blog dédié principalement au patrimoine et à l'actualité de Pont-Aven.
Une révolution dans la cité !
Quelle impardonnable bourde.
Les élustucrus viennent d'adopter le projet d'intégration de la cité à la communauté de communes de Concarneau.
Connaissez-vous le nom ancestral des habitants d'une communauté foncière ?
"Communiste"
Il y en a qui retournent leur veste dans le pays
Pontavénounours, attendez-vous d'être dorénavant traités de commun'arts
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Rectificatif
Non, la Pension Gloanec * n'est pas à vendre.
Par contre en ce qui concerne l'Ecole internationale d'Art Contemporain,
il n'y aura pas de miracle : c'est foutu.
+ + + Elle fermera définitivement ses rideaux prochainement + + +
La machine infernale a fait son boulot. Elle a pris du temps pour broyer et éjecter cet établissement, mais elle a toujours le dernier mot à Pont-Aven.
* Cette bonne nouvelle me donne l'occasion de raconter son histoire à ma manière.
Peut être dès demain si je trouve, d'ici là, le temps de préparer un article.
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Gros titres
Ce matin je me suis réveillé avec une grosse envie ... de vous faire rire.
- Hier, souvenez- vous, le Télégramme proposait en grand titre :
" Personnes âgées : prévenir les chutes"
Belle initiative assurément.
Dans un pays en chute libre,
il est sage d'initier les vieux au parachutisme.
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Dans le canard : Ouest France, le gros titre était d'une autre nature, mais aussi inquiétante pour les pontavenounours.
" Bientôt un nouveau Gauguin aux Beaux-Arts"
Ne craignez-rien pour vos sous. Vous ne serez pas obligé de vendre tout de suite votre maison.
Ce n'est pas si grave.
Je suis prêt à le parier :
Ce ne peut-être qu'une "Grave-ure"
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Ne vous inquiétez pas
Cette semaine au programme municipal nous avons une campagne d'enrobage des nids de poules des chaussées.
Ne vous inquiétez pas mes poulettes.
Ce sont simplement des élucubrations d'élustucrus (aux œufs d'oies) qui, se sentant déjugés par la population, ont programmé une opération purement symbolique pour sauver la face.
Continuez mes cocottes, à profiter "du MAC' à Dames *". Le temps
n'est pas venu pour un retour à la ferme.
Sachez...
... que les poules auront des dents,
bien avant que tous les trous ne soient bouchés.
* Je voulais dire "MEC" mais je ne sais pas comment l'écrire. Imaginez le ramdam que
cela déclencherait si j'avais écrit par inadvertance :
La Mecque à Dames
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Il est effronté
Je sais qu'il est effronté de répondre à son "maitredécole" mais je n'ai aucune éducation en ce domaine.
Pour avoir le dernier mot, je me dois de répondre à son dernier commentaire.
( voir ce commentaire sur ce blog)
A chacun ses péchés, mais de taguer d'un 21/20 en orthographe sur le front, c'est pêcher dans du gros.
Les fautes d'orthographe, c'est nul, soit. Mes fautes de syntaxe aussi. Mais il y a pire :
Je pense aux élus qui ne vont pas tarder à vous présenter des fautes de saintes TAXES ...
... pour financer leur canicule de projets qui bientôt assécheront votre porte-monnaie.
--- POST IT ------------------------------------------------------------------------------
J'ai consulté, comme un petit nombre de Pontavenounours, le fameux projet URBAIN et PAYSAGER de la commune que les élustucrus présentent actuellement à la mairie sous le titre ; Projet ARCHITECTURAL et URBAIN.
Ce qui n'est pas tout à fait la même chose.
Comment les dirigeants du pays osent-ils nous présenter une soupe au lait aussi indigeste ?
C'est révoltant et honteux.
Croyez moi, j'ai passé cette soupe à la moulinette et je prépare en ce moment un long réquisitoire contre cette nouvelle tentative de couillonnade.
Ce sera du lourd : du très lourd.
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La confession
Aujourd’hui, j’ai décidé de répondre à un commentaire « anonyme » déposé récemment sur ce blog,
A savoir :
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"... notion qui me tient à coeur" aurait été préférable. Dans une chronique où il est beaucoup question d'école, l'auteur du blog devrait soigner davantage son ... ORTHOGRAPHE !
