Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°5)

Publié le par chercheur d'histoires

1937

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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°5)

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- Reprenons donc ce sujet -

L'avenir du Bois d'Amour ne peut se concevoir sans Amour.
L'Amour de l'Art, de la nature, de la vie, de l'art de vivre heureux en communauté : le

tout menant à terme à la création bienfaitrice d'emplois valorisants sur ce lieu magique.

J'imagine sur ce temple d'anciens emplois, la Culture des Valeurs locales suscitant et apportant des idées neuves  menant de facto à la création d'emplois des plus valorisants.
(J'exclus de mon esprit la peinturlure. Elle s'est déjà suffisamment incrustée à Pont-Aven depuis 1985, sans rien apporter de bon pour le pays et sa population)

Quoi de plus enchanteur et valorisant que ce lieu abandonné, et plus que jamais en danger car survolé depuis peu par des vautours.

Pont-Aven en a besoin pour survivre :

Pour survivre comme il y a un peu plus d'un siècle, lorsque les touristes et les peintres ont brutalement désertés la ville devenue inhabitable : C'est-à-dire à l'époque où les conserveries ont poussées comme des champignons !

S'instruire sur la mémoire de ce lieu avec ses forces et ses défauts en réfléchissant sur son potentiel au sein d'une vision éclairée de l'ensemble de la commune et de sa population serait indispensable à mon avis.

Les emplois valorisants de demain ne seront plus ceux que les vieux que nous sommes imaginent aujourd'hui.

Pour autant, il nous est possible de préparer "la potion magique" d'un futur Pôle d'excellence en matière de Culture et d'emplois valorisants.

Une image d’excellence se déclinant par magie entre deux mondes aujourd'hui en conflit à Pont-Aven. L'écrasante médiocrité touristique ne bénéficiant qu'à un tout petit nombre d'individus sans scrupule anéantissant toute source de progrès valorisant pour tous.

Les élèves de l'ancien CIAC (Ecole Internationale d'Art Contemporain) ont côtoyé durant des années cet espace. Un grand nombre d'entre eux se projetaient non pas vers la peinture, mais vers des carrières valorisantes de créativités liées à la culture.

Par exemple vers des emplois en matière de Design, de Communication, de Pub, etc., où l'imagination et la créativité artistique ou esthétique jouent un rôle primordial.

Je n'invente rien, je ne fais que constater et mettre le doigt sur la réalité de cet espace.

Nous ne savons pas ce que seront les emplois de demain, mais Pont-Aven peut s'y préparer "modestement et à sa manière" en sauvant de la destruction l'ancien et précieux site industriel du Bois d'Amour.

- De l'EMPLOI,
- De la créativité durable,

- Du bien vivre,

- Des espaces réservés à la Culture locale, concomitamment à la libre expression des entrepreneurs créateurs et inventeurs du futur.

- Un  lieu "branché autant que populaire" propice aux rencontres, aux discussions, aux débats entre ces artisans du futur et leurs visiteurs.

Un espace sans discrimination sociale.

Je mets sur le tapis de mes réflexions la nécessité pour Pont-Aven et sa population endormie, de remettre l'art en débat public.

Le pôle d’attractivité naturelle de Bois d’Amour est propice à l’éclosion de tout cela, et à bien d’autres bonnes choses.

Sera-t-il lui aussi gâché comme le centre historique du pays au profit de quelques intérêts privés ?

Suite et fin demain matin

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