Remettre l'art en débat dans le Trou du Cul'T : Certes, mais comment ? (II)

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L'HERMINE : Vraie Œuvre d'art contemporaine ou pas ?

Qu'en pensez vous Monsieur Ruello ?

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Par exemple : Qu'en pensez-vous ?, en comparaison à la Sculpture Artistique commandé par la précédente municipalité, et taillée dans l'un des Grands Chênes de Nizon, après leur abattage à la tronçonneuse ... sur ordre de madame Biseau !!!

... Ou, sans doute, celui plus direct de la Direction du Cabinet de son adjoint aux travaux communaux  :

Oui ou non monsieur le maire ? : On s'y perd, nous les coincés corniauds du coin ?

"Qu'en conclure aujourd'hui ?"  se disent les glands de Nizon

- Que cette structure ne fait que très lourdement se dégrader, continuant un peu plus à gravement enlaidir le paysage ...  de la Place des Grands Chênes abattus" ? 

Mais également : 

- Qu'elle a été construite sans autorisation (permis de construire) en dépit des normes de sécurité. ?

 et aussi :

- Que son impact visuel est en totale inadéquation avec le paysage aux alentours ?

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Et là, je ne parle que de cette sculpture au goût plus que douteux pour moi l'idiot du village d'en bas de la commune, mais je pourrais déballer encore plus sur la Place Publique des Grands Chênes.

En effet : Encore plus par exemple, sur le balèze scandale lié à la décision des mêmes, de faire construire illégalement par des employés municipaux : à proximité de cette dite œuvre d'art, un grotesque et inesthétique podium :

Le pire que l'on puisse aujourd'hui imaginer au cœur d'un prétendu Nizon Culturel,

... aux goûts un tantinet : et un tant soit peu : déclarés contemporains ! 

Un  vulgaire tas de cailloux implanté sans autorisation préalable, et "vraisemblablement !"  sans avis de Monsieur l'architecte des Bâtiments de France ??? , dans un espace protégé par trois remarquables Monuments Historiques.

Un dangereux podium sans garde-fous, mettant en danger les gosses des écoles voisines, lorsqu'ils viennent sauter comme des petits fous sur le plateau de cette œuvre maudite ... par les Lois de la République Française.

"Un ouvrage d'art ? Ou d'lard de cochon de Nizon " se demandent les célèbres "ânetons" de Nizon.

"Gast ah gast ! : Fermes ta gueule, pauvre idiot de Pont-Aven" me recommandent les impénétrables voix ... 

... du Seigneur des majestueuses ruines de Rustéfan toutes proches. 

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La photo opportune du jour :

Et si nous concassions sa robe de satin pour en faire du podium contemporain ?

Ben ...  Oui : à la masse, ça créerait des emplois locaux !

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Remettre l'art en débat dans le Trou du Cul'T : Certes, mais comment ? (I)

"Mais comment" se demandent les futurs hypothétiques jeunes ménages de Nizon.  

Ces jeunes ménages qui ne connaissent : ni Andy, ni sa muse Marilyn.

Gast ahs tag ! :

Vieux Nizon'arts : Q'attendez-vous pour transmettre vos Valeurs Artistiques Américo-nizoneuses aux nouveaux venus ?

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Et si nous remettions en débat, l'abattage d'une œuvre d'art contemporaine il y a quelques années, ordonné par la Justice Française à la suite d'une plainte déposée par la municipalité de la Cité des anciens Peintres de talent : 

La fameuse "HERMINE" en plâtre, édifiée en début de ce siècle, sur la friche des anciennes conserveries  du Bois d'Amour.

Exactement à l'emplacement où Monsieur Ruello souhaite édifier un Grand Centre d'Art Contemporain !!! ...

- Edifier avec la bénédiction de l'adjoint à l'urbanisme, puis aux travaux communaux de l'époque de cet abattage !

- Edifier avec l'actuel (le même personnage) adjoint à la Culture de la CC'ânerie, subsidiairement maire du pays des Moulins-Restaurants.

