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Ne pas confondre KIF et KIF

Publié le par chercheur d'histoires

Ne pas confondre  KIF et KIF 

Il est parfois difficile pour les petites cervelles comme moi de comprendre les objectifs des annonces de presse de notre très cher minuscule musée.

Je suis inquiet pour l'avenir des pontavénards. Imaginez ce qu'il adviendra lorsque la ville sera dotée d'un Très Cher Grand Musée qui leur aura coûté leur chair et leur sang  ?

La semaine dernière, je lisais comme vous les annonces de cet établissement qui se suivaient à la queue leu leu, sous des titres différents, dans la même page d'un journal.

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"Destinées aux individuels, les visites guidées sont basées sur la découverte ou l'approfondissement des connaissances des œuvres présentées au sein de l'exposition"

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"Ces soirées (de 18h à 19h !) sont l'occasion de découvrir de manière approfondie une œuvre d'un artiste de la collection et son contexte de création. La présentation s'accompagne d'une discussion ouverte. Ce rendez vous permet d'engager une réflexion sur l'œuvre mise en lumière."

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"Les visites commentées sont des médiations (!) proposées sous la forme d'une discussion ouverte, permettant d'engager une réflexion sur les œuvres exposées ainsi que sur la pratique de l'artiste "

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Voilà certainement une bonne nouvelle, même s'il n'y a pas grand-chose de détectable dans la finalité de cette suite d'annonces embrouillées. Je devine que le musée propose aux pontavenounours individualistes (pourquoi pas aux rares autres) des discussions et des réflexions ouvertes dans le domaine pictural.

Lorsque je propose de remettre l'art en débat dans la ville, vous me direz que c'est du KIF-KIF pareil, et bien NON.

Mon KIF est, à bien des égards, radicalement opposé au leur. Je me suis souvent exprimé sur ce sujet qui est et restera l'un de mes favoris. Je prépare d'ailleurs de nouveaux articles - bien argumentés - le concernant. Vous pouvez me faire confiance, je fais aussi dans "l'approfondissement" des choses.

Comment oser proposer des discussions dans un musée où tout est sacralisé et convenu d'avance ? Il n'y a plus rien à débattre ... sauf peut-être de celui du sexe des anges ... gardiens du temple.

Quel est le rôle d'un médiateur, si ce n'est de remettre les éventuels contestataires dans le droit chemin du convenu ?

C'est dans la ville, dans tous les lieux ouverts au public et particulièrement à l'intérieur des prétendues galeries d'art que les débats picturaux seraient utiles pour sauvegarder l'image initiale de la cité dite des peintres..

Pour vous rendre utile, Mesdames les discussionneuses, sortez de votre bulle et ayez le courage d'affronter la réalité picturale du trou de peinture dans lequel la ville est engluée jusqu'au cou.

Il est très facile de se renfermer dans cette bulle  et de ne rien vouloir voir à l'extérieur.

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Je viens de recevoir le dernier "Pen Ar bed"

Publié le par chercheur d'histoires

Je viens de recevoir le dernier numéro du  "Pen Ar bed"

"Le bulletin d'information du Conseil Général du Finistère"

S'il n'y avait qu'une seule information à retenir, elle serait celle ci :

Elle concerne la SAFI (Société d'Amémagement du Finistère)

qui, comme vous le savez, a pris en mains :

1° : Le projet d'aménagement du futur musée de Pont-Aven  

2° : Deux millions d'euros qu'elle partagera avec l'architecte du projet.

Je lis :

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" Son rôle est d'accompagner les collectivités dans leurs projets ... elle mène les études préalables des aménagements ...

... Elle assure aussi une mission d'assistance gratuite aux collectivités ..."

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Elles sont où les études préalables concernant ce très gros projet pour la minuscule

et fragile ville de Pont-Aven ?

J'attends en vain depuis deux ans de pouvoir consulter :

1° :  L'étude "indispensable" de faisabilité,

2°  L'étude des impacts "tout aussi indispensable" du projet sur la vie future pontavénoise. 

Jamais je n'ai vu un tel manquement aux obligations élémentaires d'un meneur de projet.

 Et puis ! :

Il y a du gratuit qui coûte parfois très très cher , vous ne trouvez pas ?

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Les annonces immobilières

Publié le par chercheur d'histoires

Les annonces immobilières

Pauvres vendeurs de maisons.

Vendre du Pont-Aven sans mentir n'est plus évident aujourd'hui.

Pour allécher les acquéreurs de maisons il faut être particulièrement astucieux.

