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L'aménagement du territoire selon la CCÂnerie

Publié le par chercheur d'histoires

De la muraille qui pousse comme des pouces-pieds sur les rochers du littoral

De la muraille qui pousse comme des pouces-pieds sur les rochers du littoral

L'aménagement du territoire selon la CCÂnerie

Jean-Marie LEBRET et sa patronne de maire de Pont-Aven avaient tout prévu lorsqu'ils avaient approuvé -sans restriction- le SCOT de la communauté de communes.

Ceux qui lisent ce blog ont pu lire ou relire récemment les principales horribles dispositions qu'ils ont adoptées.

Qu'en est-il de la régulation des transits des véhicules sur le territoire de la communauté ?

Leur objectif en ce domaine est d'orienter prioritairement tous les investissements de la CCA vers la redynamisation du pôle principal : c'est-à-dire : Concarneau et ses deux satellites : Rosporden et Trégunc. Cet objectif ayant pour but de concentrer l'ensemble des activités humaines (hors activités agricoles) sur ce pôle afin de limiter : entre autres, les déplacements des véhicules.

Ce que les élus pontavéniais ont oublié est que selon ce schéma écologique, les habitants de leur commune n'auront bientôt plus de commerce et de services publics ou privés de proximité à leur disposition,

... les obligeant ainsi à prendre leur voiture à tout bout de champ afin de satisfaire leurs besoins les plus élémentaires.

Il en est déjà de même depuis longtemps en matière d'emploi, mais ça, ne le répétez pas, les élustupides ne le supportent pas.

La seule disposition prévue dans ce SCOT est d'aménager des pistes cyclables entre Pont-Aven et Concarneau en passant par Névez puis Trégunc. 

... à l'ancienne comme le petit train !!!

Conclusion :

Très bientôt, à l'allure où tout disparaît dans le trou de peinturlure, les pontavénizoneux n'auront plus d'autres choix que de prendre de bonnes bolées de SCOT(ch) avant de se déplacer à pied.

"A pied pour aller acheter des pouces-pieds à Concarneau ? " se demande la CHARLiO'T

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A Noël le Père Noël descendra-t-il en gilet jaune ?

Publié le par chercheur d'histoires

Juillet 2001

Juillet 2001

A Noël le Père Noël descendra-t-il en gilet jaune ?

"Mais non couillon, il n'a pas de bagnole " me répond l'effrontée CHARLiO'T

Je lui réponds du tac au tac à gratter qu'un doute m'habite, car aujourd'hui, ce sont les médias qui décident de ce que leurs fidèles téléspectateurs doivent penser.

Ecoutez à la TV les grands journalistes nationaux le lundi matin de bonne heure, et vous connaîtrez le sujet unique qu'ils vont nous balancer de façon hystérique toute la semaine.

Toute la semaine dernière, vous avez ainsi dégusté du gilet jaune.

Bon : Une journée sans circuler : c'est bien, mais ce serait infiniment mieux si l'opération se renouvelait indéfiniment une fois toutes les semaines, puis deux fois, puis trois fois etc. jusqu'à la fin du monde pétroleux.
Là je serais d'accord avec mon téléviseur-imposteur car cette action citoyenne serait bon pour nos portes feuilles et surtout pour le sauvetage de la planète des singes.

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"Mais était-ce cela le but de l'opération ? me susurre cette fois inquiète la CHARLiO'T.

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Que puis-je lui répondre ?

"En France, on n'a pas de pétrole mais des idées" disait-on au temps de Giscard.

Aujourd'hui, notre cher pétrole est cher payé, et manifestement l'on est trop pressé pour ne pas pouvoir s'en passer.

En ce qui me concerne, et sachant le peu de temps qu'il me reste à circuler en voiture sur cette terre, je ne devrais plus beaucoup participer à la destruction du globe.

... Cependant, depuis la limitation de la vitesse de nos départementales à 80 Km/h, la probabilité de me retrouver un jour à voler vers le trou d'ozone du ciel en fauteuil roulant à l'eau de pluie, s'éloigne de mon horizon.

Et puis, parmi les 200 000 gilets jaunes et autres épouvantails qui ont fleuri nos routes départementales ce week-end, il devait bien en avoir deux ou trois ...
... à avoir quelques fois été verbalisés pour excès de vistessssssse ...
... c'est-à-dire, pour consommation d'essence excessive ! 

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Et puis, dernière chose : c'est aussi durant la présidence de Giscard que la grande et géniale idée de "l'Aménagement du Territoire " avait été lancé !!! 

L'aménagement équilibré des territoires de la France pouvait-on lire dans la presse.