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"Mais pour quelles sombres raisons, ce massacre Kulturel ?" me demande l'idiote CHARLiO'T

Je lui réponds qu'elle fait bien de me le demander, car dans la Plouc'Landerie du territoire de la CC'â..., personne d'autre ne s'en est inquiétée. 

J'ai fouillé dans mon dossier "Goarnig", et j'y ai trouvé les raisons présentées par la future Chevalière de l'ordre de la Légion d'Honneur. 

Dans le texte d'une Commission Rogatoire : dont je détiens une copie, je lis : 

 "Madame BISEAU déclare que "L'HERMINE" a été construite sans autorisation en dépit des normes de sécurité; que la demande de permis de construire a été refusée car cette demande ne présentait aucune information technique et que l'impact visuel était en inadéquation avec le paysage aux alentours. 

Elle ajoute qu'il n'y a aucun signe de démontage, et la structure entreprise ne fait que se dégrader, continuant un peu plus à enlaidir le paysage" 

Je remarque tout d'abord que dans  l'ensemble des copies des documents de la partie plaignante que je possède sur ce procès, nulle part il est fait mention : d'œuvre d'art.

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L'HERMINE : Vraie Œuvre d'art contemporaine : ou pas ?

Qu'en pensez-vous Monsieur Ruello ?

Votre avis intéresse au plus haut point, tous les vrais amoureux de Pont-Aven comme vous.

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A suivre demain

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Aux secours : il y a le feu en notre demeure (Conclusion du jour)

Et puis : Tant pis pour le futur gigantesque musée de la CC'ânerie  !!!

Il attendra son tour comme tout le monde ???

- - -  Suite et fin   - - -

Conclusions de cette courte tirade aux boulets rouges :

A Pont-Aven, les élustupides ont manifestement un sens aigu des priorités nécessaires aux besoins : pressants autant qu'essentiels, des habitants du coin !

- N'est-ce pas la nouvelle mairie toute neuve du coin ?

- N'est-ce pas la nouvelle Grande Maison du Peuple et des associations locales ?

- N'est-ce pas la nouvelle bibliothèque de la riche et attirante mémoire de Pont-Aven et de ses anciens habitants ?

- N'est-ce pas le nouveau Grand Pôle Scolaire Contemporain ?

- N'est-ce pas le nécessaire et strictement obligatoire Grand Parking du musée CCânisé ...

... à implanter  obligatoirement hors des espaces publics de Pont-Aven ??? 

- N'est-ce pas la future Centrale Ecole Contemporaine ... d'Arts pompeux "Pompiers" 

- N'est-ce pas, tout ce qui manque tant aujourd'hui à la population de base,

... dans ce merveilleux pays, où il fait si bon vivre ?

... Où il fait sûreeeeeeeeeeeee'ment si bon vivre, lorsque l'on y est le maire, ou son principal adjoint, depuis presque 20 ans ?

Comme ne le dit pas ce dicton à la con :

"Quand on vit dans du bon vivre jusqu'au bout du nez rouge, on a toujours 20 ans ?"

N'est-ce pas les centaines de jeunes couples de Pont-Aven des années Lebret ?

... installés à Riec ou ailleurs ? ? ?  

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La photo non compromettante du jour :

Non CHARLiO'T : En 1953, les pompiers de Pont-Aven n'exposaient pas leurs fesses dans leurs calendriers.

Les fesses "pro forma" de la future BB suffisaient peut-être amplement déjà !

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Aux secours : il y a le feu en notre demeure

C'est ce que les pompiers de Pont-Aven hurlaient déjà en 2009,

... après avoir : à plusieurs reprises auparavant, lancé des alertes auprès de la précédente municipalité dirigée par la famille "Rivet".

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Monsieur le presque tout neuf* grand maire de Pont-Aven vient de fièrement poser la première pierre de la future caserne de Pont-Aven, Riec, Névez, et musée de la CC'â.

Lui qui, en 2009, était le Grand futuriste adjoint à l'urbanisme de Pont-Aven.