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Merci pour la remarque. J’ai rectifié la faute.
Pour rester dans le sujet, Je tiens toutefois à préciser que
c'est à l'école publique de Pont-Aven que j'ai appris à écrire,
et ceci explique peut-être cela.
Ma légendaire hypocrisie me permet de mettre la faute sur le dos des demoiselles ALIX : mes chères institutrices.
Heureusement, grâce à une bonne initiative de la municipalité (la suppression de cette école du diable) le problème est définitivement réglé pour les générations futures.
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Cette réponse est celle d’un chercheur d'histoires à un fouineur de fautes d'orthographe,
… pour ne pas dire : fouineur de poux dans la tête.
En disant cela je ne cherche pas à me justifier : bien au contraire. J’assume parfaitement mes défauts qui hélas, pour moi comme pour la plupart d’entre nous, avec le temps qui passe et la maladie qui se pointe, ne peuvent que s’amplifier.
Merci donc à tous ceux qui m’aident, inlassablement jour après jour, à corriger mes fautes.
À chacun ses défauts.
Je suis de ceux qui pensent que l’homme parfait n’existe pas et que le droit de s’exprimer n’est pas exclusivement réservé à une élite dite intellectuelle avec, collé sur le front de façon ostentatoire, un 20/20 en orthographe.
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Laquelle mérite une fessée ?
J'ai appris en lisant une plaquette pontavenaise destinée aux toutoux que :
"L'Aven est très poissonneuse"
Cela me fait plaisir de rajeunir de 50 ans mais pour le reste je pense plutôt que cette rivière est aujourd'hui plus poisonneuse qu'autre chose :
De la poisse pour le pays, la municipalité en produit à la tonne, d'accord.
Des truites évadées de la pisciculture de Bois d'Amour, OK aussi.
Pour le reste, je ne vois sur ses berges, dans le centre ville, que des requins.
Cette vantardise touristique mérite bien une fessée, vous ne trouvez pas ?
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De l'auto-stop !
Les bruits qui circulent le plus dans Pont-Aven actuellement concernent une nouvelle fois l'ouverture de la résidence de Pont-Aven à Saint Guénolé.
Les "on-dit" rapportent que "ses parkings sont peu fréquentés pour l'instant".
Moi aussi je suis intrigé.
J'ai remarqué qu'un panneau (un fléchage) qui vient d'être posé à l'entrée de la venelle de la Cité Julia dans le quartier de l'ancienne gare.
"Domaine de Pont-Aven" !
Suivre le sens interdit ?
Ce panneau ne peut concerner que des piétons, ce qui me fait penser que cette résidence est réservée aux auto-stoppeurs.
L'ancienne gare est d'ailleurs le point idéal pour les accueillir.
Je comprends mieux maintenant le pourquoi des parkings vides et, ... l'absence d'une aire à virer "pompiers" au bout de l'impasse.
Ces derniers pourront toujours, si nécessaire, accéder à pied à la résidence ... et éteindre le feu avec des seaux.
En cas de malaise d'un résident, point besoin d'appeler une ambulance, Saint Guénolé est là pour le guérir.
J'ai tout compris, et, "en principe" je ne dirai donc plus critiquer cette lamentable opération.
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L'école de Pont-Aven
C’est la rentrée scolaire, et pour la première fois depuis 1833, les portes de l’école publique élémentaire du centre historique de Pont-Aven n’a pas ouvert ses portes.
Son histoire est rapportée dans l’un des ouvrages de Bertrand Quéinec
--- En résumé --------------------------------------------------------------------------
Dans la période 1820-1833, l’idée de créer une école communale est en gestation dans la cité. Des initiatives privées
verront le jour, mais sans grand succès.
A cette époque, les enfants de la bourgeoisie commerçante locale – cultivée et dominante - fréquentent les établissements
scolaires de Quimperlé. L'élite de Pont-Aven ne manifeste aucun intérêt envers cette idée de création d’une école à Pont-Aven.
Une loi Guizot du 28 juin 1833 décide qu’une école élémentaire serait créée dans chaque commune.