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"D'une voix assourdie par les gaz du front des Dardanelles"

Publié le par chercheur d'histoires

Publication du 07 mars 1915

Publication du 07 mars 1915

L'inventeur du show business

L'inventeur du show business

"D'une voix assourdie par les gaz du front des Dardanelles"

"Des chansonnettes d'une voix assourdie par les gaz du front des Dardanelles"

Une Paimpolaise devenue célèbre dans le monde entier vendue à 950 000 exemplaires.

Notre Johnny Hallyday breton sur tous les fronts durant la Grande Guerre.

Enorme le bonhomme.

Enorme l'hommage National qu'il reçut dans la presse internationale lors de son enterrement à Pont-Aven en 1925

Gigantesque celui de l'érection de sa statue en 1932 dans le luxuriant Parc Boisé du port devenant le "SQUARE BOTREL". Un hommage de Maréchal des Armées pourrais-je presque dire.

Une Statue digne d'un Amiral de la Nation sans aucun doute.

Jusqu'en 1985, aucun pur pontavénin ne l'avait oublié. 

Bien au contraire, la population lui accordant à toute occasion une ferveur bien méritée et sans égal dans la région. 

Jusqu'en 1985, il n'était surtout pas question de gommer son rôle déterminant dans la notoriété internationale de son pays d'adoption. 

L'année du centenaire, n'était-elle pas l'occasion de restaurer l'image de ce géant ?

"Oui mais où, quand, comment, avec qui ?" se demandent en chantant les belles filles du Pays des Moulins.

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Botrel accompagné de son groupe folklorique reçu comme un Roi en Suisses

Botrel accompagné de son groupe folklorique reçu comme un Roi en Suisses

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14/18

Publié le par chercheur d'histoires

14/18
le même texte en clair

le même texte en clair

14/18

Pont-Aven :

Le souvenir d'un grand 11 novembre ... d'espoir pour l'humanité ?

Ce serait beau.

J'observe qu'un :  
"Un arbre du centenaire planté pour la paix" a couronné la cérémonie du souvenir.

Bravo, le passéiste borné que je suis ne peut qu'approuver le symbole, mais tout de même ? ...

...  Pont-Aven ne pouvait-elle pas se distinguer autrement qu'en plantant un "olivier " à l'entrée du cimetière ? 

Mon cerveau d'andouille purée beurre rance bouillonne, et du coup ma tension grimpe à 14/18.

Tout d'abord, je remarque que dans toutes des autres communes du coin, des associations patrimoniales soutenues par les municipalités se sont activées pour présenter d'émouvantes expositions en souvenir de la Grande Guerre.

"Pourquoi pas à Pont-Aven ?" me demande, scandalisée, la CHARLiO'T

Je lui réponds que ce n'est sans doute pas directement la faute des vrais et sincères patriotes de Pont-Aven.

- Ce n'est pas directement leur faute car la célèbre Cité des anciens Moulins a perdu la mémoire de la Grande Histoire de son pays.

- La population a totalement oublié cette mémoire car elle ne se transmet plus oralement. De surcroît, la commune ne dispose pas de bibliothèque interne qui aurait permis de  conserver précieusement les documents nécessaires à la conservation des écrits et ainsi, répondre aux besoins des activités patrimoniales et culturelles de ses habitants.

Comment dans ces lamentables conditions se ressourcer convenablement, afin de ne pas oublier : par exemple, cette tragique période de l'Histoire ?

Un arbre souvenir a été planté. J'approuve bien sûr, mais ne cache-t-il pas la forêt de tous les oublis de l'Histoire des habitants de la commune ?

L'histoire du massacre quasiment programmé des enfants du pays en 1870 ?

C'est la plantation d'une forêt de chênes "bien de chez nous" qu'il faudrait entrevoir.

C'est une Grande Bibliothèque de la passionnante histoire de la commune et de ses anciens habitants qu'il faudrait constituer.

C'est un grand meuble bibliothèque en chêne imputrescible de toutes les guerres ayant affectées les pontavénizoneux que la municipalité devait acquérir. 

Qui se souvient de la Guerre de la Ligue et ses ravages dans son chapitre pontavénin ?

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"Cet olivier du Centenaire est un symbole de paix et de longévité" 

En Corse sûrement, mais chez nous les Bretons, nos symboles végétaux sont autres. L'olivier ne représentant pour nous qu'un décors de jardin sophistiqué, proposé dans nos jardineries.

Par contre, ce producteur d'olives symboliserait parfaitement, même chez nous, notre attachement et nos valeurs humanistes envers tous les migrants du monde fuyant les guerres de religions ravageant leurs pays ?

