Diableries d'avocat (volet n° 3/8)

Publié le par chercheur d'histoires

Diableries d'avocat (volet n° 3/8)

 L’abrégé de réquisitoire que j’ai diffusé agace les fanatiques inconditionnels du projet que je conteste. Ce qui prouve que j’ai su  poser les bonnes questions : celles que personne ne s’était posé auparavant et qui auraient dû à mon sens nécessairement être au cœur de toutes les conversations du pays … s’il existait encore aujourd’hui à Pont-Aven, un public attaché à ses racines.

L’une des qualités premières de cet abrégé est que son auteur ne s’est préoccupé que de  l’intérêt général de la commune et de sa population. Il a laissé ces propres intérêts au placard. 

Je me permets de rappeler une nouvelle fois ici que depuis 15 ans, je mène inlassablement « pour la beauté du geste et souvent bien seul contre tous », des actions patrimoniales et culturelles militantes. L’exemple de Rustéphan est édifiant : Partout ailleurs qu’à Pont-Aven, toute personne ayant œuvré pour une bonne cause de façon aussi passionnée et : par la force des choses, aussi acharnée que moi, aurait été encensé par ses pères pour sa bravoure et son action.

À Pont-Aven, je n’ai reçu que des menaces ou du chantage d’avocat pour me faire taire, ou encore des injures publiées dans la presse, au conseil municipal ou ailleurs : toute une infâme panoplie déployée pour essayer de décrédibiliser mes actions :

 Et cela, dans le seul but de : surtout ne rien faire pour sauvegarder ce « vieux tas de cailloux » dont le fantôme fait sans doute trop peur aux enfants.

Ces majestueuses ruines ont hélas le défaut d’être trop éloignées des tiroirs-caisses des commerces touristiques du centre de Pont-Aven.

Qu’elle est reluisante la cité des anciens moulins !

Ce n'est pas tout : à suivre demain

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