(voir précédemment sur ce blog, les publicités des marchands de rêve pour les jeunes vieux)

Un nouveau slogan vient de paraître dans une  pub déposée dans ma boite fourre-tout 

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 A vendre à Pont-Aven : " les commerces à pied " ... etc.

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Je m'interroge : Ils sont où les commerces à Pont-Aven ?

Je sais : à Névez, à Trégunc, à Concarneau, à Riec, à Quimperlé ...

Partout, mais pas à Pont-Aven. Il n'y a plus grand chose de la sorte et d'accessible

à pied, à cheval ou en voiture " dans les deux bourgs de la commune ... sauf, un jour peut être, pour les adeptes du char-à-banc !

Les commerces ont disparu, les écoles aussi, demain ce sera le tour de la  mairie, des

derniers cafés, des toilettes de la place, et de bien autres choses : tout ce qui constitue la vie commune de la population d'une ville.

Ce n'est pas grave, les pontaven'heureux auront bientôt un GRAND MUSEE pour s'amuser, mais rien d'autre pour survivre et se divertir ...  à moins de fréquenter les communes voisines.

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Retour sur la parenthèse publiée hier matin

Publié le par chercheur d'histoires

Retour sur la parenthèse publiée hier matin

L'interlude, glissé dans le texte publié sur ce blog hier matin, est une réponse à l'un des nombreux commentaires du branleur anonyme qui sévit régulièrement sur ce blog, En changeant très souvent de pseudo il veut faire croire à tous mes lecteurs que mes détracteurs sont nombreux.

Il va sans nul doute me dire : en grand connaisseur, que "branleur anonyme" est un pléonasme. 

Depuis que je le connais : il y a de cela bien longtemps, cet être est imprégné par l'un des sept pêchés capitaux : LA PARESSE.

Ce qui explique son manque de courage pour créer son propre blog.

Vous ne le connaissez pas?

Je vous présente son profil :

C'est un ancien rond de cuir usé par la paresse.

Une vraie caricature. Je le vois assis bayant aux corneilles derrière son bureau, les coudes pesamment appuyés sur un sous-mains, une lampe de chevet posée sur le côté droit de son outil de travail, un bouquet de fleurs réglementairement placé à gauche, rêvant de tableaux de maîtres en attendant patiemment sa prochaine dépression.

Que voulez-vous que je dise de plus sur cet hêtre déchêné contre moi, sans le vexer ?

Je ne vais tout de même pas lui demander d'aller se branler sous sa couette de plumes d'écrivain.

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Retour sur la parenthèse publiée hier matin

Publié le par chercheur d'histoires

Retour sur la parenthèse publiée hier matin

L'interlude, glissé dans le texte publié sur ce blog hier matin, est une réponse à l'un des nombreux commentaires du branleur anonyme qui sévit régulièrement sur ce blog, En changeant très souvent de pseudo il veut faire croire à tous mes lecteurs que mes détracteurs sont nombreux.

Il va sans nul doute me dire : en grand connaisseur, que "branleur anonyme" est un pléonasme. 

Depuis que je le connais : il y a de cela bien longtemps, cet être est imprégné par l'un des sept pêchés capitaux : LA PARESSE.

Ce qui explique son manque de courage pour créer son propre blog.

Vous ne le connaissez pas?

Je vous présente son profil :

C'est un ancien rond de cuir usé par la paresse.

Une vraie caricature. Je le vois assis bayant aux corneilles derrière son bureau, les coudes pesamment appuyés sur un sous-mains, une lampe de chevet posée sur le côté droit de son outil de travail, un bouquet de fleurs réglementairement placé à gauche, rêvant de tableaux de maîtres en attendant patiemment sa prochaine dépression.

Que voulez-vous que je dise de plus sur cet hêtre déchêné contre moi, sans le vexer ?

Je ne vais tout de même pas lui demander d'aller se branler sous sa couette de plumes d'écrivain.

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Usant des pouvoirs divins ...

Publié le par chercheur d'histoires

Usant des pouvoirs divins ...

Usant des pouvoirs divins qui lui ont été conférés, Dame la soutane a décidé d'abolir " (sans la moindre concertation avec la population : comme d'habitude) une très vieille coutume locale : 

Le droit de place dont bénéficiaient les commerçants déballant dans le centre ville le jour du marché du mardi. 

Cette abolition ne concerne : pour l'instant, que les mardis des 1er novembre, mais ça sent les préliminaires du futur aménagement d'une gare routière dans le coin. Il faut faire le ménage.

- On pourrait se croire en Chine.