Il aurait été beau que nos nouveaux anciens combattants plantent un message d'espoir de cette force aux générations futures.

J'ai lu dans la presse que quelque part ailleurs en Bretagne, une exposition est actuellement consacrée à la dure vie des femmes durant cette guerre. 

J'ai donc choisi de présenter aujourd'hui l'émouvant manuscrit d'une femme, d'une épouse, d'une mère, d'une grand-mère ? de Pont-Aven, écrit durant l'une des deux dernières guerres.

Demain j'extirperai de l'oubli notre Grand Héros National de la première guerre, notre Johnny du front, l'inventeur du Show Business comme vous le découvrirez.

A demain

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Des bouteilles à la mer (Page 10)

Publié le par chercheur d'histoires

"Et si nous vous contions notre rue"

"Et si nous vous contions notre rue"

N'oubliez pas cette EXPO ouverte tous les WE

N'oubliez pas cette EXPO ouverte tous les WE

Des bouteilles à la mer (Page 10)

Sur notre blog, nous avons inventé une CHARLiO’T à la suite des attentats contre

Le journal CHARLIE-HEBDO. (un journal qui n’a jamais été notre tasse de thé)

- - -  suite et fin - - -

 - Lorsque par exemple, monsieur le maire avait fait tronçonner illégalement des arbres du Square Botrel sans autorisation administrative préalable, nous avons pris le parti de l’appeler Jean-Marie la (... censuré ...), rappelant ainsi que d’affubler les gens de sobriquets rigolos était une très vieille tradition locale. : « bien de chez nous »

Nous avons en ce sens sur notre blog, publié plus de 700 anciens sobriquets locaux afin que chacun comprenne que les précédentes populations de Pont-Aven avaient l’intelligent sens de la tolérance réciproque.

- Lorsque nous créons nos surnoms nous nous appuyons exclusivement sur des postures ou des actes inadmissibles avérés des personnages visés.

Ce n’est pas directement les personnes, mais leurs condamnables attitudes que nous caricaturons, et non pas de façon fallacieuse mais de façon facétieuse.      

- Lorsque par exemple, Madame Biseau, le précédant maire, avait décidé de façon pas très laïque, de construire illégalement une tour (un mausolée avions-nous écrit), sur le flanc d’une des collines du Port pour y nicher une statue de Saint Guénolé, nous l’avions affublé du titre de dame la soutane.

- Lorsque nous sommes en pétard contre nos amis de Pont-Aven, nous les appelons  pontavénounours, … etc., etc., etc. :  La liste est longue.

- Notre blog a pris le nom de chercheur d’histoires parce que cette expression nous éclatait au visage à tout bout de champ.

- Lorsque nous traitons monsieur le maire de (... censuré ...) et sachant tout ce que nous venons de formuler à son encontre, il nous semble évident que nous lui rendons un grand service.

En effet :

Ou bien ce monsieur est un vrai (... censuré ...), et dans ce cas, sa responsabilité dans tout ce qui nous venons de révéler à son encontre en est atténué. (C’est d’ailleurs ce que nous pensons)

Ou bien c’est le contraire, et dans ce cas, sa responsabilité concernant le scandale de la construction du musée et de la Place publique adjacente est immense.

 De surcroît, Monsieur LEBRET occupe le poste d’adjoint à la Culture de la CCA. Un monde que manifestement il ignore.

 Nous pouvons nous permettre de déclarer publiquement cette réalité, car une part significative de nos actions patrimoniales et culturelles tendent :

1° : Vers le sauvetage des ruines de Rustéfan considérées par lui, comme il nous l’a déclaré lors d’une réunion électorale : «Un vulgaire tas de cailloux » 

2° : Vers l’acceptation par le conseil municipal, de la nécessité pour la commune de se doter « enfin » des structures architecturales liées à la création d’associations patrimoniales et culturelles.

Ne serait-ce que pour remplacer les trois salles communales qui étaient réservées à la population et à ses associations locales, dans l’ancien Hôtel de Ville.

Toutes les communes avoisinantes ont créé ces dernières années des locaux adaptés à ce type d’usage. À Pont-Aven c’est le contraire, ils ont été détruits.   

Monsieur le maire vit manifestement à des années lumières de cette importante nécessité d’intérêt général pour sa commune et pour sa souffrante population.