* (Toujours en rodage peut-être ? me demande l'espiègle  CHARLiO'T)

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Quelles z'équipes d'élustucrus du XXIè siècle tout de même : Plus "Naz" qu'elles, et le pays s'envole rejoindre Gauguin ! 

Que des équipées gagnantes (à ne pas être connues), dont la précédente avait osé promettre aux habitants de Pont-Aven, l'arrivée d'une puissante et rapide locomotive économique !

N'est-ce pas madame la Chevalière de l'Ordre du mérite ... d'une fessée ???

Une locomotive ne roulant qu'en marche "arrière toute", 

... à toute vitesse, ...  tout droit sur une voie des garages, ...  de pompiers ayant des envies pressantes !

Conclusion du jour :

Soyez heureux chers habitants du coin : Vous aurez bientôt une caserne " toute neuve",

...  Grâce au bon vouloir de J.M. le rapide !

Et puis : Tant pis pour le futur gigantesque musée de la CC'ânerie  !!!

Il attendra son tour comme tout le monde ??????????????????????????????

Conclusion du jour :

Ce sera pour demain matin :  Rien que pour vous les élustupides contemporains du coin !

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Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP ((Post-scriptum))

Préparant actuellement un mémoire d'Expert aguerri sur la situation juridique de la propriété de l'Aven, j'ai eu l'occasion récemment de prendre connaissance de précieux documents relatifs à la saisie de ce moulin durant la Révolution Française : 

En particulier un descriptif des biens saisis puis revendus comme biens nationaux,

... venant ainsi conforter mes dires et les documents que j'ai déjà publiés ici en début de cette année.

Conclusion du jour :

Lorsque je fais quelque chose, moi au moins je ne le fais pas à la légère : Quoi Con en dise !

Et cela depuis plus de 20 ans à Pont-Aven.

Qui pourrait mieux dire ?

La bande de couillons qui ne cessent de me traiter de passéiste peut-être ?

Tous ceux qui espèrent prendre, reprendre, ou conserver la direction de la  municipalité, et qui depuis ces 20 ans sont restés impuissants et muets face aux innombrables ignobles dérives municipales que je n'ai jamais cessé d'observer et de dénoncer :

Seul contre tous ! 

La mauvaise pensée du jour :

Et si les pontavénizoneux-neux osaient, pour une fois, demander aux futurs prétendants à la municipalité du plus Grand Trou du Cul't inculte au monde, ce qu'ils pensaient des innombrables errements des politic'arts du coin, depuis le règne : "en famille", d'une famille d'anciens grands commerçants du centre ville de  Pont-Aven ???

Et pourquoi sont-ils : presque tous,  restés durant tous ces temps forts en gueule, aussi immobiles que le Christ Jaune peint par Gauguin ? 

Une manière efficace de savoir ce qu'ils ont dans le crâne pour être éventuellement capable de diriger la commune.

"De savoir s'ils ont des couilles en dur" ose déclarer publiquement la CHARLiO'T  la plus pucelle au monde.

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La photo passéiste du jour :

Une autre passerelle : en bois de l'Aven cette fois ma foie, clouée sur la rivière dans les années 1910/1920.

Une époque où la vallée de ce cours d'eau fraîche, se conjuguait au style "Art Nouveau"

... un peu tardivement ma foie !

... Comme tous les peinturlureurs du coin depuis le départ précipité et définitif de notre Dieu Contemporain  :  Notre très cher (à l'achat) PGO le prophète !

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Lu dans la gazette de ce W.E : 

A vendre aux enchères : La signature de PGO collée sur un p'tit bout de papier blanc.

A défaut de vrais amateurs d'art dans ce trou, J'ai demandé à la CHARLiO'T ce qu'elle en pensait :

"C'est dangereux : Ça risque de mettre le feu des enchères à cette paperasse de 50 cm2" 

"Aux secours les "pompiers" de Pont-Aven "  

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Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP (fin de la conclusion)

Mais ce n'est pas tout monsieur le maire de la Cité des anciens Peintres de talent.

