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Je suis négatif

Publié le par chercheur d'histoires

Je suis négatif 

Ce blog irrite un certain nombre de pontavenounours. C'est normal, je l'ai créé, entre autres, pour cela. Dans cette catégorie d'irritables, il en reste heureusement quelques uns qui me parlent encore.

Il n'est pas question pour eux de débattre sur les sujets que je développe.

Le débat est un mot qui est rayé du vocabulaire à Pont-Aven.

Aussi, ont-ils tous la même réflexion à me formuler:

" Tu est négatif "

Cette allégation est injuste, et à bien des égards je suis - de loin - le personnage le plus positif de la commune.

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- Qui a autant que moi depuis 13 ans, pris la défense du sauvetage des ruines 
de Rustéphan, envers et contre les attitudes systématiquement négatives des élus sur ce magnifique projet culturel ?.

 Mes initiatives sur cette opération sont nombreuses et importantes. La principale est d'avoir constitué un mémoire d'expert -je dirais, sans me vanter "remarquable" - qui apporte la solution pour régler de façon très simple le blocage juridique qui englue ces ruines depuis la Révolution Française. (Cela m'a permis de comprendre un peu plus l'esprit dans lequel Mme le maire dirige la commune. Elle est dans le déni de l'histoire du pays et de ses habitants, et Rustéphan, ce joyaux du patrimoine local, n'y échappe pas. Ce mémoire m'a demandé un travail de longue haleine de recherches, d'analyses et d'écritures. Pont-Aven n'a pas de mémoire et les expositions, les éditions, les articles de presse que j'ai consacré à ces ruines sont oubliés.

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- Il y a douze ans que je m'exprimais pour la première fois dans les journaux locaux sur l'opportunité pour la commune d'acquérir la friche industrielle de Sea Deal. Un emplacement unique et exceptionnel au potentiel sans égal ailleurs pour lutter efficacement contre le déclin de la commune et assurer son avenir à long terme.

dans ce domaine aussi,  tout Pont-Aven est dans le déni de cette réalité (quoique depuis quelques temps des voix s'élèvent pour critiquer l'attitude scandaleuse du précédent maire dans cette affaire) ...

---------------------------------------------------------- Suite demain ---

 



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L'élection de la reine 2011

Publié le par chercheur d'histoires

L'élection de la reine 2011

L'élection de la reine des fleurs d'ajonc 2011 a eu lieu ce week end.

Il faut savoir que cette élection ne concerna jusqu'à ces dernières années que les pontavenus beautés (des filles de Pont-Aven). Puis, en raison du manque de candidatures, les organisateurs décidèrent d'accepter celles de névenus beautés.(des filles de NEVEZ)

Cette année, les responsables de l'évènement ont décidé de ratisser plus large auprès d'autres communes avoisinantes.

Attention tout de même de ne pas tomber dans de la fontenayserie (de Fontenay) au deux Miss France.

Au train ou vont les choses, nous aurions bientôt l'élection de deux miss Cornouaillaises

l'une à Quimper l'autre à Pont-Aven.

Cela ne me regarde pas, mais je pense qu'il serait utile  d'instituer des règles afin d'éviter toute confusion des genres.

Pourquoi pas, par exemple, exiger qu'à Pont-Aven, les candidates sachent sourire en breton durant le défilé. Ainsi, les touristes assistants à l'évènement auraient l'occasion de prendre d'authentiques photos-souvenirs des authentiques bretonneries de Pont-Aven.

Qu'en pensez-vous ?

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2014 - suite -

Publié le par chercheur d'histoires

2014 - suite -

Autre problématique importante dans cette affaire pour l'avenir de la cité. Elle découle de la précédente et mériterait une réflexion en profondeur de la part des décideurs locaux :

Dans quel esprit esthétique seront imaginé ces réaménagements ? La municipalité va t-elle adopter le style "contemporain" que l'équipe RIVET avait retenu lors de la réfection de la rue du Général de Gaulle ? L'artère la plus vivante et commerçante du centre ville - mais avant travaux - à qui appartient l'histoire de célèbres établissements : Chez CORRELLEAU puis plus récemment :

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le Café des Arts où l'on pouvait, il y a encore 10 ans, rencontrer et débattre d'art entre autochtones, avec des amateurs d'art de passage, avec les tous derniers artistes que le pays retiendra comme tels : Georges ORIOT, Marcel GONZALEZ, André EVEN et quelques rares autres, ou encore avec les occupants des ateliers d'artistes de l'Hôtel de Ville et les élèves de l'école artistique School of Art.