Pont-Aven le 03 novembre 2018

 Gérard BERTHELOM

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Des bouteilles à la mer (Page 9)

Publié le par chercheur d'histoires

Des bouteilles à la mer (Page 9)
Des bouteilles à la mer (Page 9)

Des bouteilles à la mer (Page 9)

Nous terminerons notre envolée en abordant les problèmes rencontrés par les personnes à mobilité réduites.
Au début de ce siècle, nous avions pris l’initiative d’organiser une rencontre entre le maire de l’époque et le Président des Handicapés du Finistère afin de discuter sur la possibilité d’aménager dans le centre de la ville des toilettes accessibles aux personnes invalides.
La municipalité, jusque-là opposée à l’idée, fini par accepter que les toilettes normalisées qui existaient dans la cour de l’Hôtel de Ville, puissent être disponibles publiquement.

Hélas, ces indispensables toilettes furent détruites lors de la construction du musée, sans être remplacées.

 De surcroît, il faut savoir que ce musée ne comporte aucune issue de secours permettant d’accéder directement sur les espaces extérieurs, mais uniquement sur la minuscule cour intérieure totalement impropre aux déplacements des personnes à mobilité réduite.

De plus, l’accès aux locaux des services administratifs du musée et de sa grande salle d’honneur, n’est plus accessible pour ces personnes, en raison de l’érection d’un véritable piège à handicapés construit sur toute la largeur de la rue Lomenech, juste après l’entrée principale du musée.

Point de salut non plus à cet égard du côté de la rue Lomenech, dont la topographie et les encombrementsde rue, forment de vrais obstacles à la circulation de ces personnes.

 Nos révoltes seraient-elles injustifiées ou injustifiables ?

 Conclusion générale:

 Il nous est reproché d’être souvent très agressif envers les personnes concernées par nos propos.

Nous pouvons retourner le compliment envers un certain nombre d’entre eux car : nous aussi, sommes depuis 20 ans régulièrement menacés de représailles ou agressés verbalement. Ces menaces se transformant parfois en actions virulentes.

Sur ce blog, jamais nous n’avons abordé nos difficultés personnelles liées à nos engagements civiques. Bien au contraire, nos actions se situent strictement dans le cadre de l’intérêt général de Pont-Aven et de sa population.
 
 Depuis 20 ans, personne d’autre que nous a eu le courage de dénoncer les innombrables dérives que nous constatons régulièrement.

Des dérives qui parfois nous horrifient, et que notre conscience civique nous porte à dénoncer fortement coûte que coûte.

Attaché viscéralement à cette commune, nous ne pouvons rester de marbre face à des inadmissibles dérives.

 En outre, il est faux de déclarer que nos sommes injurieux envers nos adversaires.

Ce n’est pas le cas.

Par contre, nous utilisons l’arme de la dérision, de l’autodérision également, de la malice, de l’encre caustique parfois lorsque nécessaire, pour dénoncer des faits répétitifs hautement délictueux.

Nous utilisons l’arme de la caricature écrite, comme le font les dessinateurs avec leur art, avec leurs tripes.

L’humour vexatoire mais salutaire, n’aurait-il plus sa place dans notre démocratie ?

 Sur notre blog, nous avons inventé une CHARLiO’T à la suite des attentats contre

Le journal CHARLIE HEBDO. (Un journal qui n’a jamais été notre tasse de thé)

  - Lorsque par exemple, monsieur le maire ...

Suite et fin demain matin

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Des bouteilles à la mer (Page 8)

Publié le par chercheur d'histoires

Des bouteilles à la mer (Page 8)

Des bouteilles à la mer (Page 8)

 Nous connaissons les réponses de monsieur le maire 

- Dans un premier temps, il eut l’idée de vouloir fluidifier cet infernal trafic, en organisant des rondes de navettes de véhicules hippomobiles entre les parkings extérieurs et le musée.

A ce stade de la stupidité humaine, lorsque l’on connaît la dangerosité des lieux, nous ne pouvons nous retenir de déclarer que cette idée a atteint des limites de stupidité stratosphériques.

- Reconnaissant cependant au bout de deux périodes d’essais que son idée était foireuse, il imagina cette année qu’en réglementant plus strictement le stationnement des véhicules, le problème de l’étroitesse et du manque de stationnement du centre historique serait réglé.

Il n’en fut rien, il décida même de supprimer encore plus de stationnements que prévu lors de d’aménagement de la Place, et la pagaille générale induite affecta lourdement le commerce estival de nombreuses boutiques.