En effet : Moi : le pauvre être le plus idiot de votre beau village, je ne comprends pas pourquoi les employés municipaux ont été déployés pour effectuer les travaux de surélévation des murs du canal d'amenée de l'ancien moulin Limbour.

Ne seraient-ils pas autant privés que ceux de l'ancien canal de fuite (et ses abords) du même moulin ?

Je parle des abords immédiats* de ce canal de fuite remblayés dans les années 1980, et que votre imprudente adjointe à l'urbanisme a déclaré "être privés" dans la presse locale il y a quelques mois.

* Auparavant : lavoir municipal couvert.
Privant ainsi vos concitoyens de trois précieux stationnements communaux de plus :

De plus, depuis votre prise du siège de maire de Pont-Aven en 2014.

Lirait-elle ses vérités dans le marc d'un café noir ? Ou bien, pataugerait-elle dans la mare aux canards de l'ancien moulin de Poulhouas ?

Cette mare aux canards, qui existait en cet endroit autrefois.

Je me le demande !

Je me le demande car actuellement des géomètres du cadastre effectuent la rénovation du plan cadastral de Pont-Aven.

Ce qui signifie que ce document administratif comporte des imprécisions ou de erreurs : Non ?

Pour ce faire, ils ont adressé une correspondance aux propriétaires fonciers du coin en leur demandant de venir les rencontrer à la mairie provisoire de Pont-Aven, en y apportant leurs titres de propriété.

Je me demande donc pourquoi, la Grande Experte adjointe à l'urbanisme de Pont-Aven, ou mieux, monsieur le maire : Notre fine plume locale, n'ont pas écrit au Directeur départemental du cadastre qu'il était inutile d'entreprendre tant de travaux si coûteux :

En effet, il  lui aurait suffi de venir à la mairie de Pont-Aven consulter le cadastre pour vérifier les noms des propriétaires de parcelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  N'est-pas madame ? C'est bien ça que vous avez déclaré à vos concitoyens récemment : Non ??? 

Cela dit, je me permets une nouvelle fois d'affirmer haut et fort que ce canal et l'emprise des remblais contigus, appartiennent à la rivière :

Ne vous en déplaise monsieur le maire : de surcroît ancien adjoint à l'urbanisme de Pont-Aven.

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Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP (conclusion)

"Mais l'on s'en fout autant que de notre première couche-culotte" leur postillonnent les rats de l'Aven.

- - -  Suite et fin  - - -

La conclusion juridique de ce nouveau délicieux délit municipal, la plus bête au monde.

Cette anecdote me rappelle une conversation que j'avais eue avec monsieur l'architecte des Bâtiments de France, qui me demandait il y a quelques années ce que je pensais du projet qui lui avait été soumis, de surélévation des murs des berges de l'Aven dans le centre de Pont-Aven.

A l'époque, je vous promets qu'il était fortement très opposé à cette énorme stupidité patrimoniale. 

Monsieur l'architecte : aujourd'hui, Où êtes-vous passé ? Que faites-vous pour nous les vrais amis de Pont-Aven et pour la sauvegarde des remarquables ouvrages d'art de l'Aven ? 

Aujourd'hui où notre devenue intouchable remarquable rivière doit sans arrêt subir d'illégaux et affreux réaménagements de bas Art !!!

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Monsieur le Grand maire des ruines de  Pont-Aven :

Moi le crétin le plus fouineur du Pays, j'aimerais bien savoir ce que le Service Département de Police des Eaux de la Préfecture du Finistère, a noté comme remarques et réserves dans sa réponse à la déclaration préalable des travaux de surélévation des murs des berges du bief de l'ancien Moulin de Poulhouas, que vous lui avez SÛREMENT transmise ? 

Je vous pose la même question concernant vos obligatoires déclarations préalables auprès de la Direction Départementale du Territoire et des espaces Maritimes (DDTM) et de l'Agence Française de la Biodiversité (AFB)

Je vous pose ces questions monsieur le grand maire du pays des Moulins car : par inadvertance sans doute !, vous avez oublié d'afficher ces autorisations administratives in situ !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ce qui n'est pas très légal non plus : Avouez le, en demandant pardon aux arêtes des poissons de l'Aven,

... qui vous demandent sans arrêt, d'arrêter vos embellissements du pays.