(des lieux que les décideurs ne peuvent connaître faute de fréquentation)

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Depuis ces travaux cette rue est devenue la plus sinistre du centre ville. 

Repenser intelligemment l'aménagement de ce centre historique n'est pas à la porté de n'importe qui, ni même celle de n'importe quel urbaniste. Cela demande de l'expérience en la matière, du talent, une capacité à capter et resentir l'authentique l'esprit des lieux aujourd'hui fragilisé. Etre capable d'apporter des idées permettant au projet de se fondre harmonieusement dans l'histoire du pays et de son bâti. Le projet doit être porté par des élus qui possèdent un minimum de connaissances historiques sur les lieux et sur la vie de ses anciens habitants. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. C'est l'avenir du passé de la ville qui est en jeux.

Pour l'instant, personne n'y a pensé, mais ces travaux  vont nécessairement bloquer l'accès à la ville durant une longue période.( à ajouter au planning des travaux du futur musée). Assurément, il y en a qui vont souffrir dans le centre ville durant les prochaines années.

Et puis, à quoi bon aménager des accès pour faciliter la mobilité des handicapés en fauteuil roulant lorsque l'on observe que les 3/4 des établissements ouverts au public dans la ville ne sont pas accessibles à ces personnes. Compte tenu de la politique des municipalités successives à ce sujet( y compris l'actuelle équipe dirigeante) ce n'est pas pour demain que la situation va s'améliorer.

A part faire le trottoir quel sera l'intérêt de rouler en fauteuil dans la ville ?

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2014 ?

Publié le par chercheur d'histoires

2014 ?

Une année faste pour Pont-Aven avec l'ouverture de la future tour de Babel Angèle (le futur - de plus en plus hypothétique - musée) et la réalisation tant attendue depuis des lustres par les handicapés, de trottoirs adaptés à la circulation des personnes à la mobilité réduite, dont le coût est estimé "provisoirement" à 1 400 000 € selon les déclarations de la municipalité.

Pourquoi 2014 ?

- En ce qui concerne l'ouverture du musée, cette date a été fixée de façon tout à fait irréaliste par ses promoteurs, de façon à ce que l'inauguration du bâtiment puisse être effective avant les prochaines élections municipales.

- En ce qui concerne les aménagements  des trottoirs, 2014 correspond à une date

buttoir qui oblige impérativement la municipalité à réagir.

Vous avez certainement remarqué que dans la grande majorité des villes de France,

depuis 20 ans ces travaux d'aménagements imposés par le législateur ont déjà, petit à petit, été réalisés.

Toutes les municipalités intelligentes ont profité des travaux de réfection de leurs voiries pour réaliser ces aménagements dont le coût supplémentaire, dans ce contexte de réfection, ne pèse pas lourd .

A Pont-Aven presque rien n'a été entrepris jusqu'à ce jour. Les voiries de la ville sont fortement dégradées faute d'entretien. Tout reste à réaliser et ce n'est pas une mince affaire.

Les travaux ne concernent pas seulement ces aménagements d'accessibilité.

C'est inéluctablement l'ensemble des trottoirs et des chaussées de la ville que la commune va devoir réaménager. Les 1 400 000 € de travaux annoncés ne sont qu'une goutte d'eau par rapport au montant final des travaux à réaliser ... à suivre demain

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Le dernier numéro (page 6/6)

Publié le par chercheur d'histoires

Le dernier numéro (page 6/6)

Ma dernière pensée sera pour la fête des Fleurs d’Ajonc

Pour laquelle j’ai retenu dans la plaquette quelques fâcheuses vérités premières :

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Il n’y a de culture vivante que dans la création. Une culture qui se copie est vouée à disparaître.

- Un patrimoine volontairement figé ou intangible est une erreur culturelle.

- L’identité bretonne est une façon inimitable de puiser dans le passé et la tradition pour produire la culture d’aujourd’hui. On naît avec un héritage qui doit mener à la création d’aujourd’hui, celle qui va former la culture de demain.

- Il faut se méfier des citations qui ne sont plus du tout appuyées sur des connaissances intimes et profondes de la tradition, des citations en copie collée sans dialogue véritable et fécond.

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 Depuis longtemps, je ne reproche rien d’autre aux organisateurs de cette

 « dé-fête » : Tous engluées dans de ridicules postures passéistes.

 

Conclusion : Pont-Aven et sa fête des fleurs d'ajonc fanées : ville culturelle ?

