La cité bretonne la plus paradisiaque au monde

C'est dimanche, aussi la CHARLIO'T a-t-elle  décidé de vous ouvrir son cœur.

"Je suis presque honteuse de vivre aujourd'hui dans la Cité bretonne la plus paradisiaque au monde alors que dans ce monde de fous furieux tout s'écroule autour des gens" : Nous dit-elle, de chez elle.

Qu'en pensez vous ?  braves gens pontavénizon'heureux.

Pour tout dire, de mon côté,  un doute m'habite :

En effet, j'ai reçu récemment des coups de téléphone d'anciens pontavénizonistes actuellement au Paradis.

Vous n'imaginerez pas ce qu'ils m'ont raconté ?

Il paraîtrait que chez eux, dans leur tribu des anciens du coin, il y a de plus en plus de jaloux contre les actuels habitants de leur ancienne commune, en raison de la vie paradisiaque dont bénéficie actuellement la population locale.

"Ces crétins doivent certainement lire les "BIMs" municipaux de là-haut" s'exclame : furax, le diable.

Conclusion générale de cette nouvelle : 

Gast ah gast ! Nous voilà bien dans le pétrin à Pont-Aven. Les foudres célestes risquent de nous tomber sur la tête !

"Pontavénizon'arts : Essayez d'être un peu plus discrets SVP" lance dans le BIM local, celui qui en use le plus.  

La réponse solidaire des vivants locaux à ce Maître d'Hôtel de Ville :

Mais monsieur le maire, c'est déjà ce que nous faisons bien sagement depuis bien longtemps afin que la commune puisse garder un peu de dignité,

... malgré les misères que les municipalité successives font supporter à la population locale.

"Dans ce faux paradis, ils sont tous idiots ou quoi ?"

" Il n'est pas question que je reçoive un jour ces couillons chez moi :

" Qu'ils aillent au diable ces bougres ! s'exclame, endiablé, le diable.

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L'été de tous les dangers nizoniais

Même les can'arts des coins-coins du coin se sont accaparés de l'affaire : 

Une affaire qui ainsi,

... loin de ralentir les esprits râleurs :

... Gast ! : Se sont brusquement emballés.

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ET si l'idée de la municipalité avait été pour cet été 22 bien pourri,  de proposer au nizonais de se cultiver pour une première fois "culturellement",

...  en leur proposant une Grande Exposition d'Œuvres Monumentales Con...temporaines  "hors les murs" des musées de la Cc'â ?

Ce moche truc-machin pas chouette : Ça pourrait ressembler à quoi d'autre ? 

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L'été 22 ? : Oui, il y en a même qui s'expriment dans la presse en parlant de : 22, V'là les gendarmes  ! (lire l'article de presse concerné)

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Les questions d'un immense Artiste étranger à Nizon du jour :

Mais pourquoi se contenter de si peu de sculptures monumentales monsieur le maire ? se demande Maître Andy, pas jaloux du tout. 

La commune n'aurait-elle pas d'autres vieux machins-trucs-muches en dépôt pour en présenter toute une flopée dans tous les coins dangereux du bourg-d'en-haut préféré des minables copieurs de mes tableaux ?

Même pas quelques vieilles croûtes "peinturlureuses" en souffrance dans des hangars agricoles de coin ? 

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La boîte à lettre des dénonciations des pourritures locales

La municipalité a le secret désir de poursuivre la construction des passerelles construites il y a environ 30/40 ans en plein centre de Pont-Aven au-dessus du lit de l'Aven (la promenade Xavier Grall) jusqu'au moins le vieux Moulin Neuf.

Ce n'est plus un secret pour ceux qui lisent régulièrement ce blog de merde !

Le dilemme pour elle est que la commune n'a déjà même plus les moyens d'entretenir correctement les boiseries des planchers de l'existante ?

Allez le constater vous-même.