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A demain matin pour la fin de cette conclusion à la con.

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Vous : "Pas toucher" notre rivière SVP 

Je suis d'accord avec toi me répond monsieur le maire de Pont-Aven, et c'est d'ailleurs, comme à mon habitude, pour cela que j'ai demandé aux employés municipaux d'y toucher.

Il faut bien que je démontre à mes prochains futurs électeurs, que je pense beaucoup, ces temps- ci, à leur bien être.

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"Mais qu'a-t-il fait encore de mal ?" se demande l'enquiquineuse CHARLiO'T

Je lui réponds que j'ai la nette impression que monsieur le maire a décidé une nouvelle fois "tout seul comme un chef" de surélever illégalement les murs de soutènement de l'ancien canal d'amenée (bief) de l'ancien moulin du Poulhouas : 

Ce moulin détruit, il y a environ trente cinq ans, par des méchants banquiers dans l'indifférence la plus totale de la population.

"Pourquoi une telle indifférence ?" me demande les Eaux de l'Aven.

Je leur réponds qu'à cette époque, les pontavénounours commençaient à jouir du premier agrandissement du musée, et que dès lors : atteints par une inguérissable gauguinite aiguë, tout le reste des valeurs culturelles locales devenait négligeable pour eux :

Le précieux  patrimoine architectural du Pays des Moulins compris.

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"Toucher aux anciens ouvrages d'art de la rivière : Mais c'est un crime contre notre patrimoine" s'exclament les ragondins de l'Aven.

"Peut-être pas tout à fait un crime, mais plus sûrement un délit envers les strictes règles contemporaines de l'environnement et de l'écologie raisonnée" leurs répondent les Oies de Lois de l'Aven.

La conclusion juridique de votre chiant idiot du village concernant ce nouveau délit sera publiée ici demain matin.

A chacun ses défauts : C'est la faute à personne :  N'est-ce pas monsieur le maire ?

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Hourra ! se disent les rats du port (fin de la fin)

"Espérons donc que nous pourrons donner une nouvelle jeunesse à cette passerelle à laquelle les pontavénistes sont très attachés"

"Gast ah gast !: Attachez vos ceintures les andouilles enfumées du coin" 

"Ne vous laissez surtout pas attacher aux piliers de la passerelle avec des chaînes, vous pourriez vous noyer " s'exclame horrifiée la CHARLiO'T

- " Des andouille enfumées : Ça sort d'où ces bonnes choses là ? ", se demandent les boudins noirs du coin.
Ben ... dois-je leur répondre pour satisfaire leurs appétits : Enfumées en fait par les incessants enfumages de la municipalité actuelle.

- "Donner une nouvelle jeunesse à notre précieux patrimoine architectural en danger de mort imminente ?" se demandent de leur côté, les futurs futuristes jeunes ménages du bled

C'est-à-dire : au viaduc, au manoir de Rustéfan, aux ouvrages d'art du lit de l'Aven, aux espaces boisés classés de la commune (Kerviguélen par exemple), aux façades des commerces de proximité du coin, aux dernières friches de notre patrimoine industriel, à l'ancienne forge des chemins de fer : (c'est fait) ... aux branlants vieill'arts pontavén'arts ... etc. 

N'est-ce-pas de cela dont vous parlez monsieur l'ex adjoint à l'urbanisme puis aux travaux communaux de la commune de Pont-Aven ?

- Donner une nouvelle jeunesse, comme par exemples : Aux coups de jeunesse déjà donnés récemment aux arbres du Square Botrel et aux antiques et célèbres peupliers des rives de l'Aven peints par PGO,  à la Grand Place intouchable de la commune, de la tout aussi intouchable façade de l'ancien célébrissime Hôtel Julia, à nos regrettés bistrots populaires,

... à nos indispensables  places de stationnement d'intérêt général pour la population locale, supprimées ou détournées au profit d'une gigantesque Tour de Ba'belle Angèle CC'ânisée.  