Un doute m’habite

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Le dernier numéro (page 5/6)

Publié le par chercheur d'histoires

Le dernier numéro (page 5/6)

Le musée : « parlons-en »

Voilà bien le sujet qui mérite un coup de projecteur. C’est à cet endroit, , que l’on trouve de l’Art pictural dans la cité : Une matière considérée par les officiels (à la limite du supportable pour moi mais je ne dois pas être le seul)  ...

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... comme une affaire grave, lourde, sérieuse.


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C’est à cet endroit que vous trouverez encore à Pont-Aven des fragments de sa véritable nature picturale et un faux semblant de l’antique esprit des lieux qui a fait sa réputation : 


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Un ensemble de démarches culturelles issues à l’origine d’initiatives privées, mais hélas depuis, détournées et institutionnalisées.


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J’ai sélectionné de nombreuses opportunités de critiques envers cette institution dans la revue. Je vous en livre une courte sélection :

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- Le musée et la grande confusion des genres : entre culte, culture, loisirs et amusements !

 - Le musée = un espace d’instrumentalisation des esprits, où l’on vous dicte ce que vous devez penser. Un lieu où il faut se méfier de ceux qui assènent des certitudes.

- Une institution qui fait de l’élitisme réservé aux bons pensants, mais qui ignore, voir méprise, l’individu lambda et qui n’hésite pas à manifester de la haine contre les initiatives privées concurrentes.

----------------------------------------------------------------- - Les auteurs de cette plaquette n'ont-ils pas raison ? : de la culture qui ne fait que dans le culte de la culture sans contre-culture, n’est plus tout à fait, pour ne pas dire plus du tout, de la culture ?

-------------------------------------------------------- A suivre demain ---

 


 

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Le dernier numéro (page 4/6)

Publié le par chercheur d'histoires

Le dernier numéro (page 4/6)

S’interroger sur le sort de la ville, c’est aussi aborder le monopole 

des « auto-proclamés peintres » qui ont envahi, sans vergogne, les lieux depuis 25 ans sous couvert d’une ouverture à l’Art.


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- Il existe sans doute des gens de qualité, qui ont du talent, mais qui ne trouvent sur place, aucun lieu, aucune source pour l’exploiter.

- Où sont les encouragements de la commune dans le domaine de la créativité ?

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Encore et encore des questions sans réponse non ?.

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- Quand tout devient art, plus rien n’est art...

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... et à Pont-Aven on assiste à sa dissolution dans du « soi-disant culturel » touristique de bas de gamme.

La cité des peintres n’était-elle pas, il n'y a  pas si longtemps, un lieu privilégié pour les créateurs, si modestes soit-ils, pour se faire connaître et se faire apprécier par un public local, restreint certes, mais forgé à l’analyse et la critique artistique ?. Un public avide de sensations fortes et nouvelles, apportées par des idées, surtout venues de nulle part, ou naissant de rien.
Un lieu privilégié pour ...

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------... un public –averti- reconnaissant dans l’art autre chose que ses rapports avec la spéculation, que ses aspects thérapeutiques ou décoratifs ; autre chose que de la matière distrayante ou banalement culturelle.

De l’Art accepté sous la forme mystérieuse d’énigme capable de troubler et d’interpeller le spectateur dans ses certitudes les plus profondes,

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De cette cité, ce lieu privilégié pour un public en soif de culture, Que reste-t-il ?

Des clopinettes en croûte.

------------------------------------------------------- A suivre demain --- 

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Le dernier numéro (page 3/6)

Publié le par chercheur d'histoires

Le dernier numéro (page 3/6)

Mais alors que devient la ville dans ces désastreuses conditions ?

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 À y regarder de près, la réponse est que tout n’est plus qu’affairisme : une tare visible tant dans les galeries marchandes que dans la Grande Institution fonctionnalisée et dominatrice (le musée).

L’ascenseur culturel qui a forgé l’image du pays est en panne, et de cette image, il ne reste plus, hélas, qu’une lamentable caricature.

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Pour moi, la ville n’est plus q‘une usine de rêves factices pour touristes ignares parcourant la cité avec des yeux hagards, attirés seulement par les galettes dites du pays.

Où pourriez-vous découvrir ...

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... son histoire, ses héritages ; ses rapports avec sa population, ses érudits (en reste-il de communicatifs avec le public ?) Cet ensemble d’éléments nécessaire à la discussion, aux échanges d’idées.

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 Que reste-t-il de son dynamisme culturel accessible à tous ?

