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Des initiatives patrimoniales et culturelles autant louables que "bien de chez nous"

Publié le par chercheur d'histoires

1946

1946

Des initiatives patrimoniales et culturelles autant louables que "bien de chez nous" 

Ça arrive encore parfois à Pont-Aven.

En effet :

- L'historien Cyrille MAGUER vient de publier un ouvrage sur "Pont-Aven-Nizon"

Amateurs de connaissances sur la mémoire collective des anciens habitants de la Cité des Moulins, lisez-le avant de le classer dans votre bibliothèque auprès des autres ouvrages de cette bonne nature.

Mais ne le prêtez surtout pas à J.M. et sa clique,

... ils seraient capables de le mettre au feu,

... la maîtresse au milieu !

Suite et fin demain matin

--------------------------------------------------------------------------------------------------------En hommage au "feu" Café du Centre, la CHARLiO'T a une colle Traou Mad In Pont-Aven à vous poser :

C'était quoi le "café téléphonique" de chez Boulidor ?

...
...
...
...
...
...

Une tasse de "café à l'eau", servie avec un morceau de gâteau breton

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Au feu les pompiers

Publié le par chercheur d'histoires

Au feu les pompiers

Au feu les pompiers

Cette semaine, un incendie a ravagé un important hangar à foin de la ferme de Kervern à Trégunc.

Un lieu situé en limite de Pont-Aven et de Névez, mais également à la lisière de la vaste et remarquable Zone Boisée Classée très inflammable de Kerminaouët, et à un cheveu près du camp des mille mobil-homes plastifiés de kerlann.

Les casernes des pompiers de Concarneau, Quimper, Bannalec, Quimperlé, et Moëlan ont déployé des forces d'interventions sur les lieux du sinistre ...
... mais pas celle de la plus proche commune  : C'est-à-dire  Pont-Aven.

Pourquoi cette inattendue défaillance locale ?

J.M. : Pourrais-tu STP nous renseigner sur les capacités réelles de Pont-Aven pour intervenir en urgence, en force, et à tout moment, en cas d'un sinistre comme celui-là ?
... dans le musée de la CC'ânerie par exemple ? 

Ne trouvez-vous pas que les municipalités successives de la Cité sus-citée à la barre, comptent de plus en plus sur les communes avoisinantes pour assurer dans tous les domaines de la vie locale les fonctions que Pont-Aven n'est plus en mesure de mener normalement.  

Pontavénounoursons : malgré ce "minuscule" incident,

.... continuez donc à dormir tranquillement, 

... de la ouate dans les cornets et un casque anti-bruit sur la tête :

... L'Ange Gardien de Pont-Aven veille sur vous !!!

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Ni à gauche, ni à droite, mais plutôt tout droit dans le mur du son.

Publié le par chercheur d'histoires

Ni à gauche, ni à droite, mais plutôt tout droit dans le mur du son.

Ni à gauche, ni à droite, mais plutôt tout droit dans le mur du son. 

... (censuré) ...: il ne te reste plus que 18 mois pour accomplir la grande mission que t'avait confiée un quart des plus minables pontavénizoneux lors des dernières élections municipales.

Quelle mission se demandent soudainement ces fauteurs de troubles ?

Celle de transformer la commune en une luxuriante plantation de pieux métalliques.

"Une sorte de bois des amours ferrugineux" comme le dit la prêtresse CHARLiO'Tétine, avant d'ajouter dans la foulée : 

Grouilles-toi le cul mon vieux piteux, il ne te reste plus beaucoup de temps pour planter des panneaux d'interdiction devant toutes les entrées des établissements pontavéniais ...
...  non conformes aux règles en vigueur en matière d'accessibilité des personnes à mobilité réduite. 

Des panneaux d'interdiction d'accès aux handicapés, bien entendu :
Bien entendu, même si vous êtes aussi sourdingue qu'un vieux un pot de peinturlure oublié par PGO dans sa précipitation à fuir la future Cité des anciens Peintres de talent.

En effet ma chère pontavénus-beauté, si ces infâmes maisons discriminantes pouvaient être interdites d'accès aux culs-de-jatte par décision municipale, je ne vois pas pourquoi les abjects propriétaires des lieux seraient tenus de dépenser des sous pour effectuer des travaux de mise aux normes ...  strictement obligatoires ?

