J'accuse gravement ! (fin des suites)

Publié le par chercheur d'histoires

Souvenirs lointains de la Belle Époque de l'Hôtel des Voyageurs

Souvenirs lointains de la Belle Époque de l'Hôtel des Voyageurs

J'accuse gravement ! (Fin des suites)

Je l'ai déjà dis ici je crois : J'ai parfois l'impression d'être leur avocat contre leurs propres avocats. 

Aujourd'hui, pour défendre leurs clients, pour certains, tous les coups bas sont bons.

- - -  Suite et fin  - - - 

Même de façon la plus inhumaine qu'il soit, dans les cas extrêmement tragiques que je dénonce ici.  

Et moi qui pensais que l'ordre des avocats imposait à tous ses membres de respecter dignement son code de déontologie.

Je vous entends me dire qu'en faveur des pauvres, le système judiciaire français permet à ces personnes d'obtenir une aide judiciaire financière pour faire face aux lourds frais Judiciaires qu'elles auront à supporter.

Cette aide est sans doute utile et appréciable dans de petites affaires, mais dès que les délits prennent de la hauteur, les faiblesses de cette aide ne sont plus qu'une scandaleuse imposture. 

Ma conclusion générale :

 Au regard de ces trois cas particuliers, mon sentiment le plus profond est qu'il y a des moments où le système de la Justice Française devient une machine infernale capable de broyer d'innocentes personnes en état de faiblesse avancée. 

Et moi qui croyait que les tortures physiques ou mentales étaient abolies en France. 

En réalité se sont les sociétés démocratiques modernes qui : dans toutes leurs contradictions, excès et perditions, sont de plus en plus mal-en-point.

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