De surcroît, je "crois" que les règlements d'urbanisme nationaux n'autorisent plus ce type de saccage mortifère pour l'environnement. 

La conclusionette du jour : 

Les deux inutiles passerelles que la municipalité vient de faire construire sur le ruisseau du Penanros, n'ont-elles pas suffit pour satisfaire leurs coûteuses passerellistes obsessions délirantes ?

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Les "Arts de rues " à la sauce pontavéniaise

Rien que dans le centre du bourg d'en bas de la commune, il y aurait de quoi présenter une grosse et grasse exposition de photographies consacrée aux innombrables traces d'affreuses vieilles peintures autant débiles qu'indélébiles restant visibles sur ses chaussées.

Le tout lié à la Grande Histoire des incessantes et hystériques décisions municipales en matière de circulation et de stationnement.

Un horreur monumentale qui en dit long sur la faiblesse des capacités de réflexion et de gouvernance des municipalités successives.  

La conclusion du jour :

Collectionneurs d'arts : vous cherchez à vous gaver de peinturlure durant vos vacances ?

Venez fouiner à Pont-Aven, vous en serez comblés :

Il y en a pour tous les mauvais goûts !

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Pont-Aven en 1932 : Petit souvenir festif

Document du jour :

Une coupure de presse "vintage"

Qui se souvient de Monsieur De Ponfilly ?

Un grand homme pourtant pour Pont-Aven à son époque.  

A retenir aujourd'hui :

Vous retrouverez l'affiche de cette animation sportive dans l'exposition que je présente à la Médiathèque depuis le début juillet jusqu'à la fin de ce mois d'août.

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L'été 2022 Nizoniais en photos

De nouveaux ralentisseurs viennent d'être installés tout récemment dans le bourg de Nizon.

Un peu plus ou un peu moins de conneries : Peu importe du moment que ça ne change pas grand chose aux vrais problèmes de la dangerosité de la traversée de ce bourg endormi, 

... et surtout : Que cela n'a pour effet concret que de faire râler tous ses usagers !

je pense en particuliers aux gros engins agricoles devant le traverser en période de moissons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Depuis le règne de dame la soutane, il ne se passe pas une année sans que : Sans le moindre succès réel, de nouvelles stupides idées de sécurisation ne soient expérimentées dans sa traversée. 

Il n'y a plus rien de nouveau dans ce bled, autre que des aménagements routiers communaux hautement disgracieux, fondés sur des interdictions en tout genre.

je ne vais pas vous enquiquiner une nouvelle fois, en vous disant que seule une déviation de ce bourg permettrait de régler ce problème. 

Non, mais tout de même, l'installation d'un simple petit rond-point à l'emplacement de l'ancien second calvaire de ce bourg minimiserait déjà de façon appréciable cette dangerosité.

Le problème adjacent consisterait à régler la nécessité de construire de nouveaux stationnements en remplacement de ceux que le projet de rond-point ferait disparaître. 

Alors que déjà, depuis la prise du pouvoir communal par notre cher Maître d'Hôtel de Ville, d'utiles places de stationnement de proximité ont disparu de ce bourg en grande souffrance.  

Et puis,  dirais-je pour conclure cet article :

En matière d'abominables mochetés urbaines, cette nouvelle installation vient : haut la main, parfaire l'affreux tableau noir de la commune.

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Le grand concours de photos des mochetés pontavéniaises de l'été 22

J'ai découvert une perle rare devant les entrées "champêtres" de deux des trois hospices du coin.

L'une des innombrables perles d'inculture esthétique routière locales, d'une laideur calamiteuse pour l'image contemporaine du pays préféré des peinturlureux sans talent.

Depuis 1985, les successives municipalités de Pont-Aven n'auraient elles pas perdu le sens des esthétiques urbaines acceptables par tous les gens sensibles à leurs environnements ? 