Y compris devant la porte de l'enfer se demande une CHARLiO'T qui pense déjà à ses vieux jours heureux à Pont-Aven.

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Lu dans la presse régionale cette semaine :

Test d'accessibilité :

Dans plusieurs ville bretonnes, l'Association des Paralysés de France ont contrôlé, en fauteuil, l'accessibilité des boutiques de centres-villes.

Heureusement pour certaines boutiques de Pont-Aven que leur commune n'est plus considérée comme une véritable ville depuis qu'elle n'est plus chef-lieu de canton !!!

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Ni à gauche, ni à droite, mais plutôt tout droit dans le mur

Publié le par chercheur d'histoires

Les planteurs de piquets ...

Les planteurs de piquets ...

...  viennent une nouvelle fois de sévir.

... viennent une nouvelle fois de sévir.

Ni à gauche, ni à droite, mais plutôt tout droit dans le mur.

Ça plante grave des piquets dans tous les coins du beau Pays des Moulins :  vous ne trouvez pas ?

C'est normal" me répond la CHARLiO'T, "Il faut bien que ... (censuré) ...respecte au mieux le caractère naturel des environnements remarquables de son pays ...
... afin que les touristes puissent prendre de magnifiques "photos souvenirs" de la Cité des anciens Peintres de talent" ...
... et que les nouveaux Gauguin puissent peindre les nouvelles couleurs chaudes de nos Sites Protégés par des ânes !!!

... (censuré) ... avait sûrement raison d'écrire dans son dernier Bulletin de désInformation Municipale que Pont-Aven est une Cité Idéale où il fait bon vivre ...
... dans un environnement naturel préservé !!! 

Vous commencez tous à râler, mais je pense que vous n'avez sans doute pas compris : pour l'instant, que Notre Grand-Maire a inventé une nouvelle formule à la soixante-huit'tarte :

"Il est interdit de ne pas interdire"

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°6)

Publié le par chercheur d'histoires

Plan d'implantation du bâtiment en limite du "lai de mer"  signé le 14 août 1899

Plan d'implantation du bâtiment en limite du "lai de mer" signé le 14 août 1899

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°6)

5° : Fin 1906, Madame le GOFF, nouvelle propriétaire, sera autorisée par Arrêté Préfectoral en date du 30 novembre 1906, à poser des dalles granitiques sur l'emprise de cette occupation temporaire du Domaine Public.

6° : Le 6 avril 1924,  Monsieur LACROIX, nouveau propriétaire,  sera autorisé à élargir le trottoir de 2 mètres  pour le porter à 3 mètres.

7° :  En 2001, un Arrêté Préfectoral autorise le propriétaire de construire une véranda en dur sur l'emplacement de cette portion de Domaine Public Maritime considérée par erreur comme nous venons de le démonter, comme la propriété privée du pétitionnaire.

En outre, selon la prescription de monsieur l'architecte des Bâtiments de France, les trois tilleuls à abattre qui existaient en limite extérieure du trottoir devaient être remplacés par trois nouveaux à implanter à proximité des lieux.

Cette prescription ne fut pas respectée.   

Conclusions :

Sachant que le Domaine Public Maritime est imprescriptible et inaliénable, la terrasse/vérandas actuelle de l'Hôtel des Mimosas est manifestement construite sur ce D.P.M.

Pour autant, il faut reconnaître que les propriétaires actuels ne sont pas les fautifs des lourdes fautes  commises dans le passé. Ils n'en sont que les héritiers.

Dans une affaire similaire, j'avais proposé de régulariser la situation en accordant une concession d'occupation temporaire renouvelable afin de ne pas détruire un bâtiment commercial d'intérêt général pour la commune en cause.
C'est tout ce que je peux déclarer aujourd'hui sur cette affaire : une fois de plus bien pontavéniaise.

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°5)

Publié le par chercheur d'histoires

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°5)

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°5)

Mais ce n'est pas tout :

Cette affaire me rappelle une autre du même type qui se déroula, il y a presque 20 ans, sur le port au niveau du lieudit "Les sapins" durant le règne de la famille Rivet.
A l'époque, plusieurs personnes du voisinage manifestèrent leur désapprobation, mais elles ne furent pas écoutées par les autorités.

