Plus belles ... les cavalcades (Page n° 7)

Suite des photos de Robert GRAVIER

"Une ville toute entière en délire"

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Oh la garce ! (la fin de la fin)

C'est la raison pour laquelle qu'en 1985, le tout petit musée pontavénin avait été agrandi afin de bouster le tourisme culturel existant en attirant plus d'amateurs d'art dans le centre historique de la ville.

Je répète : plus d'amateurs d'art et non pas des masses de touristes désœuvrés n'ayant rien à foutre de nos mémoires, de nos héritages culturels et de toutes nos richesses patrimoniales et culturelles ...

... en danger d'extinction.

Ce petit musée avait été agrandi afin que le commerce traditionnel puisse se développer et non pas disparaître aux seuls profits de la spéculation immobilière et d'un commerce touristique de pacotilles et de niaiseries.

Il avait été agrandi afin que le centre historique de la ville puisse conserver ses valeurs, son image et sa population.

Qu'en est-il aujourd'hui ? : Un immense gâchis, un grand désastre.

La mémoire des habitants a été confisquée et détournée de son sens au profit de ce tourisme de masse destructeur de toutes les valeurs patrimoniales et culturelles du pays.

Après la mainmise de l'Hôtel de ville, de la Grand'Place historique du pays, du fonds de tableaux du musée municipal et de sa bibliothèque culturelle, au profit du futur Grandiose musée de la CCânerie, la CCA, Il ne restait à la disposition de la population que le petit  fonds de costumes anciens ou presque.

Que va-t-il devenir ????????????

Oh la garce !

AUX VOLEURS !

J.M. le cancre : que fais-tu, où es-tu, que fais-tu de ton pouvoir ...

... de ne rien foutre de bon pour ta paroisse ?

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Oh la garce ! (fin)

Cette "Ex" semble se considérer comme le possesseur exclusif des biens appartenant à l'association "Pont-Aven Patrimoine et Culture" - en sommeil - et en particulier du précieux fonds de costumes anciens.

S'il faut reconnaître et lui être reconnaissant de l'intérêt qu'elle porte sur ce fragile fonds afin qu'il puisse être conservé dans les meilleures conditions d'entretien possibles, cela ne lui apporte pas le moindre droit de disposer à sa guise de ce trésor commun.

Cette association se trouve dans une impasse. C'est la raison qui m'a poussé à proposer aux uns et aux autres, de réfléchir sur une possible fusion entre cette association et le comité des fêtes des Fleurs d'Ajonc, mais c'est in fine, aux membres de ces structures de le décider.

Cela dit, pour ma part j'émets le vœu que ce trésor ne tombe pas dans le giron exclusif de la grosse boîte d'appât à touriste qui se construit actuellement dans le centre de la ville.
Dans les articles de presse publiés lors des fêtes des Fleurs d'Ajonc, c'est pourtant ce que semble suggérer cette Ex présidente.

Les pontavénounours ne seraient-ils plus qu'une bande de foutus cons incapables de réfléchir et de proposer un avenir aux habitants du pays, autrement que pour attirer des touristes ?

Le commerce local a besoin du tourisme pour vivre. Nous sommes tous d'accord sur cette réalité.

C'est la raison pour laquelle ...

La fin de la fin de cet article sera pour demain matin ... bande de cons. 

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Oh la garce !

Les fêtes des fleurs d'Ajonc fanées viennent de s'achever.

Les can'arts des coins-coins du coin ont présenté cette fête comme la garante de la tradition et des coutumes locales.
Mon cul dirait la Charlo't de mes rêves.
Moi, pour définir ce molasson événement, je préfèrerais utiliser le mot routine, n'en déplaise à certains du coin.

Que dire de plus ?

Cette année, les traditionnelles pontavénus-beautés se sont laissées moucher par une redoutable concurrente.

En effet, l'ex-Présidente de la moribonde association "Pont-Aven, Patrimoine et Culture", est venue jouer la trouble fête en se faufilant dans la mêlée du spectacle de rue ...

... de rues dans un état d'entretien lamentable soit dit en passant.

Pour tout dire, je dois dire que j'ai été interloqué en prenant connaissance des articles de presse relatant cette intrusion, et je ne fus pas le seul.

Cette "Ex" semble se considérer comme le possesseur exclusif ...

Suite et fin demain matin

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Bravo !

Bernard BOUDIC a dédicacé il y a quelques jours à la Maison de la presse du bourg d'en bas de Pont-Aven, l'ouvrage qu'il vient d'écrire sous le titre : 

"Un château en Bretagne" ...