 Monsieur le maire et ses amis ne sont-ils pas capable de comprendre que l’on ne peut verser deux litres de liquide dans une bouteille d’un litre ? C’est pourtant ce que le projet du nouveau musée proposait.
Le problème actuel est que ce liquide s’est transformé en poison, dont la moitié se déversera perpétuellement sur la population.
Nous sommes suffisamment lucide pour nous permettre de déclarer sans hésitation qu’il n’y a plus de solution pour sortir le centre de Pont-Aven de ce guêpier.

De surcroît, ce centre est devenu fortement agressif :

Agressif esthétiquement, agressif par son niveau de dangerosité.

Hélas, il n’y a plus la moindre solution pour apaiser cet état, afin que : comme auparavant, flâner dans le centre de Pont-Aven soit un grand moment de plaisir.

A suivre demain

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Des bouteilles à la mer (Page 7)

Publié le par chercheur d'histoires

Des bouteilles à la mer (Page 7)
Des bouteilles à la mer (Page 7)

Des bouteilles à la mer (Page 7)

La suite des événements nous ayant donné une fois de plus raison.

- - -  Suite  - - -

Mais ce n’est pas tout :

Cette opération cachait d’autres dérives autant condamnables.

En effet :

L'auteur de cet ahurissant projet fut un cabinet d'architecture de Brest.

Ce projet fut présenté publiquement environ deux ans avant qu'un appel à projet international du futur musée soit lancé.
Environ 80 cabinets d'architectures y répondaient favorablement.
Or : bizarrement, c'est (nous le disons de mémoire) le même cabinet d’architecture qui  s'était compromis dans le projet  précédant qui obtint le marché.

N'y aurait-il pas eu des tricheries et un détournement des règles de la concurrence lors de cet appel à projet ? 

Ce serait tout aussi gravissime que nos dénonciations précédentes, mais attention, en déclarant prudemment cela, (nous n’affirmons rien) nous ne faisons que réécrire ici ce que notre mémoire nous dicte. Aussi, et compte tenu de l'épais brouillard qui enveloppe le scandale du musée, nous avons un petit doute sur l'ordre chronologique des faits.

La probabilité de cette réalité est grande, mais nous émettons tout de même des réserves sur nos dires qui restent donc à contrôler.

Cependant, cette probabilité est d'autant plus grande, que durant l'instruction du dossier de la demande du permis de construire, un fallacieux plan d'aménagement d'une aire de stationnements - hors des espaces publics comme l'exigeait la loi ? - avait été introduit dans le dossier  Nous avons abordé ce sujet précédemment. Nous n’y reviendrons donc pas.

2° : La dangerosité des travaux illégaux entrepris sur la Place du centre ville :

Outre le caractère d’illégalité des travaux, les aménagements entrepris sous la responsabilité de monsieur le maire ont eu pour effet de rendre cette Place totalement illisible et dangereuse.

Nul ne peut déclarer le contraire.

 - L’une des raisons de cette dangerosité nouvelle est directement liée aux excès de rabotage des bordures de délimitation des divers espaces.

- La seconde, toute aussi stupide, étant d’avoir prit le parti de ne pas contraster visuellement les différents éléments de structuration du sol (chaussées, passages piétons, stationnements), soit par des couleurs, ou par des éléments de perception différents.

- Mais la principale étant, comme nous l’avons dit plus haut, d’avoir construit un  gigantesque musée totalement démesuré au regard de la faiblesse des possibilités d’accueil du centre ville, et exigeant que de lourds travaux de restructuration soient entrepris sur cette Place .

 Ce sont les raisons principales pour lesquelles durant l'ouverture officielle du musée de la CCA en 2O15, les pompiers sont intervenus huit fois pour secourir des personnes lourdement tombées sur le sol. Des faits que des employés des magasins voisins avaient observés et dénoncés.

Des dizaines d’autres personnes ayant trébuché s'en étant sortis avec des bobos plus légers.

 Aujourd'hui encore, il ne se passe pas une journée d'été sans que des personnes se prennent les pieds sur les dallages et autres pièges de cette place.

Ajoutons à cela, l’affectation de son parvis central piétonnier, en terrasses commerciales voulue par monsieur le maire, et l’on commence à comprendre pourquoi les piétons, et plus particulièrement les personnes à mobilité réduite (venues en grand nombre cette année) se retrouvent à circuler sur les chaussées, empêtrés au milieu de l’infernal flot de véhicules de toute nature durant la saison touristique.

Ajoutons encore à cela, les difficultés de circulation rencontrées par les piétons dans les rues adjacentes en raison de l’étroitesse des trottoirs : Des piétons devant à tout moment circuler dangereusement sur les chaussées en slalomant entre les véhicules.