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"Chouette de Grand Duc'on !" s'exclamer mon vieil appareil de photos : 

Je vais sans aucun doute gagner ce concours à la con. 

Pour l'encourager je lui réponds qu'il ne peut que gagner : 

... car il est le seul à participer à ce grand concours de vérités locales.

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L'été 2022 Nizoniais en photos (Suite)

Beauté divine : Une Façade et ses bidules, à classer incontestablement Monument Historique.

La seule chose agaçante à mes yeux noirs, étant que contrairement au bourg d'en bas de la commune où tous les bacs à fleurs communaux ont été enlevés en raison de la sécheresse, ici dans le bourg d'en haut, l'on vient tout récemment d'en implanter sur la voie publique devant l'antre des Z'hangardiseux.

Je suppose qu'en arrosant ces fleurs de jardineries avec l'eau des bénitiers de l'église, dieu leur pardonnera cette grave faute !

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Attention aux orages

Ils sont annoncés pour cette nuit et durant toute la semaine à venir sur notre secteur.

Il est donc possible que nos accès à internet soient perturbés durant ce temps.

Dans ce cas, ce blog le sera probablement également, ma ligne téléphonique étant très sensible à ce type de situation locale.

A demain, j'espère.
Gérard BERTHELOM

Les 1ers dimanches des mois d'aoûts pontavénains

Un sujet tellement copieux dans le temps, qu'il y aurait de quoi écrire un ouvrage patrimonial sur les origines de la notoriété mondiale de Pont-Aven durant les quatre cinquièmes des années du XXième siècle. (de 1905 à 1985)

Une notoriété redevable principalement au fondateur de ces dimanches particuliers. 

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Non CHARLiO'T : Gauguin n'a pas sa place dans ce calendrier.

Je le sais :  Mon article n'intéressera donc personne, et c'est pour cela que je l'écris.

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L'homme providentiel de cette notoriété fut le Barde Théodore BOTREL : N'en déplaise à ses innombrables détracteurs.

Cela rappelé en préalable, que puis-je raconter sur celle qui s'est déroulée cette année, alors même que je ne me suis pas rendu ... comme la plupart des gens du coin.

On est loin, très très loin  même depuis des lustres, de l'exaltation et la ferveur que portaient autrefois (avant 1985) la population locale sur cette renommée ancienne fête populaire. 

Il est remarquable que cette année, le journal Ouest France n'ait proposé qu'un maigrichon résumé du déroulement de la dite (dé)fête publié que jeudi dernier, en ne recopiant en fait que le programme qu'il avait annoncé la semaine précédente sans plus. 

Il faut bien dire aussi que la page du Télégramme s'y rapportant, restera l'un des documents "collectors" les plus singuliers de tous depuis 1905, en raison des nombreux "blancs" s'illustrants entre les photographies de la fête !

Gast ! il fut bien difficile à notre chère correspondante d'écrire un texte pas trop éloigné de la triste réalité de la faiblesse de son déroulement.

A comparer avec les anciennes pleines pages d'éloges de ces deux journaux !

En réalité, de nos jours le tourisme de masse tant aimé par la municipalité et ses acolytes Poulguinistes, ne déboule plus à Pont-Aven que lors des marchés du port des matins des mardis d'été.

Pour eux, le grand jour de Fête de notre trou est le mardi : Point barre !

C'est ce type de manifestation débile autant que factice qui a remplacé les anciennes dynamiques animations patrimoniales, culturelles et festives, menées autrefois par la population locale.

Cette population, totalement dégoûtée, ayant déserté celles de ce siècle en cours.   

Mon interpellante conclusion du jour :

N'était-ce pas la fête de trop, venant gâcher la longue et riche Histoire des Grandes Fêtes Folkloriques Populaires Bretonnes inventées par Botrel ? 

Qu'en penses-tu monsieur le maire ? : Toi qui te préoccupes tant de la déchéance prononcée de ta commune, et des désarrois de tes concitoyens.

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