Ce célèbre gros marché : "aujourd'hui d'outre-tombe", existait depuis la nuit des temps. Il fut longtemps le seul "à rayonner" dans un triangle d'or compris entre Quimper, Carhaix et Quimperlé. A la différence des trois autres, sous l'ancien régime il n'était pas officiellement patenté.

Je peux dire sans me tromper que les anciens pontavenois étaient de vrais sympathiques bandits sans loi ni foi. 

La fin justifiant les moyens, ce Grand Marché (et les foires qui allaient avec) fut le moteur économique du développement de cette minuscule bourgade.

Aujourd'hui, devenu aussi triste qu'un enterrement, il n'est même plus l'ombre de sa gloire passée. Les communes voisines ont tout récupéré.

Ses derniers courageux déballeurs font de la charité et du social en acceptant

de venir en aide aux quelques habitants qui s'y approvisionnent : quelques grammes de poisson ou de viande par ici, une demi botte de poireaux par là. Une petite cuisse de poulet pour Madeleine : c'est tout.

C'est tout, mais c'est vital pour les personnes âgées qui s'y rendent régulièrement. C'est le dernier endroit de la ville où elles peuvent se renconter et discuter avant de retourner s'isoler dans leur niche en attendant le mardi ou le samedi suivant.

J'exagère mais si peu. 

Ce marché est sacré pour elles.

Pas pour dame la soutane que l'on n'y voit d'ailleurs jamais.

Les élustucrus qui s'y approvisionnent se comptent sur les doigts d"une main mutilée !

Personne n'est obligé de faire ses courses sur ce mini marché. Alors pourquoi - surtout lorsque l'on ne le fréquente jamais - y interdire ceux qui y tiennent ?

C'est méchant comme le diable. 

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Dois-je répéter ce que j'ai dit l'autre jour dans l'article consacré aux secouristes :

"la municipalité les envoie eux aussi aux plottes "

- Je voulais dire : les envoyer chez les plotteurs : les habitants de plottes.

"allez vous aussi vous faire ploter ailleurs"

- Je reprenais là une expression bien connue :

"Se faire ploter le cul ..."

Si vous ne la connaissez pas, vous trouverez la suite sur internet... !

(je réponds ici à un commentaire du branleur de service qui éjacule régulièrement sur ce chaste blog.

(voir la suite demain)
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 Je continue sur le sujet du jour : 

Des "mur-mures" se font entendrent sur ce marché. Je me fais l'écho des chuchottements qui ruissellent sous son vieux chêne. Je peux vous dire qu'en apprenant la nouvelle de cette abominable obolition, les pontavenounours sont restés sans voix.

Pont-Aven va droit dans le mur de la lamentation. Bientôt les hurlements de douleur étoufferont les chuchotements, mais il sera trop tard pour gémir.

Même l'arbre de la liberté fait la gueule : on se demande pourquoi.

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On parle de Pont-Aven dans le journal (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

On parle de Pont-Aven dans le journal (suite et fin)

« La biscuiterie produit des galettes depuis 1880, tandis que la marque Traou Mad a été créée en 1920 »

Son créateur, le brave Isidore PENVEN doit jubiler dans sa tombe. Né en 1881, il aurait inventé une galette en 1880 !

Merde alors, je me suis fait berner par l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) lorsqu’il m’a transmis une copie du dépôt de la marque TRAOU MAD  daté 1937.

- « Pont-Aven et ses 15 moulins »

Un nouveau moulin a été construit illégalement dans la ville ?

J’ai raconté sur ce blog l’histoire du dicton :

« Pont-Aven, ville de renom, quatorze moulins et quinze maisons »

Créé par de géniaux pontavénards vers 1835 pour estomper une casserole

que Pont-Aven traînait comme un boulet depuis très longtemps :

« Pont-Aven, ville sans renom,

« Femmes sans téton,

« autant de catins que de chaussons.

En 1835, cette petite bourgade  était composée de 8 moulins et environ 120 maisons, auberges ou magasins.

C’est dans ce village  gaulois, que cette première PUB moderne : fallacieuse et sans fondement, vit le jour. 176 ans après, elle roule toujours des imbéciles dans la farine.

 Qui a fait mieux ? : Voilà de la face cachée de Pont-Aven.

 - « Le musée, ouvert depuis 1985 »

Ceux qui racontent cette ineptie feraient mieux de fermer leur trappe,

et de faire l’effort d’apprendre l’histoire réelle de cet établissement.

En consultant les archives de Ouest-France, ils apprendraient que c’est en 1964 que cet établissement vit le jour.

Conclusions : Derrière le tableau alléchant décrit avec complaisance par le journaliste, la grande cité des peintres, des moulins et de la galette n’est plus qu’un champ de ruines : l’ombre de sa gloire passée.