Et que dire de ce magma d’automobiles, de monstrueux cars touristiques, de camions de toutes grosseurs, de deux roues, de tracteurs agricoles et leurs remorques lourdement chargées, des nuisances sonores, et plus encore de la pollution de l’air provoquée par les moteurs de tous ces véhicules se déplaçant au ralenti ?

Que dire aux très nombreuses personnes âgées fréquentant ces lieux; que dire aux personnes à mobilité réduite, aux parents des enfants mis en danger permanent ?

A suivre demain

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Des bouteilles à la mer (Page 6)

Publié le par chercheur d'histoires

La façade de chez Jean-Marie PORTAL

La façade de chez Jean-Marie PORTAL

Le fabriquant des meilleurs andouilles de Bretagne.

Le fabriquant des meilleurs andouilles de Bretagne.

Des bouteilles à la mer (Page 6)

Serais-je un délinquant ?

- - -  Suite  - - - 

Cela dit : Durant l’instruction du dossier, le Service Départemental de l’Equipement réclama que cet article UH 12 soit pris en compte, en exigeant que le plan du parking et la situation de son implantation  (hors les voiries publiques) soient annexés au dossier.

En réponse, le maître d’œuvre déposa un second formulaire de permis de construite, auquel fut  annexé un fallacieux plan d’aménagement de 10 stationnements réservés au musée dans la partie centrale de la place publique adjacente au musée.

Ce document fut annexé au dossier du permis de construire tardivement, c’est-à-dire sans suivre l’obligatoire cheminement de l’instruction du dossier par l’ensemble des services administratifs concernés.

La règle légale étant dans ce cas, l’annulation de la première demande, puis éventuellement le dépôt d’une nouvelle demande en mairie. il n’en fut rien.

Ce détournement frauduleux manifeste de la loi est également un acte gravement délictueux.

Le permis de construire du musée de Pont-Aven étant ainsi, pour déjà  au moins ces deux raisons, entaché de lourdes violations des lois du code de la construction et de l’urbanisme.

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            Lorsque Monsieur Jean-Marie LEBRET est élu maire de Pont-Aven, les travaux de construction du bâtiment touchent à leur fin (après d’énormes déboires durant les travaux, sommes-nous obligé de signaler)

 Sachant qu’en raison de ses fonctions dans les deux précédentes municipalités, il ne pouvait ignorer les graves délits que nous avions dénoncés à tout-va, Monsieur le maire

devait obligatoirement dans l’intérêt général de la commune et de ses habitants, ainsi que plus généralement dans le respect des lois de la République, refuser l’ouverture de cet établissement tant que l’article UH 12 ne serait pas respecté et ses directives mises en service par le bénéficiaire de l’autorisation : C’est-à-dire  la CCA.

 Bien au contraire, il va décider d’entreprendre illégalement des travaux de réaménagement de la Place foncièrement différents du plan intégré au permis de construire, aussi illégal soit-il lui-même.

En effet, ces travaux extérieurs liés à l’autorisation principale concernant la construction, auraient obligatoirement dû être précédés de la délivrance d’un permis de construire modificatif à celui accordé, tout en respectant parallèlement l’art UH 12 violé dans le premier dossier.

C’est ainsi que Pont-Aven se retrouve aujourd’hui dans une situation incroyablement inextricable, autant qu’ubuesque faut-il reconnaître.

Nous pourrions en rire si les conséquences n’avaient pas été si dramatiques pour les habitants et l’avenir d’un pays devenu fantomatique.

            1° - Dramatique en raison de la tragique pénurie de stationnements de proximité pour la population dans le centre historique de leur ville.

            2° - Dramatique en raison de la dangerosité des aménagements entrepris sur la place.

 Il nous semble important d’apporter des précisions sur ces deux points.

 

1° : La tragique pénurie de stationnements :

Nos explications nous portent à revenir sur une sombre affaire qui se déroula durant les mandats d’adjoint de monsieur le maire.

A cette époque, madame le maire (et son équipe en place) avait proposé à la population de participer à une prétendue "Vaste concertation auprès de sa population ayant pour qualité d’être menée dans l'esprit de notre démocratie participative"

Cette proposition concernant un projet "urbain et paysager" à adopter par la municipalité pour les 20 ans à venir de la commune.

Dès cette annonce, nous avions hurlé à l'imposture. L’époustouflante suite de l’affaire nous ayant donné raison.

En effet :

Cette proposition de concertation n'a jamais eu lieu, hormis une très modeste réunion préparatoire de pure forme restée sans suite.

Cependant, quelques mois après, le projet était dévoilé et mis à la disposition de la population dans une salle communale durant une dizaine de jours afin que chacun puisse y apporter ses remarques et avis. Un élu étant présent afin de renseigner les visiteurs.