- Donner une nouvelle jeunesse aux prétendus chefs d'œuvre de la peinture que la CC'ânerie nous a confisqués en 2014, en demandant, par exemple, aux employés communaux de les restaurer aussi bien que la passerelle du port  ???

Et tant qu'à faire dans les savoir-faire "bien de chez nous : demander aux mêmes de restaurer comme il faut, nos fabuleuses Ruines de Rustéfan,

... après avoir (ré)empaillé les ruines des chaumières Lollichon ! 

Vive Pont-Aven et ses ... mollusques moules frites pain beurre !

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Hourra ! se disent les rats du port (fin)

OK ! : Mais je trouve qu'il est instructif de revenir sur l'esprit qui imprégnait encore les élus locaux de l'an 2000. 

A cette époque, lors des élections municipales, les électeurs Pontavénizonistes votaient manifestement toujours pour des personnes ayant des connaissances sur l'histoire et les valeurs patrimoniales et culturelles de leur commune.

Des personnes respectueuses des héritages communs transmis par les anciens.

"En est-il toujours de même aujourd'hui ?" se demande l'esprit des lieux.

Je lui réponds que : mille fois hélas : NON

Un non majuscule en or massif :

Aussi massif que le contenu de cerveaux congelés d'Appellation Supérieure mal Contrôlée des dirigeants de la commune depuis le début de ce siècle des lumières tamisées. 

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- Jusqu'à la fin du siècle dernier, au moins une partie des élus avaient reçu une bonne éducation locale. 

Aujourd'hui, certains crétins contemporains les traiteraient bêtement de "passéistes", ne connaissant pas précisément le sens de ce terme.
Et pourtant, en 2000,  les élus se préoccupaient "comme de vrais chefs sensibles aux patrimoines locaux " des dégradations constatées sur l'ouvrage d'art artistique : -Modern Style-  du port.

En effet : ils s'exprimèrent en ces termes :  "Compte tenu de son histoire, de son intégration dans le paysage de Pont-Aven, nous avons opté pour une réfection conservant son style et son caractère"  

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Hélas : mille fois hélas. En effet, il ne faudrait pas oublier que : compte tenu de l'orientation personnelle des objectifs communaux imposés par le maire de l'époque (et de sa famille), le projet de restauration fut abandonné.

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"La technique artistique relative à la rambarde fait appel à un spécialiste appelé "Rocailleur"

Concernant cette information, je sens le coup de patte de l'Architecte des Bâtiments de France.

Depuis, monsieur l'architecte aurait-il perdu pied dans les eaux boueuses du port, ou quoi ?

- Monsieur : Où êtes-vous, que faites-vous ? Le Patrimoine Architectural de Pont-Aven ne vous préoccupe-t-il plus ?

Et pourtant, sur le port de Pont-Aven, il y a de plus en plus de travaux litigieux qui devraient vous inquiéter.

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L'appel au peuple pontavénain  du jour :

Futurs prétendants à la municipalité de Pont-Aven : Où êtes-vous ?  Que faites-vous ? :

Tout part en couilles dans le coin depuis quelque temps,

... et pendant ce temps-là, vous jouez lamentablement aux jemenfoutistes !!!

 Vous aussi, allez-vous la jouer en douce ? 

Allez-vous tous, comme vos prédécesseurs, hurler à la mort contre les passéistes pour essayer minablement de vous en sortir  ?

Suite de cette fin demain matin

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la photo compromettante du jour :

Ça au moins, c'est de la bonne réfection Contemporaine "bien de chez nous".

"Bien de chez nous" avec des petites touches post-impressionnistes florales,

... tout aussi "bien de chez nous" dans notre colorisée Plouc-Landerie.

Les peu regardants visiteurs contemporains du pays vont sûrement kiffer à mort.

"C'est toutefois malheureux, qu'en fond du tableau, il y a de la vase du Port" nous fait remarquer la : toujours insatisfaite, agaçante CHARLiO'T de nos rêves d'enfants de cœur.

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