... "dans lequel il reconte le patrimoine et l'histoire mouvementée du domaine de Plaçamen à Moëlan-sur-Mer"

Bravo pour l'ouvrage,

Bravo pour cette dédicace proposée ... 

... dans la "Cité des ruines de Rustéphan"

De superbes ruines considérées par les vulgaires du coin comme un vulgaire tas de cailloux.
Le problème est que ces vulgaires parasites prolifèrent aussi vite que la mérule depuis 1985 : date du 1er agrandissement du musée.

Le seul antidote serait une bonne dose de Culture, mais dans ce trou de mauvaise peinture touristique, où s'est-elle cachée nom de dieu ?

Gast-à-gast, serait-ce : pauvre de nous, à Moëlan-sur-Mer ?

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Un coup d'épée dans l'eau ... de l'Aven

L'intention était bonne, mais cela ne suffit pas.
Ce coup d'éclat ... de rire ... se transformera bientôt en coups de tronçonneuse, et ce n'est plus une écharpe de laine - tricotée à la main ridée par le temps - enlaçant tendrement le vieil arbre condamné à mort, (voir la photo du jour) qui permettra de suspendre l'heure de la sentence.

Ce n'est pas non plus en lançant un second appel pathétique à la population afin que chaque pontavénounours soit invité à apporter ses vieux restes de sparadrap à la bonne cause, qui permettra de rastifoler une remise sur pied de notre illustre ARBRE de la LIBERTE, ...

... après le coup de grâce dont J.M. aura l'honneur de porter à la dépouille.

Pour moi, le mal a été commis le soir où le précédent Conseil Municipal a décidé de façon imbécile et précipité de créer un nouveau musée, sans avoir au préalable réfléchi sur la légalité ou non de cette décision, et sans même prendre le temps nécessaire pour évaluer l'ampleur des conséquences désastreuses de cette opération.

Moralité à déduire de cette scandaleuse CCânerie :

Si l'on n'en prend garde, la démocratie peut porter en elle le germe d'immenses irresponsabilités collectives.

Pont-Aven porte ce germe en elle.
Serait-ce la faute à Gauguin, ou aux jemenfoutistes du coin ?

Les deux mon capitaire.

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Plus belles ... les cavalcades (page n° 6)

L'une des promesse électorale de J.M. la tronçonne ... bientôt l'arbre de la Liberté :

"Créer des navettes entre les parkings touristiques et le centre historique de la ville"

Voilà une bonne idée de carnaval pour réaliser cette promesse ... de crottes de cheval.

N'est-ce pas J.M. la défense ... de nos LIBERTES REPUBLICAINES ...

...  et des p'tits ch'vaux du coin ?

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Plus belles ... les cavalcades (Page n° 5)

" Hue cocotte ! "

(Photos  Robert GRAVIER - suite -)

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La mascotte de Pont-Aven

Il y a deux ans, je rappelais ici le bon souvenir de la sculpture métallique représentant un cormoran mazouté* érigée sur les rives de l'Aven dans le jardin du bout du port, en mémoire du massacre de dizaines de milliers d'oiseaux de mer lors du naufrage du pétrolier Erika au large des côtes bretonnes en décembre 1999.

* Une œuvre de Del'Aune ayant obtenue un 1er prix d'ART 3D en 1997

(Cet artiste actif à Montjean en Mayenne est décédé en 2013)

Le précédent maire de la commune : dame la soutane pour ne pas la nommer, décida autoritairement de déplacer cet engin,

- A ces yeux, un sinistre tas de ferraille sûrement de malheur -

en un lieu éloigné du centre de la ville, et de façon que personne ne puisse le remarquer.

Combien de pontavénounours savent où se trouve cette œuvre artistique comme il y en a peu aujourd'hui à découvrir à Pont-Aven ?

Après les deux mandats de madame le maire de Pont-Aven, nous avons compris que pour elle, il ne pouvait y avoir d'Art que dans le domaine de l'Art sacré. 

Une vision bien restrictive de l'ART qui l'a porté à incruster de façon peu républicaine sur l'un des coteaux du port, une banale sculpture de Saint Guénolé. 

Il y a deux ans, je m'offusquais sur ce blog contre ces scandaleuses abominations.

Depuis, rien n'a changé.

La conclusion du jour :

Les jemenfoutistes de tout poil peuvent être assurés de trouver leur bonheur dans la cité des anciens artistes de talent.

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Ah Ah Ah ! les anciens canards des coins-coins du coin 

"NIMBUS - POPEYE et POUS'TIQUET"

Extrait du Télégramme : année 1947

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