A l'époque, nous nous étions longuement exprimés par écrit dans un cahier mis à la disposition du public. Nous avions mis l’accent sur l'énormité de la stupidité du projet.

Ce projet fut ensuite adopté tel que présenté, et ceux qui apportèrent leurs avis en furent pour leurs frais, comme toujours. Les stationnements de la ville étant préservés, la population oublia vite cette affaire.

Nous reprenons ici ce que nous avions exprimé, avant de passer au dur du sujet :

C’est vers Monsieur LEBRET (Adjoint à l’urbanisme et aux travaux communaux) que nos questions se tournent :

- Pourquoi envisager de créer une aire de repos sur un minuscule délaissé de voirie situé près d’un dépôt des poubelles situé derrière un restaurant situé au lieudit :  Croissant-Kergos, alors même qu'à 150 mètres de là, existait et existe toujours, une satisfaisante vaste aire de repos équipée de toilettes ?

- Pourquoi envisager de créer artificiellement un Grand Parc Boisé dans le périmètre de l'espace naturel boisé et classé du Bois d'Amour, s'implantant de surcroît sur les friches contaminées d'anciennes conserveries ?

L'idée prétendant y attirer des visiteurs. Une idée qui n’a pas plus de sens que la précédente.

- Pourquoi proposer de réaménager la Place des Grands chênes à NIZON, alors même que durant la présentation du projet au public, madame le maire y faisait illégalement (sans permis de construire) construire par les employés municipaux un imposant podium particulièrement lourd d'aspect :
Un ouvrage de surcroît implanté dans l'espace ultra-protégé de trois monuments historiques.

Nous ajouterons à cela la construction concomitante dans le même lieu et sur l’emprise d‘une zone naturelle non constructible, de baraquements préfabriqués implantés « à titre temporaire » dans la petite cour de l’école communale. (pour lesquels toutefois madame le maire avait accordé un permis de construire).  Une action ayant pour objectif de caser « provisoirement » les enfants de l’école communale du centre ville, expulsés de leur école, afin d’y caser « à titre temporaire » la mairie déplacée afin de transformer illégalement le bâtiment en musée. Pourquoi donc dans le futur projet urbain et paysager avoir proposé de réaménager cette Place des Grands Chênes, alors même que ce projet était incompatible avec les travaux en cours ?      

- Pourquoi avoir fait semblant de s'intéresser à l'environnement de proximité des habitants des Cité, en projetant lamentablement de planter en tout et pour tout : "un arbre" dans l'une des Cités de la commune ? Arbre qui n'a jamais été planté

- Pourquoi avoir présenté à la population un fallacieux projet d'aménagement de la Grand-Place - préservant quasiment son nombre de stationnements - alors même qu’un autre projet très contraignant se dessinait secrètement* ? (voir ci-après)

* Il faut savoir qu'à l'époque, il n'était pas question de construire un nouveau musée en ce lieu, alors même que son projet était sur la table secrète de ses architectes, et que les aménagements induits sur la place étaient radicalement différents de ceux proposés publiquement.

Fort de toutes ces remarques, nous avions conclu que ce projet n'était qu'un leurre. 

La suite des événements nous ayant donné une fois de plus raison.

Mais ce n’est pas tout :

A suivre demain

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Des bouteilles à la mer (Page 5)

Publié le par chercheur d'histoires

Joueuses de cartes sur le trottoir devant la boutique Gouiffès (frères)

Joueuses de cartes sur le trottoir devant la boutique Gouiffès (frères)

Des bouteilles à la mer (Page 5)

Serais-je un délinquant ?

- - -  Suite  - - - 

La folie des grandeurs :

 Ce nouveau musée est gravement démesuré au regard de la faiblesse des possibilités d’accueil du minuscule centre de la ville et des financements communaux.

  C’est l’une des principales raisons pour lesquelles la Cité des anciens Peintres de talent est manifestement aujourd’hui en grande difficulté de survie : les finances communales suffisant à peine à entretenir les espaces et établissements publics.

La situation est telle que d’ici bien longtemps, les municipalités futures n’auront plus les moyens de construire les bâtiments publics de remplacement de ceux qui ont été usurpés à la population ou détruits afin de construire le nouveau Musée.

(mairie, école, salles communales etc., et en ce qui nous concerne plus précisément dans nos actions patrimoniales : des salles d’expressions et de manifestations patrimoniales et culturelles)

La population vit de plus en plus dans la précarité de ses édifices communaux, de ses patrimoines architecturaux, et de ses environnements remarquables de plus en plus dégradés.

