l'avenir de la commune :  NON ?

De l'EUROPAN en panne comme je l'avais prévu ici il y a quelques temps.

Gast ah gast ! Vraisemblablement même, la plus grande panne de tous les projets menés par cette structure sans frontière depuis sa naissance !

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Suite demain matin

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L'AVEN de nos ancêtres (Post scriptum :2/2)

Publié le par chercheur d'histoires

Un brin de dérision pour finir en beauté "comme l'Aven ?", cet article.

Un brin de dérision pour finir en beauté "comme l'Aven ?", cet article.

L'AVEN de nos ancêtres (Post scriptum : 2/2)

Cela dit, pour l'instant je ne me suis intéressé qu'à la portion urbaine de l'Aven. Cependant, j'ai bien conscience que le problème concerne l'ensemble des rivières non flottables et non navigables de la France entière.  A la fin du XIXième siècle le Parlement avait décidé d'affranchir l'État de ses obligations d'entretiens de ses cours d'eaux en en transmettant la propriété aux riverains. Une belle entourloupe qui en droit foncier n'avait d'ailleurs aucun sens. 

Èn effet, il ont inventé une espèce de droit de propriété dont les propriétaires ne bénéficiaient d'aucun droit mais que des charges. 

Article 544 du code civil :

La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.

Depuis, il est vrai que les législateurs n'ont cessé de restreinte ce droit mais pas au point de le supprimer totalement, sauf à en conserver les contraintes pour lesdits propriétaires. 

Pour présenter cette grotesque situation de façon concrète et compréhensible par tous, je prends un exemple :

 Chacun sait qu'un riverain d'une rivière ne pourrait lui vendre sa dite portion de rivière. Lorsque les terrains de ces riverains changent de propriétaire, jamais au grand jamais les actes dressés par les notaires ne mentionnent la vente d'une portion du lit de rivière. Les géomètres experts mesurant les parcelles concernées n'en tiennent pas plus compte.

Dans le cas contraire, ne verrions nous pas à Pont-Aven des petits malins acquérir des bouts de rivières pour y aménager par exemples des terrasses ou des stationnements privés ?

Ce serait totalement illégal, mais c'est pourtant ce que nous pouvons parfois y constater depuis quelques années NON ? ?????????????????????????????????????????????????????????????????????     

De quoi parlons-nous donc lorsque l'on aborde la propriété du lit d'une rivière ?

En fait d'une propriété qui n'est en réalité que de l'abstraction intellectuelle. 

Conclusion générale :

De nos jours, l'une des préoccupations majeures pour tous se porte sur la nécessité absolue de préserver nos environnements naturels.

Ne serait-il donc pas plus que temps que les pouvoirs publics se préoccupent au plus vite du droit souverain de la propriété du lit de toutes les rivières du pays en prenant leurs responsabilités sur la véritables propriété naturelle de ces rivières, sur leurs entretiens, et sur leurs bonnes préservations et conservations environnementales et écologiques ?

Sans oublier le cas beaucoup plus simple à régler des ruisseaux évidemment.

Dans mon esprit, ce que je propose n'est qu'une amorce de préoccupations plus générales allant bien au delà d'une simple étude sur la portion urbaine du lit de l'Aven. 

Mais pour ce "au delà",  il est évident que je ne peux que passer le relais à des autorités supérieures infiniment plus compétentes que moi.

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Voilà, c'est fini pour moi pour l'instant.
Pour l'instant et jusqu'au moment où : j'espère, nous pourrions nous rencontrer lors d'une exposition

... afin : qu'ensemble dans la Cité des Moulins , nous puissions papoter sur ce passionnant autant que grave sujet.

Il ne serait tout bonnement question que de sauver l'AVEN des actuelles maltraitances qu'elle subie de toute part.

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