A Pont-Aven, le 17 août 1833, le conseil municipal décide de la construire.
Elle sortira de terre en 1843 au centre ville en mitoyenneté avec les halles.
En 1883, cette école sera abandonnée, et une nouvelle sera édifiée sur la colline de la future Cité Julia : l’ancienne école devenant mairie.
Elle finira ses jours sous le nom : « Ecole Bertrand Quéinec »
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La grogne résonne lourdement contre cette disparition dans le pays d'ordinaire très calme. Pour moi, ce n'est que du barouf sans fondement de crétins. Ces derniers auraient dû réfléchir depuis longtemps et se manifester avant que le centre ville ne se vide de ses habitants.
Sans habitant, une école n’a plus d’intérêt me semble-il.
Réfléchissons :
En 1945, la population de Pont-Aven-Nizon est de 4000 habitants
En 1960, il en restait encore 3700
Le dernier recensement n’en dénombre plus que 2929.
Où est passé le millier de déserteurs ?
Mais surtout : Où sont les logements vacants ?
Ils sont incontestablement dans centre ville qui s’est désespérément vidé de sa substance humaine vitale.
Qui pourrait affirmer le contraire ?
Hélas, les élustucrus concoctent un projet qui va encore accélérer la désertification de ce centre qui ne sera plus bientôt qu‘un champ de ruines … au milieu duquel rayonnera une future superbe tour de Ba’bel Angèle !
L’avenir de Pont-Aven ? Je le reconnais : Le conseil municipal y pense parfois sérieusement. En construisant "temporairement" des classes d’école préfabriquées à Nizon ...
... ils tiennent incontestablement compte de l’inéluctable (à leur yeux) dépopulation croissante de la commune.
C'est bien là une façon intelligente de penser à l'avenir, non ?
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Esprit est-tu là ?
L'esprit des lieux :
C'est une notion qui me tient à cœur et que je garde en mémoire lorsque je réfléchis sur Pont-Aven et son avenir.
Cet esprit que je garde en mémoire est celui des habitants des glorieux et joyeux temps passés.
Celui de ces habitants qui avaient le privilège de vivre agréablement dans une sympathique petite bourgade vivace et hors normes,
ESPRIT est-tu toujours là ?
Hélas non.
Cette dynamique bourgade à l'esprit un peu libertaire n'est plus qu'une paresseuse paroisse endormie.
Esprit saint est-tu là ?
Affirmatif mon seigneur.
Il est même de plus en plus présent.
Vous voulez des exemples ?
- C'est la rentrée -
Observons à la loupe le rôle de la municipalité lors de la disparition des écoles des 10 dernières années :
Celles de l'ancien couvent Saint-Guénolé puis l'école publique Bertrand Queinec.
- Saint Guénolé :
Ecole privée, dès sa fermeture, les élus décident de l'acquérir, non pas pour des raisons
d'intérêt général, mais pour préserver son caractère religieux ... et faire plaisir à quelques anciennes élèves nostalgiques.
N'ayant aucune idée sur la destination de l'immeuble qu'ils viennent d'acquérir, ils vont tout d'abord commander une étude scientifique (sans suite) puis s'engluer dans une longue saga qui a duré plus de 10 ans pour finalement le céder à un promoteur qui vient d'y ouvrir une "résidence touristique de luxe !"
J'ai un slogan commercial à proposer à ces derniers :
La résidence "De la galipette au couvent" vous attend :
Cette destination de l'ancien couvent n'est-elle pas de la luxure dans du luxe ?
Une grande question sur cet achat par la commune restera sans réponse si le caractère "sacré" n'est pas pris en compte : Pour quel autre raison l'ont-ils acheté ?
- l'école Bertrand Quéinec :
Ecole du diable (appartenant pourtant à la commune).
Les élus n'ont pas pris de gant pour décider brutalement sa fermeture. Ses élèves seront dorénavant cantonnés dans des baraques, et ses anciens élèves : les diables, n'ont qu'à aller se faire foutre ...
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Autre question :
A Pont-Aven, en matière de monuments historiques, vaut-il mieux être chapelle ou manoir ?
J'aurai bien aimé répondre : les deux mon capitaine.
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