En qualité d'ancien expert judiciaire expérimenté, et après de longues recherches d'archives, j'ai constitué un sérieux dossier non contestable, faisant toute la lumière sur la réalité de cette seconde scandaleuse affaire de grignotage.

Le grignotage du Domaine Public Maritime du port de Pont-Aven : 

1° : Le 29 janvier 1897, Madame Veuve LE DŒUFF  sollicite auprès du service des Ponts et Chaussées, la délivrance de l'alignement à suivre pour la construction d'une maison qu'elle doit édifier sur sa propriété située  au lieu dit "les Sapins" en limite du "lai de mer" du Port de Pont-Aven.

Un Arrêté Préfectoral d'alignement* lui est délivré le 30 juin 1897 selon un plan côté joint dressé le 17 juin 1997    

* Portant délimitation entre la propriété de dame Le Dœuff et le lais de mer du port.

2° : Le 15 juin 1899, elle renouvelle sa demande.
Un second Arrêté Préfectoral d'alignement lui est délivré le 26 août 1899 selon un second plan côté joint daté du 14 avril 1899.

3° : Le 26 décembre 1901, Monsieur BLONDIN, le nouveau propriétaire du terrain, sollicite

une troisième demande de même nature.

Par la même, il sollicite également l'autorisation de construire un trottoir de 2 mètres de large  devant la maison. (futur Hôtel terminus : l'actuel Hôtel des Mimosas) 

Un rapport de l'ingénieur des Ponts et Chaussées daté du 5 février 1902,  signifie au pétitionnaire que le "lai de mer" précité a été délimité par décret en date du 15 novembre 1901.

A cette réponse est joint un nouveau plan d'implantation de la construction envisagée en bordure de ce "lai de mer" daté du 5 février 1902, identique au précédent.

- Le récolement de l'implantation de la façade du bâtiment a été effectué par le service des Ponts et Chaussées le 08/10/1903.

Parallèlement il lui est signifié qu'il y a lieu de surseoir à sa demande de construction d'un trottoir (sur le domaine public) le long de la façade de sa future construction en attente de la concession par l'Etat à la commune de Pont-Aven du "lai de mer" concerné.

4° : Le 11 juin 1902, Monsieur Blondin sera cependant autorisé à implanter une banne

au-dessus du trottoir de deux mètres de largeur.

 

Suite et fin demain matin

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°4)

Publié le par chercheur d'histoires

Extrait du plan du projet de percement de la rue du port de 1843

Extrait du plan du projet de percement de la rue du port de 1843

Le 10 octobre 2018 à 17h20, au plus haut d'une marée de 108

Le 10 octobre 2018 à 17h20, au plus haut d'une marée de 108

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°4)

Le bétonnage du Domaine Public Maritime du port de Pont-Aven :

Durant ma carrière professionnelle, je suis parfois intervenu à la demande du Tribunal Administratif et du Service des domaines, afin de constater et de délimiter le ligne formée entre la mer et quelques propriétés privées. 

Y compris dans le coin d'ailleurs.

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Voir la célèbre ordonnance  "COLBERT" du 31 juillet 1681, toujours en vigueur en la matière.

Une  loi du 28 novembre 1963 inclut dans son champ d'application les lais et les relais de la mer.

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Revenons à nos saumons :

L'autorisation de la police des eaux susvisée porte sur un espace qui manifestement pose la problématique de cette délimitation du D.P. Maritime.

Manifestement personne n'en a tenu compte.

A chaque grande marée, le Moulin EVEN et ses ouvrages extérieurs sont pourtant atteints par la mer sur trois* de ses faces, y compris sur l'emplacement de la nouvelle terrasse que je conteste.

 il en est de même concernant les gros rochers situés de l'autre côté de la rivière sur lesquels des travaux de construction d'un mur de soutènement sont en cours.

C'est ce qui s'appelle "du bétonnage du rivage" partout ailleurs qu'à Pont-Aven !!!

Ce problème concerne donc en premier chef : et le Service des Domaines, et le Conservatoire du Littoral.