Ce que je lui reproche est d’avoir uniquement écouté les marchands de soupes de service au lieu de prendre contact avec les lecteurs de son journal : les habitants.

Avant de titrer « la face cachée du tableau » il lui aurait été très utile de regarder la situation du pays : « en face »

Signé : le chercheur d’histoires 

            Gérard BERTHELOM

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On parle de Pont-Aven dans le journal

Publié le par chercheur d'histoires

On parle de Pont-Aven dans le journal

(copie pour information d'un commentaire que je viens de transmettre à la rédaction de OF)

Une demi-page en rubrique « Finistère » est consacrée à la commune dans le journal Ouest-France du 17 octobre 2011 sous le titre :

« Pont-Aven, la face cachée du tableau »

En décembre 2010, je transmettais un article à ce quotidien dans lequel

j’exprimais mon sentiment sur le présent et le sombre avenir de la commune.

(Je l’ai publié sur ce blog)

Extrait :

 « Derrière le panneau, il y a l’envers du décor : un champ de ruines »

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Je me sens donc particulièrement concerné par l’article paru dans ce journal.

De la face cachée de la cité, je pourrais en discourir jusqu’à vous en soûler.

J’en ai cherché dans le texte qui vient d’être publié :

je n’y ai rien trouvé de semblable.

Je lis :

- Pont-Aven réputée mondialement pour ses peintres,

- Son école,

- Ses galettes,

- Ses moulins,

- Ses chemins de ronde !

- Et : rond et rond petit pâte à pont… à vent.

Pas de face cachée mais du nouveau tout de même sur le pays.

Il y en a de toutes les couleurs :

- Nous apprenons avec plaisir que "l’industrie (et ses conserveries de poissons ?) est l’un des principaux pourvoyeurs d’emploi à l’année"

Il doit être très très vieux celui qui a renseigné le journaliste.

 - "La galette a même amené des cinéastes à faire des films"

C’est le journaliste qui se fait des films.

 La réalité est que le film (un seul) dont il s’agit a été tourné avec pour titre « les oies blanches ». Ce n’est qu’après le tournage que le titre « galettes de Pont-Aven » est apparu sur les écrans.

 - « Pont-Aven a du potentiel et des atouts »

Je suis de cet avis, mais pour l’instant et pour bien longtemps, l’horizon est bien bouché. Les atouts de cœur de la cité restent sur le carreau.

- « La ville attire les investisseurs immobiliers »

Attention à la marche : Nombreux sont ceux qui se sont laissés berner

Par les vantardises locales.

--- Suite et fin  demain ----------------------------------------------------

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Au pays des courants d'air

Publié le par chercheur d'histoires

Au pays des courants d'air

À chacun son tour d'organiser des "Portes ouvertes" à Pont-Aven.

La dernière a été proposée par la toute nouvelle maison de retraite située en face de la MAPA.

Bof : elle est réservée aux jeunes(vieux), riches et beaufs.

Ses promoteurs se targuent du caractère sécurisé des lieux.

Ça commence mal.

Dès l'ouverture, ils laissent les portes ouvertes.

Attention, c'est peut-être un piège. Dès la fermeture des ouvertures

les visiteurs ne pourront plus sortir : c'est verrouillé.

Le directeur de Saint Guénolé avait déclaré récemment qu'il était étonné que son établissement ne désemplisse pas depuis son ouverture. (J'en ai parlé ici)

Depuis les portes sont verrouillées en permanence. Comment ces clients ont-ils fait pour s'échapper ?

 Je me demande si la fermeture des ouvertures de ces nouveaux établissements a pour objectif de bloquer les entrées ou de vérouiller les sorties : ou les deux mon capitaine.

Dans un pays de dingues tout le monde devient vite dingo.

Il est temps d'enfermer tout ce monde quelque part, non ?

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Je suis allé au concert

Publié le par chercheur d'histoires

Je suis allé au concert ... 

Samedi soir, je suis allé écouter le concert qui était proposé dans l'une des deux nouvelles boites de nuits de la commune.

Excellente soirée. je vous conseille d'y aller.

Vous ne connaissez pas ces boites ?

- l'une se trouve à Trémalo, avec vue sur le christ Gauguin.

- l'autre au bourg de Nizon, derrière le calvaire Gauguin

C'est là, comme nulle part ailleurs, que vous trouverez les meilleurs bars de la commune.

C'est là "QU'ON SERT" la nuit après le couvre-feu.

C'est là : et là uniquement, que vous pouvez encore écouter de la musique "BAR - ROCK"

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