Un mastodonte a été déposé - suite 4 -
Un mastodonte a été déposé - suite 4 -
" La bibliothèque municipale "
C’est l’un des sujets favoris de ce blog. Ce qui me donne l’impression que, parfois, ce bulletin contient de la contre-attaque aux articles que j’y présente.
Une page entière du bulletin est consacrée à ce "piteux"établissement : une honte pour une ville qui se veut entièrement tournée vers la Haute Culture.
"Plus pire" endroit, dit culturel, cela n’existe plus en Bretagne. Peut-être que Gauguin, venu chercher en Bretagne du sauvage et du primitif s'y serait retrouvé. Mais à part lui et Mme le premier magistrat de la commune,qui donc ?
Je lis :
« L’espace adulte possède un fond sur la Bretagne et Pont-Aven très intéressant »
Ce fond doit être bien caché car, je viens de le vérifier : cette bibliothèque ne possède rien de significatif en ce domaine.
Mis à part les quatre ouvrages écrit par Bertrand Queinec, quelques plaquettes sur les expositions du musée, et un lot d'ouvrages périmés et sans intérêt sur Gauguin et quelques autres peintres, il n'y a rien.
L'auteur du texte est dans un délit de mensonges caractérisé. SVP retroussez vos manches et allez-vous mêmes vérifier le bien fondé de mes propos.
Et puis, pourquoi pas ? Faites un effort pour réfléchir un peu à mon utile projet de création d'une Grande Bibliothèque de la riche et singulière mémoire de la commune.
C'est deux niveaux au moins qu'il faudrait extraire du futur musée touristique, pour être affectés à l'accueil de ce formidable trésor culturel.
En exprimant ce sentiment, je pense à l’épanouissement de tous les habitants et non point, de façon restrictive, à une élite cooptée : celle qui : seule, serait digne de fréquenter la future salle * (de conférences et de concerts classiques) que la municipalité a réservée dans l'aménagement de son grand projet.
Les classes sociales ne se mélangent pas dans le domaine culturel, cela est bien connu. Surtout quand cet espace est tenu par une secte du christ jaune.
* Je parle de la populaire ancienne salle des fêtes (c’était le nom que lui avaient attribué les anciens), devenue salle Julia après sa restauration passée.
Un espace devenant privilégié pour des privilégiés, laissant les ouailles de Dame en soutane sur le bord de la route des peintres.
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