Ces services d'Etat vont-ils réagir ?

un doute m'habite.
En tous les cas, en qualité de lanceur d'alertes graves, j'ai signalé l'affaire au service d'urbanisme de Pont-Aven et je n'ai pas l'intention d'en rester là.

Mais ce n'est pas tout :

A suivre demain

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le document du jour :

Extrait du plan du percement de la future rue du Port, joint à l'Ordonnance Royale du 21 /07/ 1843 d'approbation de ce projet. Sur ce document topographique, je constate qu'à l'époque, le petit Moulin EVEN était presque en totalité entouré par les eaux du port à marée haute.

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°3)

Publié le par chercheur d'histoires

Le site remarquable du Moulin de la Porte Neuve serait-il lui aussi en danger ?

Le site remarquable du Moulin de la Porte Neuve serait-il lui aussi en danger ?

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°3)

Une histoire en béton :

Du béton coulé dans un secteur ultra-sensible de la commune du point de vue environnemental.

Un acte frauduleux car il aurait dû être précédé : soit d'une autorisation de travaux, ou plus exactement à mon avis, de la délivrance d'un permis de construire.

Or, l'autorisation obtenue du "service de police des eaux" ne porte que sur :

1° Sur l'amélioration de la continuité écologique (saumons, anguille ....)

Sachant qu'à cet endroit, cette continuité écologique n'a jamais été perturbée par quoi que ce soit depuis la nuit des temps ! 

2° Sur la restauration patrimoniale des ouvrages du moulin (Seuil, vannes, roues)

Soit donc des travaux ne concernant que des éléments préexistants. 

3° Sur la sécurisation de l'entretien des vannes (anciennement) usinières.

Le dernier meunier du moulin : mon oncle Louis LE BEC, n'a jamais été en danger en entretenant ces vannes durant toute sa vie de meunier. 

Sachant en outre que de mémoire de Pontavénain, aucune des anciennes laveuses de Pont-Aven qui travaillaient sur les chaussées des huit moulins ne s'est noyée dans la rivière en y lavant son linge.

Ainsi, sommes-nous bien obligés de constater qu'aucune autorisation de construire ne porte sur le coulage d'une dalle sur la rivière.

De surcroît, selon l'autorisation accordée :

"Il convient dans la mesure du possible de modifier le moins possible l'aspect naturel des lieux"

Imaginez la même pratique délictuelle se développant ailleurs sur la rivière, et en particulier en amont du Moulin de la Porte Neuve, ou encore le long du Moulin de Rosmadec, ou du Restaurant du Pont ?

Ce type de saccage pourrait-il être acceptable pour l'un, sans l'être aussi pour les autres ?

Cette question me porte 20 ans en arrière en me rappelant une autorisation municipale accordé à un propriétaire pour construire une passerelle privée sur la rivière, rejoignant la promenade Xavier GRALL et un restaurant en construction dans le centre de la ville.

A l'époque, (c'était durant le triste temps du règne de la famille Rivet) je déclarais qu'une autorisation de cette (dé)nature ne pouvait juridiquement et moralement se décider que si elle correspondait à un acte d'intérêt général pouvant se renouveler tout le long de la rivière.

Dans le cas contraire, l'autorisation se caractérisant comme un privilège.  

Cette autorisation ne fut d'ailleurs finalement accordée qu'à titre temporaire.

Qui s'en souvient ?

"J.M. ou sa mini-ministre à l'urbanisme forcement ?" me déclare la CHARLiO'T

A suivre demain

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°2)

Publié le par chercheur d'histoires

Marée basse lors de la  sécheresse de l'été 2018

Marée basse lors de la sécheresse de l'été 2018

Même vue lors de la marée de 108 du 10 octobre 2018 à 17h20 ?

Même vue lors de la marée de 108 du 10 octobre 2018 à 17h20 ?

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°2)

Je rappelle qu'il y a presque 20 ans : à l'époque du règne de la famille Rivet, j'avais proposé d'établir "gratuitement" un mémoire sur les difficultés juridiques particulièrement complexes des droits de propriété de la rivière.

Une situation juridique issue du droit ancien breton. 

Une situation particulièrement problématique relevant à la fois : et du droit de propriété moderne, et des us et coutumes ancestrales en matière d'usages souvent propres à chaque paroisse, à chaque fief, à chaque village.