Tous les services publics ou privés disparaissent les uns après les autres inexorablement.

Il faut savoir que depuis le début de ce siècle, le nombre moyen de décès est six fois supérieur à celui des naissances.

Le ressenti général de la population que nous connaissons bien en raison de nos nombreuses actions en leur faveur, est que leur commune n’est plus qu’un mouroir, et à notre avis : un pénitencier pour ses souffreteux innocents.

Il faut également savoir que depuis un demi-siècle, les problématiques du crucial manque  d’emplois sur la commune n’a jamais été abordé sérieusement par conseil municipal. Le registre des délibérations du conseil municipal est édifiant à cet égard.

 Cela dit :

Quels sont nos griefs envers Monsieur le maire nous ayant porté à systématiquement le prendre en grippe à chacune de ses décisions ou actions municipales :

             - Tout d’abord, nous rappellerons que ce blog ne vise personne en particulier.

            - Ensuite, nous tenons à affirmer que notre attachement à notre liberté d’expression                nous a mené à lutter toute notre vie contre les diktats des dogmes politiques,                             religieux, et aujourd’hui : culturels et Médiatiques.

               Comme nous l’avions indiqué dans un pamphlet que nous avions publié en 2007 :

                « Durant notre enfance à Pont-Aven ,nous avions appris à être libre, et à faire de                  cette  liberté un devoir »

  - Il faut également retenir pour la compréhension de nos propos, qu’avant d’occuper                le poste de maire de Pont-Aven, Monsieur LEBRET fut durant un premier mandat,                  l’adjoint à l’urbanisme, puis durant un second, l’adjoint aux travaux de la                commune.

Monsieur Jean-Marie LEBRET est donc de ce fait gravement et directement impliqué dans les détournements et violations du code de la construction et de l’urbanisme, ainsi que des règles d’urbanisme locales que nous avions découverts en prenant connaissance de permis de construire du musée de la CCA, puis critiqués publiquement de toute part, et en particulier sur notre blog.

    Nous allons prendre un exemple de détournement de ces règles parmi une douzaine d’autres, et qui pèse aujourd’hui lourdement sur la ville jusqu'à l’étouffer.

Celui du détournement et contournement de l’article UH 12 du PLU.

A savoir : 

Obligation de réaliser des aires de stationnement

 Paragraphe 1 :

Des aires de stationnements correspondant aux besoins et à la fréquentation des constructions et installations à édifier ou à modifier :
ces aires de stationnement doivent être réalisées en dehors des voies publiques sur le terrain d’assiette de l’opération ou à proximité immédiate. Elles ne devront pas apporter de gêne à la circulation générale.

Le paragraphe suivant défini le nombre de places en fonction de la destination du bâtiment.

Toutefois, cette norme (du nombre de place) n’est pas applicable aux bâtiments publics et à ceux abritant des services d’intérêt général (enseignement, santé, maison de retraite, … ;

Pour ces bâtiments, le nombre de places sera défini dans le respect du paragraphe 1

Ainsi, le nouveau musée devait obligatoirement disposer d’une aire de stationnements  de proximité : hors des voies publiques, correspondant à ses besoins et à sa fréquentation.

 - Nous noterons que le nouveau musée a doublé de surface par rapport à l’ancien, et qu’ainsi, au minimum, une aire de stationnements correspond à ces besoins nouveaux devait être réalisée.  Il n’en est rien.

- Nous  noterons également que dans une affaire similaire, le Tribunal Administratif de Marseille (jugeant en dernier ressort) avait stipulé à cette époque que ce type de règle « Exigeait d’être strictement appliqué, ne pouvant souffrir d’aucune dérogation

. Cette règle ne pouvant dans le cas présent être respectée, le maître d’œuvre de l’opération (La SAFI), missionnée par le Maître de l’ouvrage (La CCA), décidèrent de contourner frauduleusement  l’obstacle juridique, en ne déposant leur demande de permis de construire que sur la construction. Ce qui est formellement interdit par le code de la construction, l’autorisation devant obligatoirement porter sur la construction et les obligations légales portant sur les parties extérieures.

Ce contournement de la loi est un acte gravement délictueux.

Pour autant, ce permis illégal n’annule d’aucune manière, les strictes obligations imposées par l’article UH12 du PLU.

Qu’attend donc Monsieur le maire de Pont-Aven pour exiger que la CCA respecte ses devoirs envers la population de Pont-Aven en matière de stationnement ?

La survie de Pont-Aven en dépend pourtant largement.

A suivre demain

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