Comment préserver ses savoirs faire, ses savoirs penser (autrement), ses savoirs vivre (ensemble), face à la normalisation et à l’uniformatisation de la cité ?

Les élus ont-ils seuls la légitimité pour définir l’avenir du pays, embourbé dans ses archaïsmes et ses replis identitaires, sans le concours de la population 

Que reste-il de ses traits distinctifs et originaux, de l’état d’esprit et des attitudes de ses habitants, forgés par l’histoire ?

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Que reste-il de vivant dans cette ville autrefois modèle pour tous ?

Vidée de sa substance originelle il ne reste rien ou presque. 

Si je n’ai pas raison, mes chers contradicteurs,  apportez- moi des exemples frappants qui me contredisent S.V.P.

----------------------------------------------------- A suivre demain ---

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Le dernier numéro (page 2/6)

Publié le par chercheur d'histoires

Le dernier numéro (page 2/6)

Je commencerai la relecture de la plaquette en mettant en exergue les principales définitions du mot CULTURE qui y sont mentionnées.

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 - De quoi parle-t-on ? d’art – d’identité – de patrimoine – de création –    de tradition – d’innovations.

- La culture est vaste et multiple ; riche et diversifiée. Parler de culture, c’est aussi déclencher des « à priori », des soupçons ; de l’élitisme ou du populisme. Ce sont des savoirs structurés qui peuvent être mis en danger par des forces obscures et régressives.

- C’est au plus près des habitants que se joue l’avenir culturel d’un pays, dont l’essentiel est dans la possibilité de confrontations qui suscitent questionnements, réflexions, qui secouent des émotions, et qui nourrissent les esprits.

- Elle doit être abordée, non pas de manière « spectatrice », mais de manière « critique et émancipatrice ».

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Nous voilà bien éloigné de Pont-Aven, où tout doit impérativement rester municipalement correct, c’est-à-dire : ne point déranger et ne point perturber les esprits d'une caste dite culturelle amorphes.

-------------------------------------------------------- A suivre demain ---

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Le dernier numéro (page 1/6)

Publié le par chercheur d'histoires

 

Le dernier numéro (page 1/6)

En été 2008, était publié le dernier numéro de la revue « BRETAGNE »

Une édition exceptionnelle consacrée à la CULTURE Bretonne, abordée dans toutes ses composantes et ses implications dans le monde associatif, politique, commercial, politiquetouristique, etc.

Chaque éditorialiste était convié, à titre d’adieu à la revue, à formuler son sentiment sur le sujet. J’y ai découvert d’excellentes analyses, des réflexions pertinentes reposant sur le vécu, les compétences et les connaissances profondes des auteurs.

Ce numéro est un constat impartial et précis, appuyé sur des analyses critiques pertinentes de la situation de la Bretagne contemporaine, avec ses forces et ses faiblesses.

Un ouvrage à lire assurément.

Il m’est venue l’idée, saugrenue vous me direz, de placer Pont-Aven  dans le collimateur des propos qui y sont développés, et d’en tirer des conclusions :

Où se situe la cité des peintres dans l’environnement culturel breton ? :

Lire la suite S.V.P.

Note particulière : le mot culture étant au centre  du sujet, je ne vais pas le répéter à chaque phrase, il est omniprésent dans le texte qui va suivre.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Attention à la noyade, l’édito c’est déjà un grand plongeon dans l’Aven :

 « La culture est partout, pas simplement dans les institutions et les lieux consacrés, et chacun peut en développer une définition unique, toute personnelle »

Voilà énoncée une réalité qui n’est certainement pas « paroles d’évangile » pour Mme le maire (et ses acolytes) qui affirme, à qui veut l’entendre, que « Pont-Aven est (et doit rester) une ville CULTURELLE » avant tout.  Si ses allégations ne sont pas de la vantardise, de quoi parle-t-elle ? Je ne retrouve aucune correspondance entre la réalité actuelle de cette ville et un quelconque dynamisme culturel à l’exception du musée étatisé dans lequel, l'excellence de Pont-Aven, a été assigné à résidence.

 En parcourant l’ouvrage j’ai retrouvé des valeurs que j’ai acquises dans le passé, dans les anciens lieux « consacrés » de Pont-Aven : Je dirais ses bistrots pour faire cours. Des lieux de discussions, d’ouvertures et de débats sur l’art, qui n’existent plus aujourd’hui dans la ville  « bassement touristiquée » à outrance.

-------------------------------------------------------- A suivre demain --- 

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