Un travail en profondeur que j'aurais essayé d'effectuer en concertation avec les propriétaires de moulins bien évidemment. 

Un mémoire à peu près identique à celui que j'avais établi sur les majestueuses ruines de Rustéfan, qui finalement : après bien des tergiversations stériles de dame la soutane, seront reconnues "bien sans maître" avant d'être attribuées au domaine privé de la commune. 

Hélas : Depuis, dans ce trou du cul mal léché, tout le monde s'en branle. 

Cela dit, aujourd'hui les antiques ouvrages d'art de la rivière se dégradent de façon accélérée et au même rythme que ces ruines.

Dans sa portion urbaine, l'Aven avait été il y a bien longtemps, entièrement modelée par l'homme : ne l'oublions pas.

Le temps de la réflexion ne serait-il pas venu en comprenant enfin que ce n'est plus les propriétaires des moulins qui pourraient arrêter le désastre général ?

Depuis le début de ce siècle, il aurait d'ailleurs été utile de réfléchir avant de mettre à la tête de la commune des bandes de corniauds autant inconsistants qu'incapables de régler le moindre problème communal un peu sérieux.

Ce serait aujourd'hui à la municipalité, assistée par les pouvoirs publics, et avec le soutien de la CCA, d'intervenir et de mener dare-dare une action de sauvegarde globale du patrimoine remarquable de la rivière.

L'idéal aurait été que les municipalités successives se rapprochent des propriétaires à chaque fois que les moulins étaient mis en vente afin de négocier à l'amiable l'éventuel achat par la commune des canaux et autres ouvrages liés aux anciennes fonctions de ces édifices.

Une telle action n'a été menée que lors de la vente de l'ancien Moulin LIMBOUR.

Hélas, depuis les élustupides du cru ont la tête plongée dans des pots de peinturlure, et non plus dans des projets d'avenir dans l'intérêt général de la commune, de ses habitants, et de son environnement.

Que voulez-vous : L'appauvrissement général culturel et patrimonial dans la commune a atteint des sommets vertigineux infranchissables.

N'est-ce pas monsieur le vertigineux maire ?  

A suivre demain : Ça va chauffer !

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L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (page n°1)

Publié le par chercheur d'histoires

Serait-ce la construction d'un abris pour les soûls marins de l'Aven ?

Serait-ce la construction d'un abris pour les soûls marins de l'Aven ?

L'histoire contemporaine des saumons de l'Aven (Page n°1)

A Pont-Aven tout est foutu. Cependant tout n'est pas perdu. 

En effet, une nouvelle voie vient de s'ouvrir ...
... par la création d'une nouvelle brèche dans le respect des lois sur la protection des patrimoines urbains et environnementaux de Pont-Aven.

"Qu'elle est cette voie  ?" me demande la CHARLiO'T
"Recouvrir la rivière de dalles de béton"

Tout le monde y pensait depuis bien longtemps, mais personne n'avait osé le faire jusqu'à présent.

Et bien ça y est, le pas "de trop" est franchi.

 Aussi, et forcément en qualité de lanceur d'alertes, je me dois de réagir avec force.

Autant j'étais heureux que le canal d'amenée, la chaussée, les déversoirs, les vannes et les roues décoratives de l'ancien Moulin EVEN soient restaurés selon les règles de l'art,

(voir précédemment sur ce blog)

autant je suis furieux de remarquer que ces travaux sont également le prétexte pour couler une dalle de terrasse commerciale sur le lit de la rivière.

Mon instinct civique me porte donc à réagir.

Rappel de circonstance :

- Sachant que je mène de façon intensive depuis 20 ans des actions patrimoniales et culturelles pour la sauvegarde et la mise en valeur des multiples patrimoines singuliers de la commune.

- Sachant également que je mène parallèlement des actions civiques militantes contre les détournements des lois liées à la construction et à l'urbanisme dont je fus l'un des experts judiciaires bretons durant ma carrière professionnelle :

Le tout dans l'unique intérêt général de la commune et de sa population,

je rappelle qu'il y a presque 20 ans, sous le règne de la famille de Rivet, ...

Suite demain matin

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